Avons Nous Besoin De Rêver

Nous allons abordés le sujet sur « Le monde d’aujourd’hui ». Mais le monde d’aujourd’hui, laisse-t-il place à un ailleurs qui fasse rêver ? Tout d’abord, nous allons parler du monde d’aujourd’hui et ensuite d’un monde nouveau. Le monde d’aujourd’hui, continue de progresser dans l’écologie, avec la création d’éoliennes, de panneaux photovoltaïques et de nouvelles voitures grâce à l’énergie électrique que nous possédons. Les nouvelles technologies comme les téléphones portables nous sont

c’est bien trop souvent ce qui est véhiculé par les médias et les masses comme l’opulence du luxe et de la richesse monétaire. Cette richesse est-elle en capacité de nous faire rêver, ou n’est-elle qu’un désir perdu dans l’obsolescence de nos fantasmes ? Nous montrerons donc dans un premier temps que la richesse permet de rêver, mais qu’elle présente bien vite des limites non atteignables lorsque l’on définit celle-ci d’une manière autre que celle véhiculée par les sociétés occidentales. Il semble

de roman peut-il être un anti-héros ? Nous étudierons cette idée en trois parties. Nous verrons tout d'abord qu'un anti-héros mis en scène a des certains avantages. Nous verrons ensuite que malgré tous, les limites de l’anti-héroïsme accentuent le besoin du héros emblématiques dans le roman, puis nous terminerons sur une nouvelle vision de l’héroïsme. Le genre romanesque prend une place centrale dans la littérature du XIXème siècle, avec les l’avènement du réalisme puis du naturalisme, mettant

idyllique du monde Contes de fées où règne sans partage amour, beauté, convialité, santé, richesse et bonheur La publicité fait rêver -Qu'elle fasse rêver - Qu'elle étonne - Qu'elle soit belle - Qu'elle soit drôle Déni de la réalité Rencontrer l'adhésion du consommateur Engrenage infernal = - susciter des besoins - renouveler les modes pour que les consommateurs soit toujours en retard -> Frustration Information

histoire, un autre univers, est un fabuleux moyen de s'evader mentalement, de se liberer l'esprit de notre réalité, si dure et si oppressante soit elle. Mais la question qu'il faut se poser est : " La fonction de la littérature est elle de nous faire rêver ?" La litterature, etant cet ensemble d'oeuvres nées du langage, peut elle réellement laisser vagabonder notre imagination sur le chemin fantasmé de mondes magiques et inconnus ou bien préfére t 'elle plutôt nous faire prendre conscience du monde réel

Cette ressaisie s’effectue à travers la volonté et le travail poétique. Le moi, va être de nouveau centralisé, et reprend le contrôle afin de pouvoir se concentrer sur l’écriture du poème, qui aura été inspiré par la rêverie. Celui qui ne sait pas rêver, ne saura pas non plus avoir de l’inspiration. La centralisation, contrairement à la vaporisation qui est plutôt du côté du plaisir, rejoint le goût du travail. Dans ses journaux intimes, Baudelaire écrit : « Il faut travailler, sinon par goût, au

ceci avec « s’échappaient » (l.8), « vous apprenait des nouvelles » (l.12), « faisait en ville vos commissions » (l.13). Effectivement, tous ces éléments veulent mettre en évidence le fait qu’Emma a besoin de s’évader du couvent. Elle n’accepte pas la vie telle qu’elle est, elle a toujours besoin de rêver à une vie meilleure. De plus, la lingère est surnommée « vielle-fille » (l.1), c’est une femme qui rêve d’amour mais qui est encore innocente et sans vie amoureuse. Flaubert a certainement voulu

pas le considérer comme utile. De plus, le but de l’art est la beauté, qu’elle soit concrète ou abstraite, s’en est d’ailleurs la définition même, or cette dernière n’a d’autre but qu’elle même, elle est indépendante du monde qui l’entoure et n’a besoin que d’elle même pour vivre. L’art est donc un luxe qui ne sert à rien d’autre qu’à se satisfaire soi-même. Et pourtant malgré cela, nous pouvons voir que l'art est une chose que tout le monde côtoie, tout au long de sa vie et sous beaucoup d’aspect

dénonce le cynisme du monde de la publicité et confie au lecteur qu’il n’en peut plus d’être ce qu’il est et de faire ce qu’il fait. En tant que « créa », il a pour mission de « Polluer l'univers », il doit faire rêver les consommateurs, leur donner envie d’acheter tel ou tel produit, créer le besoin. Il nos énumère les dix commandements du créatif, qui servent à manipuler « la mongolienne de moins de 50 ans ». Un bon « créa » doit « Toujours arriver en retard en réunion, ne surtout pas s'excuser et dire

harmonise les esprits. Il s’agit donc de trois utopies présentant chacune les caractéristiques d’une société parfaite où règne le bonheur. Dans un premier temps, on remarque que ces textes cherchent à nous dépayser. En effet, le cadre naturel donne à rêver de voyages dans ces mondes à l’aspect parfait. Par exemple, dans le texte A, Fénelon nous emmène dans un lieu où les conditions naturelles font envie. Le climat y est toujours agréable, « les hivers y sont tièdes » (l.5) et « l’ardeur de l’été y est