Avantage Pib Par Habitant

le Brésil entre réellement dans une nouvelle ère économique, politique, et sociale. Par des programmes gouvernementaux ambitieux, le pays est premier de la classe sur le continent d'Amérique du Sud, et s'affirme sur la scène mondiale. En effet, son PIB en 2009 atteint 1 574 milliards de dollars, et sa croissance frôle les 10% en 2010. Au lendemain de la crise internationale, le pays est mis en avant par son économie florissante, lui valant la 8ième place économique mondiale. Il paraît donc intéressant

d’un Fonds social européen dont la création effective date du 11 Mai 1960. Ce fonds social est destiné à aider les travailleurs en situation de reconversion. Il y a relégation objectivement du social au 2ème plan, on estime implicitement que les avantages sociaux sont le produit du marché. Pour atteindre les objectifs économiques, c'est-à-dire le progrès économique et la stabilité d’expansion, il y a promotion de 2 actions majeures : L’intégration commerciale : il s’agit de promouvoir un marché

croissance de s’auto-entretenir.  Enfin, nous verrons que les institutions jouent elles aussi un rôle central dans l’augmentation du PIB. Dans un second temps, il s’agit de montrer que la croissance économique n’a pas que des avantages (Dossier 2, p. 26-29). Le progrès technique (qui permet la croissance) est responsable d’’un certain nombre d’inégalités et la hausse du PIB se fait souvent au détriment de l’environnement ; la solution étant alors de tendre vers un développement durable. DOSSIER 1

vie : hommes 72 ans; femmes 78,5 ans
Taux de croissance de la population : 3,5 %
 Indice de fécondité : 5,7
 IV. Économie Chiffres permettant d’avoir une vision globale de la santé économique du pays  Chiffres 2006 PIB  : 351 Milliard USD PIB par habitant : 13 241 Milliard USD Une balance commerciale extérieur excédentaire Taux de croissance : + 4.2% Taux de chômage : environ 12% Relations économique franco saoudienne Echange total en 2006 entre la France et l’arabie

L’échec des mécanismes de marché tient à l’impossibilité d’obliger les agents à révéler leurs préférences. Ce phénomène est connu sous le nom de « passager clandestin » (free rider) : il désigne le comportement d’une personne qui veut obtenir un avantage sans avoir à fournir de contrepartie (dans notre exemple, profiter des biens publics en laissant aux autres leur financement). Aucune entreprise privée n’a intérêt à se lancer dans sa production de biens collectifs purs puisqu’il n’y aurait pas

secteur industriel marocain 2. Les indicateurs globaux PIB (2008) : USD 88,9 milliards PIB par habitant (2008) : USD 2810 Croissance du PIB (en %) : 2005 : 2,2 2006 : 7,8 2007 : 3,2 2008 : 6,2 2009 : 2,6 Taux de chômage : 2005 : 11,0 2006 : 9,7 2007 : 9,8 2008 : 9,5 2009 : 9,1 Inflation – taux officiel (en %) : 2005 : 1,0 2006 : 3,3 2007 : 2,0 2008 : 3,8 2009 : 2,0 Balance des pouvoirs publics (en % du PIB) : 2006 : 2,0 2007 : -0,3 2008 : -6,6 2009 : -4,2 (prévisions)

par les agents économiques qui résident sur son territoire, donc les entreprises marocaines comme étrangères, les administrations, le pays utilise un indicateur de la croissance économique qui s’appelle le Produit Intérieur Brut ou PIB et qui se calcule comme suit :  PIB = Somme des valeurs ajoutées des entreprises (réalisées sur un territoire donné)  LE MODÈLE DU CIRCUIT ÉCONOMIQUE  Comment mesurer la production Le Produit national Brut ou PNB: Mesure la richesse produite, pendant une

présentée comme la plus grande démocratie du monde. L’Inde, géant démographique, politique et économique, poursuit son ouverture vers l’extérieur, engagée il y a près de vingt ans. Son potentiel de développement est immense. Avec une croissance du PIB d'environ 8% par an et une classe moyenne de 200 millions d’habitants, l’Inde se présente comme un formidable marché pour l'export, insuffisamment exploré aujourd’hui. Cependant, avant de s’implanter en Inde, il est primordial de répondre à certaines

culturelles et politiques afin qu'une portion plus importante de la population mondiale puisse jouir des avantages réels et supposés que procure le développement. Ces théories ont avant tout mis l'accent sur le fait que le développement - qui était tacitement considéré comme la somme des biens et des avantages matériels communs aux pays riches (mais n'étant pas accessibles à TOUS les habitants de ces pays) - était ce que les pays pauvres devaient acquérir grâce au développement. Il était évident,

nombre de logements relativement important, leur permettant de n’héberger, en moyenne, que deux à trois personnes sous un même toit. Leur effort de construction est cependant très inégal. En 1999, l’Irlande a construit plus de 12 logements pour 1 000 habitants, la France plus de 5 et la Suède moins de 2. Le dynamisme de la construction semble aller de pair avec le rattrapage économique des pays les moins avancés, notamment ceux du Sud. La proportion de ménages propriétaires de leur résidence principale