Aviron

spatio-temporel a) Le cadre spatial de la mer Il s’agit d’une partie de pêche en mer. Le lieu est très confiné : la barque contenant cinq personnes. Le récit est réaliste grâce à l’utilisation du vocabulaire technique : « bâbord », « tribord », « tolet », « aviron »… b) Le traitement du temps C’est une scène en temps réel avec un déroulement linéaire ou chronologique. Les dialogues sont vivants et permettent de restituer une ambiance par souci de réalisme. Le juron « zut » qui ouvre le roman est une véritable

connaisseur. Il avait canoté, lui aussi, dans son jeune temps, disait-il ; voire même qu'avec ça dans la main - et il faisait le geste de tirer sur les avirons - il se fichait de tout le monde. Il avait rossé en course plus d'un Anglais, jadis, à Joinville ; et il plaisanta sur le mot "dames ", dont on désigne les deux montants qui retiennent les avirons, disant que les canotiers, et pour cause, ne sortaient jamais sans leurs dames. Il s'échauffait en pérorant et proposait obstinément de parier qu'avec

soussigné(e) Docteur ………………………………………………………… Certifie avoir examiné ce jour…………………………………………………………………….. et déclare qu’il/elle ne présente aucune contre-indication à la pratique des sports* suivants : Basket – Foot – Futsal – Rugby – Volley – Tennis – Aviron – Voile – Badminton – Boxe – Danse – Fitness – Musculation - Viet Vo Dao – autres * y compris en compétition * Cachet du médecin Date et Signature (* entourez les mentions choisies) Cadre réservé à l’administration Référence du chèque d’adhésion

Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid ! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince

il a été élève de la Dragon School avant d'intégrer le collège d'Eton puis le Selwyn Collège, à Cambridge, où il a étudié l'archéologie et l'anthropologie. Son père Ran Laurie ayant été médaillé d'or aux Jeux olympiques d'été de 1948 à Londres en aviron, Hugh fut lui-même rameur durant ses études, puisqu'il prit part en 1980 à la course Oxford-Cambridge (Cambridge perdit cette année-là pour un mètre cinquante). Pendant sa première année universitaire, Laurie rencontre l'actrice britannique Emma Thompson

oiseaux des mers,Qui suivent, indolents compagnons de voyage,Le navire glissant sur les gouffres amers.A peine les ont-ils déposés sur les planches,Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,Laissent piteusement leurs grandes ailes blanchesComme des avirons traîner à côté d'eux.Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid !L'un agace son bec avec un brûle-gueule,L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait !Le Poète est semblable au prince des nuées Qui

possède une tout autre portée symbolique. Une description maritime L’univers maritime Narration : scène de vie quotidienne (vie de la mer) et titre = marine (scène maritime) Champ lexical de la mer : « oiseau de mer », « gouffre amer », « navire », « aviron » En même temps réaliste : réalisme de la vie en mer des marins. Le sol Sol peu décrit : mais comprend l’aspect humain avec le portrait des « hommes d’équipage » Métonymie du pont du bateau correspondant au sol terrestre : « planche » -> « navire »

qu’il est rejeté de la société. - (V: 2 et 3) “vastes oiseaux des mers” et “indolents compagnons": Périphrase. - (V:6) “ces rois de l’azur” - (V:9) “ce voyageur ailés” - (V:13) “Princes des nuées” - (V:7 et 8) “leurs grandes ailes blanches comme des avirons” - (V:10) “lui naguère si beau, qu’il est comique et laid” : Comparaison. - (V:12) “l’infirme qui volait” : Oxymore - (V:13) “le poète semblable….”: Comparaison. - (V:16) “Ses ailes de géants l’empêchent de marcher” : Métaphore. CLN : Nous avons vu

déchu. Du vol royal, on passe au boitement de l’infirme. Les vers 7 et 8 nous démontre la perte du côté merveilleux et du somptueux. « Les grandes ailes blanches » qui symbolisent sa légèretés deviennent lourdes et mécaniques désigné par l’adjectif « aviron ». « Le voyageur ailé » devient « gauche et veule ». Autrefois admiré dans le ciel, il fait désormais objet de moqueries. « Le navire glissant » crée une atmosphère calme. L’allitération en « g » et l’assonance en « a » nous procure un espace

suivent, indolents (¹) compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. À peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid ! L'un agace son bec avec un brûle-gueule (²), L'autre mime, en boitant, l'infirme, qui volait ! Le Poète est semblable au