Avoué

1670), (Bajazet ; 1672), (Mithridate ; 1673), (Iphigénie ; 1674), (Phèdre ; 1677), (Esther ; 1689), (Athalie ; 1691). III) Résumé de l’œuvre. Thésée, roi d’Athènes et de Trézène, a disparu. Phèdre, son épouse, se meurt d’un mal mystérieux. Elle en avoue l’origine à sa nourrice et confidente Œnone : elle aime Hippolyte, fils de Thésée. Œnone la convint que la mort de Thésée rend cet amour légitime. Aussi Phèdre fait-elle au jeune homme un aveu délirant de sa passion pour lui. Hippolyte, qui a été reconnu

une évocation du défunt dans « douleur mortelle », qui introduit le motif de la douleur, et le cercle vicieux de la jalousie dont elle tente de se défaire par l’utilisation de marques de négation « ne serais pas » et « n’avoir point » ligne 10. Elle avoue qu’elle a déjà cédé à la jalousie ligne 12 « vous me l’avez fait connaître » en évoquant l’épisode de la lettre « le soir que la Reine me donna cette lettre » ligne 13, évocation qui est centrale dans la phrase tout comme l’épisode est central dans

RESUME – LA MARE AU DIABLE GEORGE SAND (1846) La Mare au Diable est un roman champêtre, écrit par George Sand, qui a été publié pour la première fois en 1846. I. Les personnages principaux Germain Germain est un beau et fort laboureur, âgé de 28 ans. Veuf de Catherine, la fille du père Maurice et de sa femme, qu’il a aimée fidèlement et avec tendresse, il travaille et vit à la ferme du père Maurice avec ses trois enfants. Marie La petite Marie, âgée de 16 ans, est une adorable jeune femme

aussi ridicule (sur un âne, sale, la robe retroussée jusqu’aux jarretières). Elle annonce que Camille, nièce du Baron arrive aujourd’hui au château sur l’ordre de monseigneur) . Elle décrit Camille comme l’incarnation de la pureté. Sc2. Le baron avoue à maître Bridaine ses espoirs : Marier son fils et sa nièce. Il semble évoquer la raison : Leur éducation lui coûte 6000 écus. (A noter qu’ils sont donc de la même famille. D’ailleurs, Bridaine ne manque pas de le rappeler et d’ajouter qu’il faudra

sont bien d’elle lesoir où il l’a demandéen sortis, précédés par le petit page. » fiançailles. Enfin, elle lui fait jurer de partir Antigonevient d’être interpellée sans poser de questions, lorsqu’elle lui aura par les gardes en flagrant délit de avoué deux choses : sa venue de la veille recouvrement du cadavre de son frère. Ils pour se donner à lui et son refus de ne savent pas qui elle est et ne croit pas à l’épouser. son identité.Les gardesjubilentd’avoir L’aveu à Ismène, arrêté la coupable et

Effectivement, Félix prend le prétexte d’aider la comtesse dans cette épreuve douloureuse pour la découvrir sous un autre jour. Prise dans cette épreuve, Henriette ne se soucie plus vraiment de son apparence vestimentaire et des convenances. Félix nous avoue, en la comparant à un soldat « durant une bataille », « elle dépouilla nécessairement ce décorum que toute femme, même la plus naturelle, garde en ses paroles, dans ses regards, dans son maintien quand elle est en présence du monde ou de sa famille

pas pour lui et que ce n’est pas un mariage digne d’être classé. Ils se disputent, Œ saute sur T les mains autour de son cou, et essaie de lire dans ses yeux d’aveugle ; ce qui rend Œ aveugle. T lui pose les mains sur le visage et lui rend la vue. Œ avoue à T qu’il est le fils de Polybe et Mérope (roi/reine de Corinthe). T s’excuse de tout, Œ lui fait promettre de ne rien dire même pas à Jocaste. T remet un e ceinture à Œ : il se l’ai fait remettre par une femme qui lui a demandé de la remettre à Œ

Acte 3 : Lorenzo se découvre Scène 1 : Après un assaut d'armes forcené, Lorenzo avoue à Scoronconcolo qu'il a un ennemi mortel. Scène 2 : Pierre réussit à vaincre les scrupules de son père, qui consent à l'accompagner chez les Pazzi, où se forme une conjuration. Scène 3 : En présence de Philippe, Pierre partage le sort de Thomas, arrêté sur l'ordre du duc; Philippe, accablé, somme Lorenzo d'agir : celui-ci avoue qu'il prépare le meurte d'Alexandre et évoque son passé. Scène 4 : Catherine reçoit

grande compréhension de la nature des femmes : il s'en sert dans ses romans. Balzac est un romancier, critique littéraire, essayiste, journaliste et écrivain français. Balzac à la fin de ses études de lycéen est placé comme petit clerc chez un avoué qui servira de modèle pour le personnage de Derville. Il manquera d'argent toute sa vie et connaît bien les problèmes qui en découlent. Il les décrira d'autant mieux. Son œuvre est considérable, on peut retenir Illusions perdues, le Père Goriot

avec une tête de taureau). Ensuite Vénus s’en est prise à Phèdre en la faisant tomber amoureuse de son beau-fils : Hippolyte. Cette passion conduira Phèdre à se suicider. [...] Le mot fuir dans le texte de Racine revient souvent. Quand Phèdre lui avoue son amour pour lui il éprouve une certaine répulsion à son égard. Plus tard dans la pièce il refusera même de lui parler. Quand son père l’accuse il se défend dignement mais ne dénonce pas la coupable car elle est la femme de son père. Son obéissance