Avantage comparatif

Spécialisation subie, inappropriée DIT contrainte Source de croissance et développement D.I.T. Spécialisation Avantages comparatifss Gains mutuels liés à l’échange (gains de Pté, extension des marchés…). | Idées | 1) Avantages et inconvénients du libre-échange et du protectionnisme (illustration par l’OMC) 2) Les avantages comparatifs peuvent être construits faisant apparaitre le rôle des Etats (et conduisent à une NDIT)On allègera le débat Stratégies / Objectifs

grande partie inchangée. Cette perte de part de marché est associée à la baisse de l'importance de ces produits dans le commerce mondial. Et ce malgré l'évolution des conditions tarifaires qui sont devenus plus favorables avec l'application des avantages tarifaires concédés par l'Union Européenne en vertu de la convention de Lomé (1976-1981-1986-1990) et du système généralisé des préférences sur les principaux marchés. b- causes de la perte de marche dans le secteur agricole

Ricardo prolonge l’analyse de Smith, la théorie des avantages absolu. Il va démontrer que la spécialisation de chaque produit dans une production et l’ouverture vers le commerce international sont essentiels pour la croissance économique. C’est cette analyse qui va impulser la spécialisation de pays sous-développé dans des mono production, mono culture. Chaque pays à intérêt à se spécialiser selon ces avantages comparatifs (avantage le plus grand / désavantage le plus faible). Selon lui, l’ouverture

sa théorie des avantages absolus, Adam Smith tente de défendre l’idée du libre échange à la fin du 18e siècle : « Un pays ne doit pas hésiter à acheter à l'extérieur ce que les producteurs étrangers peuvent produire à meilleur compte que les producteurs nationaux. Le pays qui vend un certain produit moins cher que tous les autres pays possède ainsi un avantage absolu pour ce produit. Un pays doit se spécialiser dans la production de biens pour lesquels il possède cet avantage absolu et acheter

contraintes et opportunités Dans notre analyse géographique, on a eu tendance à gommer largement toutes les données naturelles des espaces. A juste titre, on critiquait la primauté des milieux par rapport aux hommes. Après avoir tout misé sur les avantages et les contraintes puis après avoir oublié ces données naturelles, on en revient aujourd'hui à une analyse beaucoup plus nuancée. L'axe de réflexion est de dire que certes les conditions naturelles peuvent peser sur l'homme et ses activités mais

pas de distorsions internes au pays. Modèle 1 : HOS Dans le modèle HOS, les 2 pays disposent de dotations en facteur différentes et en vertu de la libéralisation des échanges, un pays exporte le bien pour lequel il détient un avantage comparatif. Cet avantage comparatif vient du fait que la production de ce bien nécessite une plus grande quantité du facteur productif dont le pays dispose en relative abondance. La libéralisation du commerce augmente le prix relatif du bien plus intensif dans

avec un pays étrange dès qu’elle peut se procurer à l’extérieur des produits à meilleur marché que si elle les produisait elle-même 2- Un pays dispose d’un avantage absolu dans une production lorsque pour une production donnée son cout de production est inférieur à ceux des pays étrangés. Doc 3 1- L’échange selon la théorie des avantages absolu 2- 3- B) Les explications des nouvelles théories du commerce international Doc 8 9 10 1- Une entreprise réalise une économie d’échelle lors

ainsi que de la diplomatie économique, à elles seules, sont insuffisantes. Il faut les renforcer par une politique macroéconomique nationale rigoureuse, dynamique, équitable homogène, équilibrée et sélective, capable de construire de nouveaux avantages comparatifs et de faire de la mondialisation une locomotive de développement national.

impliquerait entre autres aucune barrière commerciale, un libre mouvement de la main d’uvre et un environnement transactionnel homogène et équitable. Ceci permettrait aux acteurs, principalement les corporations, d’utiliser au maximum les avantages comparatifs de l’espace et d’atteindre un optimum d’efficacité économique. De toute évidence, ces attributs sont pratiquement impossibles à atteindre, surtout pour des raisons politiques. Les nations sont en général peu disposées à renoncer à une partie

il répond non en disant : ‘‘La croissance de la productivité du tiers monde aboutit à la hausse des salaires dans le tiers monde et rien d’autre’’. De plus, selon lui les pays en retard de compétitivité ne sont pas pénalisés car ce sont les avantages comparatifs et non absolus qui déterminent les échanges (Smith/Ricardo). Pour Paul Krugman, le commerce internationale n’est pas une compétition et ne met pas les ‘‘états en faillite’’. De plus, il ne faut pas voir les états émergents comme une menace