Aviron

série) Radar (marque, modèle, no de série) Feux de position / poupe Klaxon (type) Extincteur(s) (type) Signaux pyrotechniques, date d’exp. Vestes de sauvetage Détecteur de monoxyde de carbone Bouée de sauvetage Ligne d’attrape Réflecteur de radar Aviron Compas (type et marque) Projecteur Autres: Quantité Oui Non 7 Plusieurs 2 2 2 1 1 Bon Mauvais Précisez Portatif Non à bord 1 6 7 1 1 1 1 Sea Fit formulaire 2007 2 D- APPAREILS ET INSTRUMENTATION DE NAVIGATION Quantité Oui Non Compte-tours

relier les villes et les villages aux cours d'eau (le but est de redonner de l'importance à la Saône qui a été un peu délaissée alors qu'avant, c'était l'un des axes de transports les plus utilisés) * développer les pratiques fluviales (pêche, aviron) * préserver l'environnement de la pollution en : * Renforçant des rives  qui sont très soumises à l’érosion, * Développant la faune et de la flore par le confortement des espaces naturels et la végétalisation des rives minérales

égoïste et colérique. Le poisson pêché est décrit de façon réaliste en faisant appel à tous les sens : « bruit doux des écailles gluantes », « nageoires soulevées », les effets de réel (utilisation d’un vocabulaire précis : « manne », « tolet d'un aviron», p. 33.) C’est un après-midi tranquille, ce que soulignent les brefs dialogues (répliques courtes de la mère et des fils, silence de Mme Rosémilly), et l’isotopie de l’apaisement : « immobile », « mouvement très léger », « assoupie », « air attendri »

Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d’eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid ! L’un agace son bec avec un brûle-gueule, L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince

d'esprit d'équipe, de solidarité et de performance. Tous les athlètes du Team EDF sont engagés dans la préparation des Jeux Olympiques et Paralympiques de London 2012, dans les principales disciplines parrainées par EDF en France et dans ses filiales : aviron, canoë-kayak, natation, et disciplines handisport et cyclisme. Diversité et performance sont les mots qui caractérisent le mieux la Team, ces même valeurs que véhiculent le fournisseur. Ce groupe regroupe des sportifs valides et handicapés sous contrats

suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. 5 A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule! 10 Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait! Le Poète est semblable au

l’objet dont on parle (le comparé) et une formulation imagée pour le désigner (le comparant). Il faut lorsqu’on analyse une figure de style, se demander quels sont les liens entre comparé et comparant. Analyse de "grandes ailes blanches comme des avirons Comparé Comparant voler bois liberté rame plumes rudimentaire légèreté lourd souplesse rigide déplacement déplacement Pour qu’une image soit efficace, le lecteur doit percevoir les sèmes (unités de significations) que le comparé et le

mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. 5 A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule! 10 Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait! Le Poète est semblable au prince des

suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid ! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait ! Le Poète est semblable au

des mers,Qui suivent, indolents compagnons de voyage,Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches,Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,Laissent piteusement leurs grandes ailes blanchesComme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule!Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid!L'un agace son bec avec un brûle-gueule,L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait! Le Poète est semblable au prince des nuéesQui