Bagne

« sous » prennent rapidement une connotation très péjorative. Ils suggèrent un univers monstrueux et inhumain comme le soulignent les termes « meules », « prison », « dents d'une machine sombre », « ombre », « bagne », « enfer ». La gradation ascendante concernant cet univers infernal « prison, bagne et enfer »  implique très fortement le lecteur dans ce monde d'esclavage que subissent les innocents. Pour Victor Hugo, le monde de l'usine est comparable à l'enfer, il emploie à différents moments des métaphores

s’arrête et jamais on ne joue ». Enjambement v.5 qui amplifie le travail qui déborde. Soulignement de l’injustice « tous ces enfants dont pas une seul ne rit » (antithèse) * Milieu de travail hostile « bagne » « prison » ce qui renforce l’injustice est l’antithèse «  innocents dans un bagne, anges dans un enfer ». Sonorité négative «  tout est d’airain, tout est de fer » Un véritable appel à l’Humanité De la dénonciation à l’espoir * Dénonciation du mauvais travail. V.20 chiasme qualités

cassation le 24 avril 1862, il est question de la nullité du mariage. Cet arrêt de principe est aussi connu sous le nom d’arrêt Berthon. En l’espèce, après s’être mariée, une femme a découvert que son époux avait purgé une peine de 15 ans au bagne. A la suite de cela elle a décidé de demander l’annulation de son mariage. Après un jugement en 1re instance, un appel a été interjeté. Les chambres réunies ont alors tranché en faveur de la validité du mariage. A la suite de cette décision, l’épouse

ferme toute les portes, il décide donc de dormir sur un banc de pierres, mais une femme lui dit d'aller frapper a la porte de l’évêque. Chapitre 3 Jean Valjean alla dans la maison de l’évêque et fut bien accueillit. Il se présentât ( 19 ans de bagne il a 46 ans) . Après souper, Jean partit dans sa chambre et s'endormit sans même prendre le temps de se déshabiller. Chapitre 4 (le narrateur raconte la vie de Jean Valjean) Il est issu d'une pauvre famille de paysans de la Brie. Il fut émondeur

travailler quinze heures sous des meules ; Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellement Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d'une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer. Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue. Aussi quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue. Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur

principaux, Jean Valjean est une véritable force de nature: « C’est qu’il était d’une force physique dont n’approchait pas un des habitants du bagne » le pluriel « des habitants » englobe tout le bagne et la négation nous montre que Jean est le seul à posséder cette force, ce qui le démarque. Ce personnage, insignifiant au début de son histoire, prend au bagne une profondeur qui le place au rang de héros. Mais dans l’Etranger de Camus, Meursault, le personnage principal et héros, est totalement insipide

personnification des machines : « sous les dents d’une machine sombre » (v.7)/ | |« monstre hideux qui mâche » (v.8). La rime « sombre/ombre » aux vers 7-8 évoque l’obscurité angoissante ; cette rime est doublée par la| |gradation ascendante « prison/bagne/enfer » (vers 6 et 9) qui plonge le lecteur dans cet univers infernal subi par ces enfants | |« innocents » (v.9). Pour intensifier cette vision lugubre, Hugo emploie la modalité exclamative (vers 12-14-16-17-21-22-25) doublée de | |l’interjection

animaux par une personnification « …avec les dents d’une machine », puis l’évocation de l’angoisse des enfants devant de pareils outils, est reprise au vers suivant dans une métaphore filée « monstre hideux…mâche…ombre, ». La gradation « prison ; bagne ; enfer » nous plonge dans cet univers infernal que subissent les « innocents ». Ces dernier vivent un enfer quotidien, ils possèdent des conditions de travail misérables mais aussi des tâche très dure à effectuer, que l’auteur suggère par des allitération

animaux par une personnification « …avec les dents d’une machine », puis l’évocation de l’angoisse des enfants devant de pareils outils, est reprise au vers suivant dans une métaphore filée « monstre hideux…mâche…ombre, ». La gradation « prison ; bagne ; enfer » nous plonge dans cet univers infernal que subissent les « innocents ». Ces dernier vivent un enfer quotidien, ils possèdent des conditions de travail misérables mais aussi des tâche très dure à effectuer, que l’auteur suggère par des allitération

Les personnages secondaires de se texte sont les soldats qui prennent le linceul, le prètre Faria et le gouverneur. Dans le texte C il s'agit de l'histoire de Jean Valjean qui est un homme au bagne qui a tenté de multiples évasion mais sans succès, il se fit rattrapé et resta dix-neuf ans prisonnier de se bagne, jusqu'au jour ou il monta le long du mâts d'un bâteau l'Algésiras pour secourir un matelôt qui était sur le point de tomber à la mer et de se noyer. Jean Valjean parvint à le sauver et en redescendant