Aviron

terre. Cette idée dévalorisante se prolonge dans le vers 7 avec l’adverbe « piteusement », le fait que l’adverbe ai 4 syllabes insiste d’avantage. L’enjambement au vers 8 met en valeur la comparaison entre les « grandes ailes blanches » et les « avirons » qui ramènent encore une fois à l’image maladroite de l’albatros au sol. Cette impression est renforcée par le verbe « trainer », qui s’oppose à la légèreté de l’oiseau dans les aires.Deuxième mouvement suite: Dans le premier vers de la troisième

// « maladroits et honteux »=pejoratif v7 « grandes ailes blanches »=renvoie à Dieu V.7.8 : allitération en « l » → devient un élément négatif → renforcement du ridicule → s’oppose à celle en « eu /e » => et donc à la beauté de l’oiseau v8 « avirons » → normalement positif pour les marins (sur Terre) mais freins pour l’oiseau ailes désagréable v9 « ce » déterminant démonstratif = péjoratif V.9 : « voyageurs ailés » // « gauche/veule » → antithèse Phrases exclamatives → désarroi de la transformation

En 1900 aux Jeux Olympiques d’été : Les femmes firent leur première apparition. Elles participèrent aux épreuves de tennis et de golf et de manière limitée ou marginale aux épreuves de tir, voile, équitation, croquet, pêche, ballons, sauvetage, aviron. La première femme à obtenir un titre de championne fut la joueuse de tennis britannique Charlotte Cooper. De plus en plus de femmes ne sont investies dans la compétition sportive ou encore dans le sport amateur, certaines font du sport, pour le

cadre spatio-temporel réaliste Il s’agit d’une partie de pêche en Normandie. Le lieu est très confiné (cinq personnages dans une seule embarcation). Le récit est réaliste grâce à l’utilisation du vocabulaire technique de la marine (bâbord, tribord, aviron). Le cadre est réaliste car Maupassant a lui-même fait des recherches sur le lieu en se rendant au Havre. L’histoire se passe en 1885 car l’écrivain s‘est renseigné lui-même sur le départ du paquebot, le Normandie. C’est une scène en temps réel, in

Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule!  Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid! L'un agace son bec avec un brûle-gueule,  L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait! Le Poète est semblable au prince

Quand Don Juan descendit vers l'onde souterraine Et lorsqu'il eut donné son obole à Charon, Un sombre mendiant, œil fier comme Antisthène, D'un bras vengeur et fort saisit chaque aviron. Montrant leurs seins pendants et leurs robes ouvertes, Des femmes se tordaient sous le noir firmament, Et, comme un grand troupeau de victimes offertes, Derrière lui traînaient un long mugissement. Sganarelle en riant lui réclamait ses gages, Tandis que Don Luis avec un doigt tremblant Montrait

d'impôts sur les spectacles entre en vigueur quand les droits d'entrée sont nuls ou n'excèdent pas 0,15 euros. De plus, l'article 1561 du Code Général des Impôts dispense certaines disciplines sportives de l'impôt sur les spectacles : badminton, aviron, balle u tambourin, ball-trap, boxe française, escalade, escrime, football … Enfin, le conseil municipal peut décider que des disciplines supplémentaires en sont aussi affranchies. Exonération partielles d'imposition -À concurrence de 3 040 euros

Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maldroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid! L9un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait! Le Poète est semblable au prince

célébré par Hugo (autre Romantique) ; au sens abstrait, la chute morale de ces marins, vraiment indignes d'agir comme ils le font. Antithèses : opposition saisissante - entre la majesté de l'oiseau déployé en l'air et ses ailes repliées en "avirons", "piteusement", "sur les planches" ; - entre "voyageur ailé" et "Exilé sur le sol"; - entre "naguère si beau" et maintenant "comique et laid" ; ce rôle ainsi que "mime" et "sur les planches" introduit localement la métaphore filée du ridicule théâtral

qui ralentie = embarras, démarche trainante des oiseaux. Longue phrase avec de longs mots = appellent la pitié du lecteur. « eux » (les rimes) font échos aux « e » muets. Assonances [on] et [en] = mésaventure de l’albatros. Ailes de l’albatros = avirons. Sur les planches = métonymie et donc le théâtre. Théâtre très présent dans ce poème, les éléments traditionnels de la tragédie sont nombreux. « rois » = opposition avec le mot « maladroits » comme si on lui avait ajouté des lettres encombrantes.