Aviron

roman le rend nerveux il utilisera une comparaison « comme des fils de laiton ». Ses lettres témoigne aussi sa lassitude de se heurter à de nombreuses difficultés. Flaubert à l'impression de ne pas progresser, il compare sa « plume » à un « lourd aviron ». Il est tellement désespéré qu'il exprime des contradictions tel que l'antithèse « désole » et « amuse ». En un mois, il n'aura écrit que vingt pages. C'est pour cela qu'il utilise le chant lexical de la difficulté : « péniblement, gâcher, lente

de l’albatros. Le registre pathétique utilisé nous montre la souffrance de l’albatros, et provoque la compassion auprès des lecteurs. Dans ce poème, le champ lexical de la mer est très présent. « des mers »v2, « navire »v4, « l’azur »v6, « des avirons »v8. Il y a 3 phrases exclamatives dans le 3e quatrain, elles créent un rythme. On ressent la souffrance, la persécution de l’oiseau. III Ce texte c’est surtout un poème qui décrit le mal-être du poète Ce poème est un discours narratif, il

Catégorie B Catégorie C Catégorie D , le Plongée subaquatique A *(en compétition universitaire également) Signature et cachet du médecin : catégorie A : équitation, golf, sophrologie, yoga, tir, tir-à-l’arc / catégorie B : aérobic, athlétisme, aviron, badminton, basket, condition physique, course d’orientation, cyclisme, danses, football, gymnastique aquatique, gymnastique rythmique et sportive, gym tonic-strech, handball, hockey en salle, musculation, nage avec palmes, natation, natation sportive

insensible, L'onde qu'il aime à parcourir ! Montons sur la barque légère Que ma main guide sans efforts, Et de ce golfe solitaire Rasons timidement les bords. Loin de nous déjà fuit la rive. Tandis que d'une main craintive Tu tiens le docile aviron, Courbé sur la rame bruyante Au sein de l'onde frémissante Je trace un rapide sillon. Dieu ! quelle fraîcheur on respire ! Plongé dans le sein de Thétis, Le soleil a cédé l'empire A la pâle reine des nuits. Le sein des fleurs demi-fermées

Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait! Le Poète est semblable au prince des

connaisseur. Il avait canoté, lui aussi, dans son jeune temps, disait-il ; voire même qu’avec ça dans la main - et il faisait le geste de tirer sur les avirons - il se fichait de tout le monde. Il avait rossé en course plus d'un Anglais, jadis, à Joinville ; et il plaisanta sur le mot “dames ”, dont on désigne les deux montants qui retiennent les avirons, disant que les canotiers, et pour cause, ne sortaient jamais sans leurs dames. Il s'échauffait en pérorant et proposait obstinément de parier qu'avec

Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. À peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d’eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid ! L’un agace son bec avec un brûle-gueule, L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait ! Le Poëte est semblable au prince

Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid ! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait ! Le Poète est semblable au

pratique de cette activité, est un des meilleurs moyens de prévenir et de corriger la résistance à l’insuline. Les sports dits d’endurance, permettent celle-ci et produisent des effets durables. Ces sports sont les suivants : - athlétisme -aviron -natation -gym aquatique -course à pied -cyclisme -marche -ski de fond L’idéal selon les docteurs, serait de faire ce type de sport environ 3 à 5 fois par semaine, de 20 à 30 minutes, d’intensité de 40% à 85% de VO2max, de

planches >> symbolise la Terre >> 1ère évocation du sol v6 : antithèse entre « roi d'azur » périphrase valorisante et adjectifs qualificatifs juxtaposés « maladroit et honteux » >> roi déchu v7et8 : comparaison (avec comme) des ailes avec des avirons >> ce qui montre l'incompatibilité entre l'air et la mer v9 : antithèse entre les deux hémistiches « Ce voyageur ailé » (périphrase valorisante) et « gauche et veule » >> dévalorisation v10 : deux antonymes « beau et laid » >> antithèse >> opposition