Aveu Britannicus

tous ceux que j'ai faits je vais vous éclaircir. Vous régnez : vous savez combien votre naissance Entre l'empire et vous avait mis de distance. Les droits de mes aïeux, que Rome a consacrés, Etaient même sans moi d'inutiles degrés. Quand de Britannicus la mère condamnée Laissa de Claudius disputer l'hyménée, Parmi tant de beautés qui briguèrent son choix, Qui de ses affranchis mendièrent les voix, Je souhaitai son lit, dans la seule pensée De vous laisser au trône où je serais placée. Je

l’héroïne vers la mort Dans la scène 1, elle est présentée comme un femme mourante, et qui cherche à mourir. On repère le champ lexical de la mort comme : « fatal », « je péris ». Phedre va mourir et elle en est parfaitement consciente. C'est cet aveu fait à Oenone qui enclenche son chemin vers la mort. Phedre va avouer trois fois au cours de la pièce : une fois à Oenone, une fois à Hippolyte, une fois à Thésée. Le véritable objet de cette pièce c'est son amour scandaleux qui est révélé aux personnages

après la mort de son père, Titus l’aime toujours et doit l’épouser. Antiochus lui fait ses adieux mais finit par lui avouer les vraies raisons de son départ. Plus surprise qu'offensée dans sa gloire et déçue dans son amitié, elle reçoit froidement cet aveu, et le laisse partir. La confidente de Bérénice, Phénice, lui reproche de ne pas avoir gardé en réserve cet amoureux fidèle, au cas où Rome ferait obstacle à son mariage avec Titus, car le peuple romain entretient une vieille haine contre la royauté

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Jean RACINE (France) (1639-1699) [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’Andromaque’’, ‘’Britannicus’’, ‘’Bérénice’’, ‘’Iphigénie’’, ‘’Phèdre’’) Bonne lecture ! Il avait un an quand mourut sa mère, trois ans quand son père à son tour disparut. Ils n'étaient ni riches ni lettrés. Rien ne le disposait mieux que cette entrée difficile sur la scène du monde à en être le

3. Texte 1 : Racine, Phèdre, I,3, du début au v. 310 « flamme si noire » Racine, dramaturge classique du XVIIème. Autres pièces d’inspiration antique : Bérénice (1670), Britannicus (1669), Iphigénie (1674). Question : Comment l’aveu d’une passion amoureuse fait-il en apparaître toute la violence tragique ? OU : en quoi cet aveu fait-elle de Phèdre une héroïne tragique ? I) L’expression de la passion amoureuse Passion qui s’empare totalement de Phèdre 1) Troubles physiques → Récit d’un coup

comme l’un des plus grands auteurs de tragédies de la période classique en France. Le succès d'Andromaque en 1667 lui ouvre une décennie de grandes créations où l'on trouve : - une unique comédie :Les Plaideurs en 1668 - six grandes tragédies : Britannicus (1669), Bérénice (1670), Bajazet (1672), Mithridate (1673), Iphigénie (1674) et Phèdre (1677). Élu à l'Académie française en 1672, il parvient ensuite au faîte de sa gloire grâce à Iphigénie et Phèdre. « Phèdre », est une tragédie : qu’est-ce

liées à la vie intime des personnages et se déroule sans qu’il ne puissent faire quoi que se soit. En outre nous retrouvons cette même souffrance dans Britannicus, de Racine où Junie doit choisir entre exprimer l’amour qu’elle a envers Britannicus qui provoquera Néron à tuer Britannicus, ou bien de ne pas montrer l’amour qu’elle a pour Britannicus pour qu’il survit. Nous remarquons ensuite que le théâtre représente le mal car il met en scène une violence physique notamment avec l’utilisation de

Grèce) * Racine = lyrisme de la poésie grecque (= Phèdre, Bajazet -> on est dans le mythe, ça n’a rien de grec) Méfions-nous des stéréotypes ! Britannicus = pièce qui, avec Bajazet … Dans sa concept° même de la trag, Corneille tendait tjs à minimiser la place de l’amour qui …. (En orange : A reprendre avec les anciennes pages) Britannicus est une pièce qui semble conçue par Racine. Question de pouvoir. Même théâtre que Cinna, qui nous fait assister au même terrain que Corneille. Racine

est un dramaturge ainsi que historiographes, c'est aussi un poète français. Son mouvement artistique principal et le classicisme ainsi que le genre dont il bénéficie ça célébrité aujourd'hui elle a tragédie. Ces œuvres principales son Andromaque, Britannicus, Bérénice, Iphigénie ainsi que Phèdre dont il est question aujourd'hui. Jean racine est connu pour avoir amené la tragédie classique à son plus haut accomplissement ainsi qui y avoir produit une harmonie en ce genre.Phèdre par Racine parle de Thésée

Chambre et l’Anti-Chambre : la Porte. La franchir est une tentation et une transgression ; elle a un substitut actif, requis lorsque le Pouvoir veut épier l’Anti-Chambre ou paralyser le personnage qui s’y trouve. C’est le Voile, ou Mur qui écoute (Britannicus, Esther, Athalie) ; la paupière, symbole du Regard masqué. L’Anti-Chambre est alors un lieu-objet cerné de tous côtés par un espace-sujet ; la scène racinienne est donc doublement spectacle, aux yeux de l’invisible et aux yeux du spectateur (voir