Avoué

(1838-1844). Il y joue toujours le rôle d’un avoué intègre. Il est, en effet, avec Chabert, face aux trois autres personnages (le comte et la comtesse Ferraud, Delbecq), le seul personnage honnête et généreux de ce roman. Il est aussi le seul à accueillir, respecter et aider Chabert. Dès le début du roman, il est présenté comme un personnage doué de nombreuses qualités. Il travaille la nuit. Bien qu’il soit jeune, il a déjà un poste important, puisqu’il est « avoué près le tribunal première instance du

bande dessinée , en noir et blanc, dessinée à l’encre, de plus de 250 pages. L’histoire est d’abord publiée dans la revue underground RAW. Elle se base sur le témoignage de Vladek, le père de l’auteur, ainsi qu’une documentation précise. L’auteur avoue avoir cherché à comprendre les problèmes relationnels de sa famille, en découvrant cette partie de la vie de ses parents. II-Décrire Le style de l’œuvre se caractérise par un trait épais, peu soigné, et une abondance de hachures. Biens que les personnages

répond lui-même à cette exigence et devient œuvre d’art. I) 1) Le choix narratif du poète est indiqué dès le titre « Le Confiteor de l’artiste » qui reprend le premier mot latin d’une prière chrétienne « je confesse », prière par laquelle le croyant avoue à « Dieu tout puissant » qu’il est fondamentalement pécheur. S’ouvre donc ici une confession qui, si elle nous fait entrer dans l’intimité du poète, joint à la simple posture d’énonciation autobiographique une dimension sacrée et l’idée d’une faute

dans un cabinet d’aisance. L’homme passe, l’épée nue à la main. Je montai pour lors, et je trouvai une jeune personne échevelée, en larmes, à genoux. - Je viens à votre secours, lui dis-je. Quel est ce furieux ?-Ah ! Sauvez-moi la vie ! À ce mot, avoué par la jeune personne, je ne craignis plus rien. Je fermai la porte, et je mis les verrous. Ensuite j’ouvris une fenêtre. Je vis le furieux revenir, son épée à la main. Arrivé à la porte, il la trouva fermée. Sa rage n’eut plus de bornes. La jeune

deuxième scène, Ruy Blas entre et surprend les transactions infâmes des ministres et les fustige d'une longue tirade méprisante : «  Bon appétit, messieurs ! ». Dans la troisième scène, la reine, qui était cachée dans un cabinet dérobé, a tout entendu et avoue à Ruy Blas son admiration et son amour, après avoir comparé son comportement à celui du roi "morne et sombre" dans la salle du conseil. Elle lui fait une déclaration enflammée dans laquelle elle décide de se donner à lui. La quatrième scène

d’enfance Kristine Lind, elles discutent et décident de rattraper le temps perdu en se racontant ce qu’il s’est passé durant les dernières années. Lind, a son tour infantilise son amie en lui demandant un poste à la banque de son mari. Nora vexée, lui avoue qu’elle s’est endettée afin de sauver son mari quand il était malade, il y a 8 ans de cela. C’est auprès de Krogstad, un employé de la banque que Krovald considère comme malhonnête et souhaite le licencié que Nora s’est endettée. Il implore alors à

la doxa quelque chose de non-désirable, à laquelle il faut échapper à tout prix, source du mal et du malheur des hommes. Mais n’est-il pas vrai que ce qui est source de peur est généralement ce qui est inconnu? Dès lors que l’ignorance est connue, avouée, elle devient acceptable et permet la réalisation de la connaissance sur une base saine. Celle-ci, lorsqu’elle est mise à l’épreuve par le doute, l’outil de l’ignorance, peut évoluer, se défaire ou se renforcer, et l'ignorance et la connaissance se

intensité grâce au jeu de questions d’Oenone jusqu’à ce que Phèdre utilisant une périphrase « ce fils de l’Amazone » vers 45 afin contraigne Oenone à prononcer le nom d’Hippolyte. Finalement, on peut dire que c’est Oenone qui a avoué cet amour. En faisant en sorte qu’Oenone avoue l’aveu de Phèdre, Œnone est l’agent de la fatalité, le processus de la tragédie est lancé. La tragédie se ressent lorsqu’Oenone exprime sa terreur et sa pitié au vers 48 « Hippolyte ? Grands Dieux ! » Et au vers 50 « Juste ciel 

roi, à Madrid) scène 1 : Don Salluste veut se venger de la reine. Il part à Finlas en Castille. Gudiel part avec lui. scène 2 : Il propose à Don César de lui donner de l'argent s'il lui rend un service, mais celui ci refuse. scène 3 : Ruy Blas avoue à Don César, avec qui il est proche, qu'il est amoureux de la reine. Il est jaloux du roi, Charles II, un homme misèrable, vieux. Le comte d'Oñate, Don Guritan, l'aime aussi. Don Salluste entend la conversation de Ruy Blas et de Don César. scène

exploits à son ami Pylade et lui avoue qu’il aime encore Hermione (promise à Pyrrhus). Oreste va voir Pyrrhus pour lui demander de la part de tout le peuple grec la mort d’Astyanax le fils du chef troyen, Hector, mort au combat . Mais Pyrrhus qui aime Andromaque la mère d’Astyanax se refuse à exécuter celui-ci, et fait donc comprendre à Oreste qu’il n’y a pas de crainte à avoir au sujet d‘Astyanax. Ensuite Pyrrhus s’entretient avec son gouverneur Phoenix qui lui avoue l’amour d’Oreste pour Hermione