Bailli

fort juste. Le bruit se répandit bientôt qu'il y avait un Huron au prieuré. La bonne compagnie du canton s'empressa d'y venir souper. L'abbé de Saint−Yves y vint avec mademoiselle sa soeur, jeune basse−brette, fort jolie et très bien élevée. Le bailli, le receveur des tailles, et leurs femmes furent du souper. On plaça l'étranger entre mademoiselle de Kerkabon et mademoiselle de Saint−Yves. Tout le monde le regardait avec admiration; tout le monde lui parlait et l'interrogeait à−la−fois; le Huron

personnes qui ont acceuilli le huron et quoi évoque la petite société française. A. Le procès du prosélytisme Le bailli : personnage autoritaire, grossier et indiscret. Pour lui c’est impensable que la population colonisée n’est pas choisis une religion européenne. B. La peinture de personnage stupide Aucun personnage n’est présenté de manière positive sauf l’ingénu. Le bailli ; Mlle de kerkabon et Mlle de sainte Yves sont tous trois étroit d’intelligence, avec des préjugés. Et aucun ne comprend

les sanctionner. Bailli et prévôt. Prévôt fonctionnaire des finances, de la justice, de l’administration royale. Chargé des biens et revenus d’un seigneur. Bailli représentant du roi contrôle le prévôt. 1ères enquêtes avant les Croisades, sous Philippe Auguste. Enquêteurs contrôlent les activités des prévôts pour tenir des assises judiciaires. Peuvent encaisser des revenus. 1240 : Sous Saint Louis, le bailli n’est plus itinérant. Chaque bailli a un territoire, le baillage. Bailli seul, nommé par le

prologues et les chapitres. Rédigé par le bailli royal Philippe de Beaumanoir, il fut publié en 1283 sous le règne du fils de Saint-Louis, Philippe III. Beaumanoir est le fils de Philippe de Rémy, le père du poète français Beaumanoir. Il a vécu de 1247 à 1296. Il est connu pour avoir été bailli de Senlis en 1273, de Clermont en 1280 et de Tours en 1292. Beaumanoir est considéré par la postérité comme l'un des juristes les plus importants de son temps. Il est le bailli royal, c'est-à-dire l'agent royal qui

rappeler un jugement il faut recourir aux témoignages de ceux qui ont participé au jugement. 1. L’organisation de la cour seigneuriale La cour seigneuriale est présidée par le seigneur, entouré souvent de praticiens, ou par son représentant (bailli, sénéchal, prévôt ou viguier). Les preuves et voies de recours sont très rudimentaires. Malgré les efforts de l'Église, la preuve ordinaire est encore l'ordalie, ce qui constitue un recul par rapport aux conceptions carolingiennes ; pour les procès

sur les dysfonctionnements de l'administration, puis il promulgue une grande ordonnance visant à moraliser et à mieux contrôler ses officiers locaux : c'est ainsi que les baillis deviennent des officiers nommés, salariés et révocables. Dans un premier temps, cet acte avait pour seul but la réforme de l'administration des baillis royaux, puis à ces mesures visant à assurer la moralité des agents du pouvoir, le royal législateur ne tarda pas à ajouter une suite de prescriptions relative à la moralité

conseil du roi ou devant le parlement tout acte abusif de l’autorité ecclésiastique dans le but d’une annulation et cassation. Les cas d’ouverture de cet « appel comme d’abus » ont été entendus et compris de façon très large. Les agents administratifs, baillis et sénéchaux, que le roi envoyait dans le royaume et qu’il a ensuite installé dans des circonscriptions en ont fait plus ce que leur demandait le roi. Le recours était possible lorsqu’il y avait une atteinte portée à la puissance temporaire. Le roi

situation des coutume est au 13-14ème siècle jusqu'à Charles VII les mode de preuve de la coutume sont au nombre de 4 : -mode traditionnel : l'autorité du juge, le juge est une autorité publique sois seigneuriale, sois une autorité royale( ex le bailli) le juge peut attester de l'existance de la coutume par sa seule autorité , souvent en fonction du charisme du juge c'est un mode de preuve qui peut varié selon la personnalité du juge -la référence au précédent : c'est faire référence a une référence

et agrandissent encore le royaume. B. L´autorité de l´Etat royal est renforcé Aux XII et XIII siècles, les Capétiens améliorent l´administration royal. Ex : Philippe Auguste (1180-1223) nomme des baillis et sénéchaux. Après la Guerre de Cent ans, au XV siècles, le roi de France dispose d´une armée professionnelle grâce à un impôt payée dans tout le royaume : la taille royal. DEFINITIONS Vassaux : Seigneur qui se place sous la protection d´un seigneur

dit avec assez de douceur, mais avec un peu de fermeté : Messieurs, dans mon pays on parle l'un après l'autre ; comment voulez－vous que je vous réponde quand vous m'empêchez de vous entendre ? »  Supériorité: ton imposant « Mais, monsieur, dit le bailli avec son ton imposant... » Ils l'interrogent sur sa religion ce qui est impoli. Satire politique Les huguenots sont des gens de valeurs Politique de colonisation. Expulsion des jésuites 2)Quelles préjuges révèlent les questions posées au