Avantages Du Comique

comité: un fils d'esclave ». Où a-t'on vu un fils d'esclave commander ? », dès lors, les individus isolés 2/7 peuvent avoir leur chance: « deux mulâtres de petits-enfants de Diamourou » − Tout est devenu différent, les Malinkés ont perdu leurs avantages et même les valeurs morales sont devenues différentes, décadence morale visible chez Fama : « les gens de l'indépendance ne connaissent ni la vérité, ni l'honneur, ils sont capables de tout. » « soucieux...de la dépravation des coutumes » TRANSITION:

teintée d’un peu d’ironie, Angélique lui confier filialement, si ce n’est lui ressasser, son amour pour Cléante. Comique 1. Quel procédé du comique de situation la didascalie « faisant semblant de s’être cogné la tête » (sc. 2, l. 215) implique-t-elle ? Il s’agit du pantin à ficelle : Toinette tente de manipuler Argan. 2. Dans la première partie de la scène 2, quel procédé du comique de situation est employé ? Quelle caractéristique stylistique en accentue le rythme ? Il s’agit du diable à ressort

la question : pourquoi ce succès ? La citation de La Fontaine suggère une réponse : l’aspect divertissant de l’histoire ("C'est proprement un charme"); l’efficacité persuasive (l'auteur peut mener "à son gré les coeurs et les esprits"). A ces avantages on pourrait d'ailleurs en ajouter quelques autres, qui donneront raison à La Fontaine. Mais le genre de l'apologue a les revers de ses qualités : argumentation par essence masquée, elle peut facilement échapper au lecteur insuffisamment averti

traiter des sujets sérieux ou graves sur le mode plaisant ou humoristique ? Dans une première partie nous verrons grâce à l’aide d’exemples ce qu’apporte le mode plaisant ainsi que les inconvénients du mode sérieux. En second plan nous verrons les avantages d’un ton plus sérieux, et les inconvénients qu’apporte le mode humoristique pour traiter de ces même sujets sérieux. Pour finir nous verrons les principaux arguments sur la nécessité de la liberté d’expression mais aussi sur ses limites. 1) L'auteur

n'est pas très difficile de trouver les occasions de rire si l'on est d’humeur à les apprécier. Dans la rue, en bus, en métro ou en voiture, à son travail, à la maison... c'est une question d'appréciation personnelle et surtout d'état d'esprit. Le comique est partout pour qui sait le voir. Mais le rire a tout de même besoin de conditions favorables et sociales. C’est sûrement de ces variations qu’éclate notre rire. 1. Les théories principales Il y a 3 catégories de stimulations irrésistibles qui

prendre de risque : changer de sujet. Après cela on peut délimiter le sujet : « A votre avis, la comédie au théâtre ne sert-elle qu’à faire rire ? » Comédie et théâtre: on ne traite que la comédie : on exclut la tragédie, ce n’est pas le roman comique n’y un film. Ne qu’ : cela sous-entend que la comédie a plusieurs objectif mais que le premier et de faire rire. Servir : on s’interroge sur le but, les objectifs, à quoi elle sert. Pourquoi l’auteur utilise t’il la comédie. Faire rire :

dévoile tout ses secrets à son rival Néron. Dans le troisième texte, le quiproquo crée un effet comique : « Les Hébrides ? Vous ne savez pas où c’est ? (L5)» « C’est pas moi qui range ici (L8) ». On peut voir un point commun entre les textes de Plaute et de Racine : Certains personnages profitent du quiproquo à leur avantage, tandis que dans le texte de Feydeau, le quiproquo a pour seul but d’être comique. De plus, le personnage ignorant le quiproquo a dans les trois textes une naïveté soulignée :

place notre dernier spectacle. On se connait tous, on sait qui pourrait mieux incarner tel personnage ou tel autre. Cette année nous avons fait le choix de ne pas jouer une seule et unique pièce pour la simple et bonne raison de ne pas avantager ou désavantager une personne par rapport au texte qu’il va jouer. Choisir différentes scénettes semble donc être un bon compromis entre mise en place d’une histoire et mise en avant de chaque comédien. Pour ce qui est de ma scène, j’interprète

exige le meilleur pour lui : adjectif ordinal « première place » et les superlatifs répétés « meilleure chambre, meilleur lit ». Ainsi, le personnage ne se gêne pas pour les autres, fait tout pour son confort, avoir le meilleur et il obtient ses avantages par des subterfuges tels que le mensonge « si on veut l’en croire ». Il est donc sans gêne si scrupule. Transition : Le personnage n’a aucun scrupule à s’octroyer ce qu’il y a de mieux et à mépriser tous ce qui l’entourent, ne songeant qu’à son

1) Mais à la différence de ses sinistres «confrères», il amuse par la façon dont il s'adapte à sa nouvelle fonction et cherche à jouer un rôle qu'il n'a pas choisi. Ces trois actes doivent tout d'abord beaucoup à la tradition de la farce. Outre le comique de gestes, constamment présent sans être gratuit, dans lequel Molière, excellent acteur, devait briller, c'est la fantaisie verbale qui apparaît ici sous les formes les plus traditionnelles qu'elle revêt depuis le Moyen Age : jargon paysan de Thibault