Aviron

pour se mouvoir, pour aller vers autre chose. Par analogie, les ailes représentent aussi l’inspiration ou les mots du poète qui lui permettent de s’exprimer (donc d’aller vers autre chose). Ici bas, les ailes n’on plus de fonction. * Comme des avirons: comparaison. Instrument qui permet d’avancer. Sans cet instrument, stagnation dans l’eau. Qui dit stagnation donc mort. * Trainer: implique une salissure du blanc, de la pureté. Confrontation de la poésie romantique: comment trouver l’inspiration

Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. 5 À peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d’eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! 10 Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid ! L’un agace son bec avec un brûle-gueule, L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince

hockey, tennis, sports combats, basket, volley ball, handball, foot US * Sport d’équipage : équitation, voile * Sport individuel de masse: athlétisme, vélo, natation, gymnastique, yoga, sport de neige * Sport individuel instrumentée : aviron, canoë, sport de glace, glisse sur eau, golf. * Sport a haut degré d’organisation : escrime, judo, tirs, arts martiaux, sports aériens * Sport socio-ludique : squash, pelote basque, marche, danse, badminton, jeux de boules, tennis de table

de 9ans. Taux d’insertion professionnelle proche de 90% dans le secteur du tourisme sportif. (http://www.martinique.drjscs.gouv.fr/IMG/pdf/2007_ETUDE_TOURISME_SPORTIF.pdf) Sport tourisme : Catamaran, voile traditionnelle (gommier, yole), aviron, surf, bodyboard, activité subaquatique, scooter des mers, kayak, kite surf, planche à voile, randonnée pédestre, randonnée équestre, trekking, canyoning, parcours acrobatique forestier, quad, golf, vtt, Plongée, Surf, Excursion 4x4 (http://www.vivre-la-martinique

; le canot se mit en mouvement, puis je sentis une résistance, je t'irai plus fort, l'ancre ne vint pas ; elle avait accroché quelque chose au fond de l'eau et je ne pouvais la soulever ; je recommençai à tirer, mais inutilement. Alors, avec mes avirons, je fis tourner mon bateau et je le portai en amont pour changer la position de l'ancre. Ce fut en vain, elle tenait toujours ; je fus pris de colère et je secouai la chaîne rageusement. Rien ne remua. Je m'assis découragé et je me mis à réfléchir

poète. - Société où le rêve est interdit, considéré comme une perte de temps => poète = figure de la marginalité = poète marginal, inadapté. b) l’impossibilité d’être libre et pur «laissent piteusement leurs longues ailes blanches comme des avirons trainer à côté d’eux » référence à la plume du poète donc son génie, sur « terre » il est handicapé par ce qui faisait son génie -> idée Baudelairienne : supériorité du poète dans son domaine qui devient un gène pour la vie réelle. Ici, un thème

oiseaux des mers,Qui suivent, indolents compagnons de voyage,Le navire glissant sur les gouffres amers.A peine les ont-ils déposés sur les planches,Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,Laissent piteusement leurs grandes ailes blanchesComme des avirons traîner à côté d'eux.Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid !L'un agace son bec avec un brûle-gueule,L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait !Le Poète est semblable au prince des nuées Qui

1 : Réseau des partenaires académiques et industriels........................................ 6  Illustration 2 : Architecture du réseau de capteurs .............................................................. 10  Illustration 3 : Parties d'un aviron ....................................................................................... 11  Illustration 4: Rapport Sonar au 26/08/2010 ....................................................................... 16  Illustration 5 : Architecture de

mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid ! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait ! Le poète est semblable au prince

pour la première fois son "adversaire", qu'il juge rapidement comme étant tout bonnement plus grand que sa barque, il continue sa lutte jusqu'à ce qu'une seconde nuit tombe, nuit durant laquelle il réussit à dormir un peu, attachant la ligne à ses avirons. N'ayant plus rien à manger, il débute alors sa troisième journée en mer, l'espadon se rapprochant toujours un peu plus. Au bord de l'épuisement, le vieux use de toutes ces forces pour faire jaillir le poisson, et le tue d'un coup de harpon. Lors