Baiser

feignait de punir ! - Pauvrets palpitants sous ma lèvre, Je baisai doucement ses yeux : - Elle jeta sa tête mièvre En arrière : « Oh ! c'est encor mieux !... Monsieur, j'ai deux mots à te dire... » - Je lui jetai le reste au sein Dans un baiser, qui la fit rire D'un bon rire qui voulait bien... - Elle était fort déshabillée Et de grands arbres indiscrets Aux vitres jetaient leur feuillée Malinement, tout près, tout près. http://www.azurs.net/arthur-rimbaud/rimbaud_textes_21.htm

dessus, Un petit insecte rose. J'aurais dû - mais, sage ou fou, A seize ans on est farouche, Voir le baiser sur sa bouche Plus que l'insecte à son cou. On eût dit un coquillage ; Dos rose et taché de noir. Les fauvettes pour nous voir Se penchaient dans le feuillage. Sa bouche franche était là ; Je me courbai sur la belle, Et je pris la coccinelle ; Mais le baiser s'envola. « Fils, apprends comme on me nomme », Dit l'insecte du ciel bleu, « Les bêtes sont au bon Dieu ;

cet acte en allant trop rapidement ce qui nous laisse évaluer l’impacts qu’aurait cet acte à ses yeux. Il nous fait part de l’importance de ce que lui apporte cette personne par une métaphore de ses sentiments générés par un baiser venant d’elle : « La nourriture d’un baiser » (v.12). 

 En outre, nous pouvons observer que ce poème détient également un aspect religieux : « pure » (v.5) ; « divine » (v.5) ; « dieux » (v.7) ; « dons » (v.7), nous pouvons alors croire que les sentiments du poète

travers tes bisous, tes câlins, tes textos et tes appels tu m'as fait croire que tu m'aimais et moi comme une imbécile j'y croyais. ... [Lire la Suite...] Catégorie(s) : texte d'amour LES NOCES DE PATILOVE 77 loves A la croisée de nos destins Un baiser naissance d'un amour certain Une surprise, jour de Saint Valentin Destination Venise Avec toi, le bonheur de sourire, S'aventurer dans des rues inconnues Dormir dans tes bras nus Dégustation cannelloni Et savourer la chance D'envisager des soirées

fond de moi je me di peu importe si il me le rende lé rendre heureu me rend davantage heureuz iLs Joouent Avec Ton Coeur ,, iLs DiSent Des Mots Menteurs &&' Nous 0n Croit Tout Ce Qu'iLs DiSent . L'Amoour N'ait Dans Un Regaard ,, Graandis Dans Un BaiSer & Meurt Dans Une Larmes. Les BleSsures d'Amoour Ne Peuvent Guérir Que Par CeLui Qui Les a Faites. (Uu')Generatioon ‹ J℮ t`Aaim℮ Ma Puc℮ › Mais S℮ul℮m℮nt ‹ Quand Tu m`Suc℮s › . *J'oublie pas le passé; Je fais avec le présent et j'espère le meilleur

de côté la tétine et le doudou (objet transitionnel) pour aller jouer. Ce matin-là, Sacha donne la tétine à sa maman qui la range et il pose son lapin dans la « caisse à doudou » pour la sieste de lui-même. Avant de partir, la maman fait un dernier baiser et un câlin à son enfant, qui passe la barrière de la section. Elle signifie son départ d’un geste de la main en lui disant « à ce soir ! ». Ensuite, l’auxiliaire entame un dialogue avec Sacha : elle lui demande s’il a bien dormi, s’il va bien ; elle

vie, mais ton amitié m’en consolera" (II, 1). Pour révéler ce secret, Camille provoque la rencontre auprès de la fontaine ; elle se fait alors provocante à plus d’un titre. D’abord, en accordant tout ce qu’elle avait jusqu’ici refusé : la main, le baiser, la causerie de bonne amitié ; ensuite, en se montrant agressive, par la façon de s’expliquer ("Je vous ai paru brusque et hautaine ; cela est tout simple, j’ai renoncé au monde"), par les questions qu’elle pose pour embarrasser Perdican (Combien

virginal penché sur mes cheveux, Ensemble nous lisions le divin Lamartine. Oui ! nous avons vécu l'âge de nos seize ans Où le coeur entend mieux ce que la lyre exprime, Parmi les vers d'amour frappés au coin sublime. Oui ! nous avons connu les baisers innocents, Sur le lac de cristal que la nacelle effleure, Devant le livre ouvert à la page où l'on pleure. III Comme ils coulaient heureux ces beaux jours d'autrefois ! Comme nous nous aimions avec nos âmes blanches ! Dans les sentiers discrets

indigné ? De quels secrets efforts, sans cesse triomphants Et sans cesse repris, nourris-tu ton supplice ? Et dans quels longs baisers aux fronts de tes enfants Crois-tu pouvoir trouver le prix du sacrifice ? Ah ! peut-être au moment où ta lèvre les touche, Exécrable penser dont mon cœur s'effarouche Plus que de tes sanglots les plus désespérés, Peut-être le baiser s'arrête sur ta bouche, Et trouve une amertume à ces fronts adorés, À ces fronts innocents qui nous ont séparés ! Auguste Angellier

contre lui, et me chuchota à l’oreille : «  Je t’attendais ». Qui moi ? Pensais-je. «  Oui toi » comme s’il lisait dans mes pensées. Je ne pu m’empêcher de pleurer. En voyant ma détresse, il me prit dans ces bras, sécha mes larmes et déposa un tendre baiser sur mes lèvres. Suite à ça, je compris. Ce vent inconnu, c’était lui qui m’avait incité à marcher. D’habitude, je restais assise contre une écorce d’arbre, en attendant mon réveil prochain, la tête emplie de pensées confuses. Mais là, aujourd’hui