Avec Ses Vêtements Ondoyants Et Nacrés

viver num tempo em que ela, além de não mais existir, se transformou apenas num clichê poético desgastado (Gomes, 1989, p.33). - 28 - O mundo moderno surge como um negro painel composto por seres monstruosos: O monstruosités pleurant leur vêtement! O ridicules troncs! torses dignes de masques! O pauvres corps tordus, maigres, ventrus ou flasques Que le dieu de l’Utile, implacabe et serein, Enfants, emmaillota dans ses langes d’airain! (Baudelaire, 1961, p. 12). As palavras dorer: dourar

bénédiction » , ou encore le dégout dans « Sépulture ». Le reptile est investit aussi de qualités. Il traduit par ex : la force (dans « le beau navire »), l’élégance(dans «le serpent qui danse ») ou encore la souplesse( dans « Avec ses vêtements ondoyants et nacrés ».La mer est aussi traitée dans cette œuvre. De manière négative, elle symbolise l’hostilité dans « les septs veillards », la tristesse dans « la Musique » ou encore la finitude terrestre dans « le voyage ». Mais de manière positive, elle

poétique : Tout le charme du poème consiste à nous faire confondre la pluie et les pleurs et à nous situer, insensiblement dans une autre réalité. Nous entrevoyons l'action de la pluie une langueur qui imprègne le cœur comme la pluie imprègne les vêtements. Le poème donne la sensation de monotonie et de répétition de la pluie. Les mêmes mots et les mêmes sons régulièrement repris reproduisent le bruit de la pluie, doucement répétitif. Impressions personnelles : Ce poème dévoile l’âme en peine

Vampire », le froissement du baiser (« Femmes damnées »), le corrosif remords (« Rêve parisien »). Parfois le chaud (« La vie intérieure »), est aussi pénible que le froid (« La Muse vénale » et également le sonnet sans titre « Avec ses vêtements ondoyants et nacrés… ») ou l’humide. La sensualité, l'érotisme de certains poèmes ont suscité les jugements et reproches d'une bourgeoisie soucieuse de la morale ainsi que le montre le procès des Fleurs du mal de Baudelaire. La plupart des couvertures du

.......... 16 Sed non satiata........................................................................................ 44 Correspondances........................................................................................ (Avec ses vêtements ondoyants et nacrés)..................................................... 17 45 (J'aime le souvenir de ces époques nues)........................................................................................ 18 Le Serpent qui danse.......................

- renvois à d’autres articles, beaucoup plus courts : l’essentiel de la critique est dissimulé derrière ce dérisoire vêtement, objet d’une querelle grotesque ( : cordeliers : ordre mendiants/ franciscains). - références : Le Père Mabillon

aujourd’hui, quand il veut concevoir Ces natives grandeurs, aux lieux où se font voir La nudité de l’homme et celle de la femme, Sent un froid ténébreux envelopper son âme Devant ce noir tableau plein d’épouvantement. Ô monstruosités pleurant leur vêtement ! Ô ridicules troncs ! torses dignes des masques ! Ô pauvres corps tordus, maigres, ventrus ou flasques, Que le dieu de l’Utile, implacable et serein, Enfants, emmaillota dans ses langes d’airain ! Et vous, femmes, hélas ! pâles comme des cierges

géante XXI – Le masque XXII – Hymne à la beauté XXIII – Parfum exotique XXIV – La chevelure XXV – Je t’adore à l’égal de la voûte nocturne XXVI – Tu mettrais l’univers entier dans ta ruelle XXVII – Sed non satiata XXVIII – Avec ses vêtements ondoyants et nacrés XXIX – Le serpent qui danse XXX – Une charogne Page 15 Copyright Arvensa Editions Extrait Charles Baudelaire : Oeuvres complètes Charles Baudelaire XXXI – De profundis clamavi XXXII – Le vampire XXXIII – Une nuit que j’étais

la bise - si fille-fille ou fille-garçon -, se tapent dans la main, paume sur paume, poing sur poing, phalange contre phalange - si garçon-garçon -, s'invectivent, exclamatifs, crus, juvéniles, agglomèrent leurs sacs, baskets, sandales, tongs, vêtements, casques, étendent leurs serviettes à touche-touche ou les disposent en soleil avec au milieu un lecteur radio pourri, deux ou trois litres de Coca, des paquets de clopes, alors les éclats de leur voix ricochent sur la pierre, rebondissent et s'entremêlent

ou "parce qu'il déplace les lignes"? Voir l'interprétation de Mourot (1989, p. 173): "Je hais le mouvement, lorsqu'il n'est pas sculptural", -c'est-à-dire "solennisé", comme on a vu plus haut. Cf. surtout le goût baudelairien pour les mouvements "ondoyants", "sinueux". 213. Fiers: le sens technique de l'adjectif -"une pierre, un marbre résistants, qui se taillent difficilement" (Mourot, 1989, p. 174)- peut se surimprimer au sens courant d'"orgueil". 214. Texte de 1857: "De purs miroirs qui font les