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Moelle aplasique 2. Déficit qualitatif a. Maladie acquises b. Maladies héréditaires (rares) B. Thrombopénie périphérique 1. Thrombopénie par destruction immunologique a. Thrombopénie Auto-immune L.B H.K III. Clinique 1) Purpura thrombopénique immunologique (PTI) i. PTI chronique ii. PTI aigu 2) Thrombopénie auto-immune secondaire 3) Thrombopénie immuno-allergique b. Thrombopénie ALLO immune 1) Purpura post transfusionnel 2) Thrombopénie néonatale et intra-utérine i. Allo immunisation fœto-maternelle

de type 1 ou diabète insulino-dépendant qui survient brutalement chez l’enfant et provoque un amaigrissement malgré une nutrition abondante et une glycémie > 2 g/L. Il résulte d’une auto-destruction des cellules b des îlots de Langerhans, c’est ce qu’on appelle une maladie auto-immune qui provient d’une auto-production d’anticorps cellules b et de lymphocytes T engendrant ainsi la destruction des cellules b. le diabète de type 2 ou insulino-résistant survient chez l’adulte de plus de 40 ans

chimiques du milieu extérieur – de la transmission de l’influx nerveux • d’une extrémité (dendrite) à l’autre (axone) d’un neurone • d’un neurone à l’autre • Activité des protéines canaux peut être bloquée par: – Poison ou médicaments – Maladie auto-immune ou génétique: canalopathies 9 Create PDF files without this message by purchasing novaPDF printer (http://www.novapdf.com) I – 1.c. Les protéines membranaires Les protéines porteuses • Permettent le transfert des molécules d’une face

les plus graves, des lésions des testicules peuvent entraîner une stérilité. | | Causes * Les orchites sont souvent dues à des infections virales. Les infections bactériennes sont rares. * Dans de rares cas, on trouve une maladie auto-immune sous-jacente. Cette affection touche en particulier les hommes âgés. * Inflammation du testicule après un coup ou après un accident.   Infections virales pouvant être accompagnées par une orchite: * Oreillons: près d’un quart des adultes

L’hémophilie par déficit acquis en facteur VIII (FVIII) est une affection rare liée au développement d’un auto-anticorps dirigé contre le FVIII. Décrite pour la première fois en 1940 [1], son incidence est d’environ un à quatre cas par million d’habitants [2-4]. Elle se caractérise par des complications hémorragiques souvent sévères pouvant être mortelles dans 7 à 22 % des cas [3-5]. Contrairement à l’hémophilie A où l’on retrouve fréquemment des hémarthroses, la symptomatologie de l’hémophilie

de l’immunité secondaire à des troubles physiologiques (VIH, diabète). MALADIE AUTO IMMUNE : L’auto-immunité est la rupture des mécanismes de tolérance qui conduit à l’action pathogène du système immunitaire vis à vis des constituants naturels de l’organisme. Auto-immunité physiologique : action des lymphocytes T (auto réactif). Auto-immunité pathologique : Défaillance du système de régulation de cette auto-immunité. -> Terrain immunogénétique, rôle des facteurs environnementaux, facteurs

responsables de la destruction des cellules des îlots de Langerhans. Il est souvent possible de les détecter chez des personnes souffrant d’un diabète de type 1 récent. Leur présence, chez un sujet à risque, jeune, permet de supposer que la maladie auto-immune a débuté et permet donc de prévoir un éventuel développement d’un diabète. Q-18 : Quels sont les moyens de détecter un diabète de type 1. Q-19 : Expliquez pourquoi une personne dont le sang contient de l’anticorps anti-cellules d’îlots,

formes de diabète sont répertoriées, en fonction de leur étiologie : Les diabètes primaires : type 1, type 2, gestationnel[modifier] le diabète de type 1 : un diabète de type sucré, dont la forme la plus fréquente est la conséquence d'une maladie auto-immune, c'est-à-dire la destruction de Cellule bêta des îlots de Langerhans du pancréas (qui synthétisent l'insuline) par le système immunitaire, ce dont témoigne la présence d'anticorps dans le sang. Le diabète de type 1 est le plus souvent un diabète

d’hospitalisation a la semaine et secteur de consultation qui permet un meilleur suivit pour les plaies et de leur cicatrisation mais aussi des maladies auto-immunes Les motifs d’hospitalisation le plus souvent rencontrés sont : la dégradation de l’état General, la prise en charge de plaies diverses : escarres, ulcères…le diagnostic de maladie auto-immunes ,de cancers. La plus part des prises de sang se font le matin l’équipe d après-midi ou de nuit prépare les bilans, celles du matin vérifient

qui normalement ne s’attaquent qu’aux éléments « extérieurs » (bactéries, virus…), se retournent contre les cellules mêmes de l’organisme et l’attaquent. Cette réaction auto-immune conduit à une inflammation du tissu conjonctif, qui réagit en produisant beaucoup de collagène. Cependant, on ne sait pas ce qui déclenche la réaction auto-immune aboutissant à la fibrose. Il semblerait que la maladie se déclare parfois suite à un choc émotionnel. Dans certains cas, la sclérodermie est associée à l’exposition