Avenue Kléber

M. Louis GARDEL Fort-Saganne 1979 M. Henri COULONGES L’adieu à la femme sauvage 1978 M. Alain BOSQUET Une mère russe 1978 M. Pascal JARDIN Le nain jaune 1977 M. Camille BOURNIQUEL Tempo 1976 M. Pierre SCHOENDOERFFER Le Crabe-Tambour 1974 M. Kléber HAEDENS Adios 1973 M. Michel DÉON Un taxi mauve 1972 M. Patrick MODIANO Les boulevards de ceinture 1971 Jean d’ORMESSON La Gloire de l’Empire 1970 Bertrand POIROT-DELPECH La Folle de Lituanie 1969 M. Pierre MOUSTIERS La Paroi 1968 M. Albert

, Fernand Egéa , Balises ( Editions Nathan) l'Ecole des Femmes ,Jean Butin , profil d'une oeuvre ( Editions Hatier) Le Robert des Grands Ecrivains de langue française 50 romans clés de la Littérature française de Jean-Claude Berton, ( Hatier) Kléber Haedens Une Histoire de la Littérature française, Grasset 1970 Dictionnaire des Grandes Oeuvres de la Littérature française, Jean-Pierre de Beaumarchais, Daniel Couty (Editions Larousse)

qu'Anouilh a bâti une œuvre qui sous l'apparence d'un scepticisme amusé révèle un pessimisme profond. Il a également su dépeindre ces combats passionnés où l'idéalisme et la pureté se fracassent contre le réalisme et la compromission. Comme l'écrit Kléber Haedens, " Anouilh touche par ses appels au rêve, sa nostalgie d'un monde pur et perdu". Anouilh est mort en 1987. Source : www.alalettre.com/.../ww.alalettre.com/anouilh-intro.htm

s'enrichir, feignant d'avoir du bon sens… insolent avec l'Eglise et prudent avec Dieu, gaulois, rusé, ambitieux et moqueur, tel est Voltaire qui représente mieux que tout autre l'un des côtés célèbres, aimables et parfois irritants de l'esprit français. Kléber Haedens, Une Histoire de la Littérature française, Grasset 1970 Né en 1694 et mort à plus de quatre-vingt ans, Voltaire couvre tout le dix-huitième siècle. Enfant alors que La Fontaine et Racine étaient encore de ce monde, il aurait pu rencontrer

Citons notamment L'Invitation au château (1947), L'Alouette (1952), Pauvre Bitos ou le dîner de têtes (1956), Beckett ou l'honneur de Dieu (1959). Anouilh a bâti une œuvre qui sous l'apparence d'un scepticisme amusé révèle un pessimisme profond. Kléber Haedens écrit " Anouilh touche par ses appels au rêve, sa nostalgie d'un monde pur et perdu". • Anouilh est mort en 1987 JEAN RACINE Né dans une famille de la moyenne bourgeoisie et orphelin dès son plus jeune âge, Jean Racine est recueilli

B. chercher à s’opposer à son temps.  Barbey d’Aurevilly, fut, par ses convictions, son insolence et sa révolte, pour moi une des grandes figures littéraires du XIXe siècle «  Il a traversé son époque en protestant avec hauteur contre tout. » dit  Kléber Haedens de Jules-Amédée Barbey d’Aurevilly ( « Catholique au milieu des incroyants, monarchiste après les monarchies, ligueur sans

| |Agatha Belgique sa Avenue Louise / Louizalaan, 34 - 1050 Bruxelles / Brussel | | | |Alfrey and Greene sa Avenue Louise / Louizalaan, 67 - 1050 Bruxelles / Brussel

Les étoiles filantes Directrice : Jennifer Lerot Localisation : avenue de Roodebeek, 61 2) L'île aux enfants Directrice : Catherine Beaume Localisation : avenue Raymond Foucart, 7 3) Les petites étoiles Directeur : Vincent Claeys Localisation : rue Godefroid Guffens, 26 3) Loulou et Cie Directrice : Anne Carrez Localisation : Grande rue au Bois, 57 4) La Petite Ourse Directrice : Annie Fontaine Localisation : avenue Voltaire, 177A 4) Les petits galets Directrice : Risiène Meggarou

grandes avenues rectilignes débouchent sur cette place et forment une étoile. Depuis le nord et dans le sens anti-horaire (sens de circulation des véhicules) : 1. Avenue de Wagram depuis le Second Empire et auparavant boulevard de l'Étoile ou boulevard Bezons. 2. Avenue Mac-Mahon : avenue du Prince-Jérôme sous le Second Empire. 3. Avenue Carnot : avenue d'Essling sous le Second Empire. 4. Avenue de la Grande-Armée depuis le Second Empire et avenue de Neuilly auparavant. 5. Avenue Foch : avenue du Bois

cette fois, le public accueille favorablement sa peinture. Au temps de la faible lueur de l’éclairage au gaz, quand les peintres devaient, les jours d’hiver, quitter leurs brosses et leurs palettes dès 17h.30, ils se retrouvaient au Café Guerbois (avenue de Clichy). Là, accompagnés de leurs amis et admirateurs, dont Zola qui leur réservait toujours quelques articles favorables dans la presse, ils entamaient des discutions animées à tous propos. Bien que d’idées et de caractères différents, les amis