Avoué

jurer de partir sans poser de questions, lorsqu'elle lui aura avoué deux choses : sa venue de la veille pour se donner à lui et son refus de l'épouser. VII - L'aveu à Ismène, « Ismène, est entrée, appelant [...] Antigone ! » Hémon est parti. Ismène fait part à Antigone de ses peurs vis-à-vis de l'enterrement de Polynice : elle craint que sa sœur aille quand même là-bas. Ismène essaye à nouveau de convaincre Antigone. Cette dernière avoue à Ismène qu'elle l'a déjà fait le matin même. Ismène est horrifiée

qui ne peut-être «  que son frère ou son amant».   Ce dernier qui a suivi le convoi depuis Paris est ivre de douleur.  Il refuse de livrer son secret, et l’identité de la jeune fille, mais avoue  qu'il ressent pour elle " une passion si violente qu’elle (le) rend le plus infortuné de tous les hommes". Il avoue à l’auteur son intention de la suivre en Amérique. Il a pourtant tout essayé pour la libérer , mais en vain : Il a tout d’abord tenté  d’attaquer l’escorte à quelques lieues de Paris avec

qui ne peut-être « que son frère ou son amant». Ce dernier qui a suivi le convoi depuis Paris est ivre de douleur. Il refuse de livrer son secret, et l’identité de la jeune fille, mais avoue qu'il ressent pour elle " une passion si violente qu’elle (le) rend le plus infortuné de tous les hommes". Il avoue à l’auteur son intention de la suivre en Amérique. Il a pourtant tout essayé pour la libérer , mais en vain : Il a tout d’abord tenté d’attaquer l’escorte à quelques lieues de Paris avec

ans plus tard, en 1819. En même temps, il prend des leçons particulières et suit des cours à la Sorbonne. Toutefois, son père jugeant qu’il fallait associer le droit pratique à l’enseignement théorique, Honoré passe ses trois ans de droit chez un avoué, ami des Balzac, Jean-Baptiste Guillonnet-Merville, homme cultivé qui avait le goût des lettres. Le jeune homme exerce le métier de clerc de notaire dans cette étude où Jules Janin était déjà « saute-ruisseau » (jeune clerc de notaire ou d’avoué chargé

Rebecca, mais l'identification est facile: il s'agit bel et bien de Rebecca. Maxim, désespéré, raconte la vérité à sa jeune femme et lui avoue qu'il a tué Rebecca dans un moment de colère et de désespoir, qu'il a fait couler le bateau avec le corps. Il lui raconte la vie de débauche de Rebecca, le pacte immonde qu'elle lui avait imposé juste après leur mariage. Il lui avoue enfin son amour, et se livre à elle entièrement. Avec soulagement et joie, la jeune femme comprend enfin que son mari n'aime qu'elle

Scène 4 : Monologue d’Hernani ACTE 2 (Château de Silva) LE SOIR , Jour 2 Scène 1 : Don carlos, mathias, ricardo et Sancho discutent tout en attendant Dona Sol. Scène 2 : Dona Sol pensant rejoindre Hernani (En fait c’est Don Carlos). Il lui avoue son amour. Scène 3 : Hernani arrive et défend Dona Sol. Hernani et Don Carlos s’affrontent et Don Carlos finit par s’en aller. Scène 4 : Hernani refuse maintenant que Dona Sol le suive, car le Roi voudra le punir de l’avoir affronté. Il s’en va.

d’Hippolyte v31:/ v32 : Emploie du verbe juger, qui rappelle la faute commise par Phèdre --->jugement v33 : Débute par prince , rappelant que Hippolyte est le fils de Thésée , complète le vers 32 v34 : Vers disloqué, emploie des verbes excusez et avoue, qui montre qu’Hippolyte se remet en cause v35 : Utilisation du mot innocent , qui rejoins le champ lexical employé depuis le vers 32 v36 : Hyperbole désignant le fait que Hippolyte ne peut soutenir le fait que sa belle-mère l'aime v37 : Complète

héros, elle les met face à leur sentiments. Ses répliques sont pleines d'allusions, de sous-entendus. Elle construit son discours avec des ''je crois'', elle met la Princesse de Clève dans l'embarra (l-28). En effet si Mme de Clève avoue reconnaître le Duc, elle avoue sa séduction. La seconde réplique de la Reine, la met encore plus dans l'embarra, elle sous-entend qu'elle est tellement troublée, qu'elle ne peut pas répondre. Problématique - En quoi cette extrait est-il une scène de rencontre 

n'étant ni l'un un héros, ni l'autre un traître, mais tous deux des crapules, avides et cupides, s'étant bêtement entretués pour le pouvoir. Il avoue alors n'avoir aucune conviction que l'un est un héros ou l'autre un traître, c'est seulement pour le peuple... pour donner un bon et un mauvais exemple, le peuple a besoin d'un héros et d'un traître... Il avoue aussi qu'il ne sait même pas si le corps qui croupit là-dehors est bien celui de Polynice. Il reconnaît l'avoir pris tout à fait au hasard.

Lorenzaccio se découvre et avoue son projet (tuer Alexandre). • Lorenzaccio, l’œuvre : cette pièce dresse le tableau de Florence à la Renaissance. Elle est alors gouvernée pas les Médicis, famille peu aimée des Florentins, notamment Alexandre, frivole, violent, et son compagnon, Lorenzo de Médicis, dit Lorenzaccio. • Qui parle à qui ? Lorenzaccio s’adresse à Philippe Strozzi, mais il s’adresse également au spectateur et à lui-même. Il fait le récit de sa vie, avoue son terrible projet et