Aède

a légende d'Orphée, une des plus singulières de la mythologie grecque, est liée à la religion des mystères ainsi qu'à une littérature sacrée. Aède mythique de Thrace, fils du roi Œagre et de la muse Calliope (même si Polymnie est parfois citée), il savait par les accents de sa lyre charmer les animaux sauvages et parvenait à émouvoir les êtres inanimés. Il fut comblé de dons multiples par Apollon, et on raconte qu'il ajouta deux cordes à la traditionnelle lyre à sept cordes que lui donna le dieu

lyre à sept corde à laquelle Orphée ajoutera plus tard, en hommage aux muses, les sœurs de sa mère, deux cordes obtenant ainsi le chiffre symbolique de neuf qui correspond au nombre des muses. Dans les mythes, il est représenté avant tout comme un aède, c’est-à-dire un poète, qui savait par les accents de sa lyre charmer les animaux sauvages et émouvoir les êtres inanimés. C’est grâce à son chant et à sa lyre qu’il parvient à prendre une place importante dans l’histoire de la mythologie grecque

iƒà°ùe ≈dEG É¡H AÉ≤JQ’Gh É¡H ø«∏eÉ©dG äÉÑ°ùàµeh •Gôîf’G ᫪gCÉHh á«aô¶dG á«°Uƒ°üîH ¢ù«°ùëàdGh á«æ¡ªdG äÉbÓ©∏d ᪶æªdG ø«fGƒ≤dÉH ó«≤àdG ; π«gCÉàdGh ìÓ°UE’G π°ù∏°ùe »a »HÉéjE’G íª°ùJ ɪHh ¿ƒfÉ≤dG QÉWEG »a 샰VƒdGh á«aÉØ°ûdG πeɵH áMhô£ªdG äÉØ∏ªdG πc áédÉ©e ≈∏Y πª©dG ; ácô°ûdG äÉ«fɵeEG ¬H ™e ºé°ùæj ɪH »HÉéjE’Gh ôªà°ùªdG QGƒë∏d IójóL áaÉ≤K ≥∏N πLCG øe ∑ôà°ûªdG ¿hÉ©àdG .»YɪàL’G QGƒë∏d »bÓNCG ¥Éã«e ™°Vh »a ô«µØàdGh á«dÉëdG á«aô¶dG äÉÑ∏£àe π°U Gƒà á«J dG á É°ù° jôj Sƒª D d óe Gä ÉbÓ ©dGh »bGô©dG

destructeurs omniprsts. // héros et anachorète Paul(premier hermite selon st Jérome). Mél de Virginie. -> élémts qui annoncent cata finale. Ame sensible prédisposée à malheur ? récit placé ss signe mort. P3 alors que mode P1 au 18e : // pastoral : narrateur = aède ; mise à distance : mythification : flou temporel. V= âme socté de l’île : sa mort = mort socté. Fin // funérailles Atala et mort Hippias ds Télémaque : topos alliance mort-jeunesse. Sensibilité décadente de Bernardin : mélclie. V doit mourir prcq

traditions tardives, en font plutôt les filles d’Hélios et d’Eglé, ou de Dionysos et de Coronis. Elles étaient généralement 3 : Euphrosyne, Thalie et Aglaé. Muses (ligne 49) : Ce sont les 9 filles de Zeus et de Mnémosyne. Selon Pausanias, elles étaient 3 : Aédé (le chant), Mélété (méditation) et Mnémé (mémoire). Ensemble, elles représentent les pré-requis de l’art poétique dans la pratique du culte. Nymphes (ligne49) : Divinités féminines de la nature, d’une rare beauté, généralement considérées comme les

Platon qui porte son nom, nous est totalement inconnu. Il peut avoir réellement existé tout comme il peut être né de l’imagination de Platon en vue de caricaturer l’ensemble des rhapsodes. Le dialogue fait allusion à plusieurs personnages : Phémios, aède d'Ithaque Orphée Musée Théoclymène, devin, descendant de Mélampous Les rhapsodes Thamyris et Glaucon, Le philosophe Métrodore de Lampsaque L'écrivain Stésimbrote de Thasos, interprète d'Homère. Dédale, Polygnote de Thasos, peintre, Epéios

douteuses, malgré les représentations traditionnelles qui le montrent en vieillard aveugle. Il serait originaire de Smyrne en Ionie, une région d’Asie Mineure, puis aurait vécu dans l’île de Chios, au VIIIe siècle avant J.-C. C’était sans doute un aède – c’està-dire un chanteur – qui composait et récitait des poèmes épiques auprès des princes des grandes villes d’Ionie, dans les cérémonies et les festins, en s’accompagnant de la cithare ou de la lyre, comme le fait le personnage de Démodocos dans

émo° des Phé. face au désespoir d'U. = dons  envie des Phé. De savoir qui est U. - Mise en abyme : récits de Démo.  chants sur la mythologie & la guerre de Troie = mise en scène d'Homère lui-mê ds son rôle d'aède = Démo. aveugle = « divin » aède « auquel un dieu donna de nous charmer de son chant » = admira° & respect - Monde épique : souvenirs de Troie  guerre de Troie évoquée 2 x = querelle U./Achille + cheval de Troie = lien profond l'Odyssée/l'Iliade = mê trame légendaire épique

ceux qui verraient mon retour en Ithaque » (358-60). Alcinoos se contentera d’une nuit supplémentaire et l’engage à poursuivre son récit, après l’avoir complimenté sur sa véracité et son talent de conteur, « tu nous a raconté avec autant d’art qu’un aède » (368) : ironie d’Alcinoos ou humour d’Homère ?

l'expression « A présent il y a trop de lumière » comme si la réunion des trois entités autour du poète l'éclairait et le rendait inspiré justement. L'on peut encore voir ces trois entités comme les 3 Muses initiales dans la mythologie. La première Aédé, le chant, la voix, pourrait alors être incarnée dans « L'oiseau qui chante » et la « rivière ». Le seconde, Mélété, est la méditation, celle qui sait prendre du recul, comme ce « toi » en retrait. La troisième Muse enfin, Mnémé, est la mémoire, d'abord