Avantages Agences De Notation

alliance pour la RSE → les agences de notation sociétale →Les acteurs de l ISR, investissement socialement responsable LES AGENCES DE NOTATION SOCIETALES Crées fin année 90 et début 2000. Elles évaluent et notent la politique de responsabilité sociale et environnementale des entreprises. Elles travaillent a partir d analyses de documents publics, et avec rencontres des responsables de l entreprise. Deux types de notation existent : → la notation déclarative : évaluation de la politique

sur le moyen/long terme puisque les banques ont par la suite choisi de contourner cette régulation en prenant des actifs plus risqués par exemple en accordant massivement des crédits subprimes considérés alors comme peu ou pas risqués par les agences de notation. Actuellement, les autorités de réglementation bancaire du monde entier appliquent les règles définies par les accords de Bâle II mis en place en 2001. Ces accords reprennent le même principe de sécurité établit par Bâle I tout en étant beaucoup

entreprises. Avantage de l'économie le risque pris par la banque est remis sur plusieurs investisseurs ( c'est l'idée de transferts de risques. ) Il y'a pas de motivations a choisir les gens qui prennent de crédit ( aléa moral ) La vigilance des banques baissent. Les investisseurs achètent un paquet de crédit Le risque de défaillance de ce crédit était censé être inférieur qu'au crédit perso , mais la crise de l'immo fait qu'il y est plusieurs faillites . Tranches par des agences de notation La titrisation

des produits aux différentes agences. En effet, chaque RZ se voit attribuer un objectif de ventes. Celles-ci correspondent à des produits qui doivent être dispatchés entre les agences commerciales, qui devront ensuite à leur tour les vendre. Les objectifs de vente sont définis par le siège, via des formules d’affectations, il semble que les RZ ne connaissent pas ces formules, et on ne sait pas si celles-ci prennent en compte les dernières ventes effectuées par les Agences. Ils ne semblent pas non plus

«non gaap» 1.5 Litiges et provisions 6 Avertissements sur les résultats 1.6 Rémunérations et avantages au personnel 7 Communiqués et publications intermédiaires 8 Document de référence Description de l’activité Perspectives Chiffres d’affaires trimestriel 1.7 Variations de périmètre 1.8 Fiscalité 9 Présentations à l’Assemblée Générale 1.9 Stocks et encours 10 Présentations aux analystes et agences 1.10 BFR ... suivi du processus d’élaboration de l’information financière ... 5 Phase 2

première moitié de 2007, les informations obtenues sur la détérioration de la qualité des subprimes entraine la méfiance des agents contre les produits titrisés, aidée par la baisse de plusieurs notes liées aux crédits subprimes effectuée par les agences de notation. Ce contexte implique une hostilité au risque et les banques refusent de se prêter de l’argent. Par manque de confiance, les banques subissent une forte dépréciation de leurs actifs non liés aux subprimes et doivent obtenir des liquidités en

donne lieu à un foisonnement d'initiatives émanant de multiples acteurs. Cette situation est analysée en deux phases. La première où les stratégies sont proactives, les engagements volontaires destinés éventuellement à définir les règles à son propre avantage, et la seconde où les stratégies sont réactives sur la base de règles qui s'imposent à tous. L'enjeu associé à la définition d'indicateurs est crucial dans ce processus. Cette note s'intéresse plus particulièrement aux rapports de force existant

titrisation 1. Un environnement favorable aux abus de la titrisation a) La trop grande sophistication des produits financiers b) Le développement d’un « système bancaire parallèle » permis par les dispositions réglementaires c) La défectueuse notation des produits financiers complexes 2. Les abus et les déviations de la titrisation II- L’AVENIR DE LA TITRISATION APRES LA CRISE FINANCIERE A/ La modernisation du cadre juridique de la titrisation 1. Diversification des acteurs et de leur objet

hiérarchique. Les trois catégories: - A – enseignement supérieur, fonctions d’encadrement des services - B – niveau Bac, fonctions intermédiaires - C – niveau BEPC, fonctions d’exécution Modèles d’autres pays: Exemple du Canada: - agence de gestion des RH de la fonction publique - dispose d’une fonction publique de carrière - l’emploi à vie ne leur est pas garantie, il dépend de l’évaluation individuelle de chaque agent et non pas de l’ancienneté - mise en place de la rémunération

pourrait le laisser aux autres. Le monde du moins pire est le seul à notre portée. Le rééquilibrage des richesses est une vieille rengaine. Américains ou Européens, personne ne veut partager les profits. Chacun veut imposer des règles à son seul avantage. La démagogie des bons sentiments cache l’arbre individualiste d’États qui ne songent qu’à leur propre intérêt par des politiques qui n’existent que sur un plan national, voire local, juridiction de vote. Il a manqué un encadrement juridique pour