Bacchanales

qui furent en mesure de faire flotter le drapeau américain au sommet en dépit de l'acharnement de l'ennemi à y planter le sien. Joué sur l’air de To Anacreon in Heaven, une chanson à boire d'un club de musiciens britanniques en hommage au poète bacchanal grec Anacréon, ce poème est devenu bien connu en tant que chant patriotique américain. Il a été reconnu pour un usage officiel par la marine américaine en 1889 et par la Maison-Blanche en 1916, et a été adopté comme hymne national par une résolution

est inversée (carnaval). Puis, en s’éloignant du sacré, la comédie n’est plus seulement pendant les carnavals. A Athènes se tiennent des concours comiques dès la fin du -Vème, dans lesquels trois auteurs présentent plusieurs pièces, durant les bacchanales et sur le même type de scène que les tragédies, de la même manière le chœur chante des parties lyriques, puis apparaisse 1, 2 puis 3 acteurs sur scène. Dans la hiérarchie antique, la pensée relève du sublime (abstraction, théorie) alors

Mithra, par exemple, dieu indo-iranien, arrive à Rome au 3ème siècle ACN. Tout comme Dionysos en Grèce et Bacchus à Rome, qui est un culte public mais tenu secret par les bacchanales. Un scandale éclate en 1860 ACN : un jeune Romain, qui vit une relation amoureuse avec une prostituée courtisane se voit lui révéler la teneur des bacchanales. Elle lui fait part des orgies, des assassinats, des faux testaments etc. Apeuré, le jeune homme va alors raconter ce qu’elle lui a dit. Ce culte devient interdit et

Métamorphoses du vampire. Comparé à la puritaine Angleterre victorienne, Paris, sous le Second Empire[->39], est un havre de tolérance où la grivoiserie des pièces de Jacques Offenbach[->40], qui fait l'apologie de l'adultère, du ménage à trois ou des bacchanales orgiaques, ne semble choquer personne. Mais Baudelaire frise la pornographie[->41] dans des vers comme : Dans Les Bijoux : Elle était donc couchée et se laissait aimer,
Et du haut du divan elle souriait d’aise
À mon amour profond et doux comme

confits, Délicates saveurs âpres de raisins mûrs. L’ivresse est profonde et la narcose embellit L’instant si fugace au potron-jacquet azur. Ah ! Le long des chemins hasardeux de Provence, Je respire la saponaire et la lavande Aussi ces infinies bacchanales fragrances Que le Sombre et le Libeccio austral répandent. Puis, au crépuscule de la douce journée, A l’heure tardive quand chantent les grillons, Il viendra encore à la table s’ajouter L’intime chaleureux et le vin vermillon. Parmi les Enfers

L'an I Epistole N°8 : On n’est pas morts ! Hé oui,ce fut le cri de soulagement du mode entier en ces temps là. «On n’est pas morts!», finis les «il n’y a que Maya qui m’aille» que gueulaient les givrés adeptes de l’apocalypse now, finies les bacchanales bugarachoises, on revenait aux choses sérieuses c’est à dire à préparer les fêtes de fin d’année parce que pour le restant il eut mieux valu que le bon peuple de France allasse tutoyer les anges ! Vièch d’ase...! Sire le Haut landais passa

l'air vibrant du soir  Et les femmes, en chœur, marchant vers le pressoir,  Mêlaient à leurs chansons des appels et des signes. C'est par un ciel pareil, tout blanc du vol des cygnes,  Que, dans Naxos fumant comme un rouge encensoir,  La Bacchanale vit la Crétoise s'asseoir  Auprès du beau Dompteur ivre du sang des vignes. Aujourd'hui, brandissant le thyrse radieux,  Dionysos vainqueur des bêtes et des Dieux  D'un joug enguirlandé n'étreint plus les panthères ; Mais, fille du soleil

Richesse des coloris. Vénus d’urbin: nue couché, scène intérieur. Reveillée, scène + sensuelle, regard séducteur. Corps n’est pas idéaliser. Quadrillage calculé de l’espace. Ombre/lumière (fermé gauche/ouvert droite). Jeux de complémentaires. La bacchanale : Salut de Bacchus: joue avec les contrastes de couleurs. Droite = couleurs froides tandis qu’à gauche couleurs chaudes. Calme/mouvement. Oeuvres religieuses: Assomption: =composition nouvelle, intéressante. 3 zones bien distinctes.

gestation de l’enfant dans sa cuisse. Dionysos naît alors de la cuisse de Jupiter.· Durant sa vie, Dionysos doit subir sa situation de bâtard et passe sa jeunesse à errer, suivi par un cortège de silènes, de satyres et de bacchantes (bacchanales = orgies).· Dionysos veut alors rentrer dans sa ville d’origine, Thèbes, où il est très mal accueilli. Panthée, roi de la cité et fils d’Agavé, sœur de Sémélé, résiste au culte du dieu.· Dionysos parvient alors à semer la folie dans Agavé, qui tue

d’alchimie pour lequel on le recherche ; les Pays-Bas sont désormais sous le gouvernement despotique et sanglant de Philippe II d’Espagne ; l’Inquisition est partout, les bourreaux ont les mains pleines. Zenon va aussi découvrir, par hasard, des bacchanales dans les sous-sols de la jolie cité et devient la proie des Inquisiteurs. Le prieur ayant conseillé à Zenon de fuir pour l’Angleterre, celui-ci brûle ses écrits et tente d’échapper à ceux qui le poursuivent ; le projet ayant échoué, il doit désormais