Bakou

arabique mais elles sont largement suffisantes pour attirer la convoitise des plus gros consommateurs. Premièrement, le Caucase est une région qui a toujours été connue pour ses ressources naturelles puisque c’est en Azerbaïdjan, et plus précisément à Bakou sur la Caspienne, que la production pétrole a commencé à la fin du XIXème siècle. En effet, les premiers puits ont été forés en 1871. Aujourd’hui, le système pétrolier est davantage offshore qu’onshore car 90% de la production est offshore. Aussi,

pas tardé alors à se souvenir que la Russie, avant la Première Guerre mondiale et la révolution bolchevik, avait été grande exportatrice d'hydrocarbures, grâce au gisement de Bakou. Après la Seconde Guerre mondiale, ce gisement semblait presque épuisé et les Soviétiques avaient développé ce qu'ils appelèrent le « second Bakou » dans la vallée de la Volga et en Sibérie occidentale. L'effondrement du système soviétique fut immédiatement suivi par l'apparition d'hommes d'affaires d'un type nouveau (pour

contrepartie par l’octroi d’une aide alimentaire. Bakou, 28 novembre 1997. 8. Convention d’Application entre le Gouvernement de la République d’Azerbaïdjan et le Gouvernement de la République Française relatif à un fonds de contrepartie par l’octroi d’une aide alimentaire. Bakou, 28 novembre 1997. 9. Accord entre le Gouvernement de la République d’Azerbaïdjan et le Gouvernement de la République Française relatif à l’octroi d’une aide alimentaire. Bakou, 28 novembre 1997. 10. Protocole financier entre

vers le port russe de Novorossisk sur la mer Noire et le « Bakou-Tbilissi-Ceyhan (BTC) » voulu par les Etats-Unis pour transporter le brut du Kazakhstan et de l’Azerbaïdjan 85 A. Pertuzio - La Russie énergétique Géostratégiques n° 24 vers la Méditerranée en évitant le territoire russe, tuyau d’une capacité de 1 million de barils/jour et opéré par BP. Il faut y ajouter les oléoducs qui transportent déjà le brut d’Azerbaïdjan de Bakou vers Soupsa en Géorgie et Novorossisk en Russie. Il est

besoin de nous et on a besoin de vous. » II. Le récit . A. Une narration très rythmée. On remarque dans ce récit qu’il est composé, c'est-à-dire qu’il est structuré avec des temps forts/temps faibles. - Il y a une introduction : le voyage de Bakou à Moscou = atmosphère avec des côtes humoristiques mais aussi ennuyeuses > TEMPS FAIBLE. - Arrivée à Moscou le 2 décembre & portrait de Staline > TEMPS FORT. - 3, 4 & 5 décembre : anecdotes diverses, atmosphère de crainte > TEMPS FAIBLE. - Entretient

opposition à la production animale. Industrialisation L’industrialisation avec priorité à l’industrie lourde au détriment des biens de consommation. On a un décalage des centre de production vers l’Est : de Donlass à Kouzbass, de Bakou à Second Bakou. On a la création de combinats, des régions industrielles complémentaires, grâce au réseau ferroviaire. Exemple : UKK (Oural, Karaganda, Kouzbass) On a la création de ville pionnière en Sibérie (Vorkouta) et des réalisations spectaculaires

russes comme Bakou, Moscou ou encore Stalingrad qui est pour lui le symbole de la victoire sur la Russie. Mais pour cela il va devoir affronter la grande armée soviétique et ses alliées. Comment l'union soviétique va-t-elle combattre cette offensive allemande ? En quoi est-ce une bataille importante de la Seconde guerre mondiale ? Après 2 ans d'avancée allemande, le front piétine à l'Est. L'armée allemande et ses alliées (l'Italie, la Hongrie et la Roumanie) veulent la ville de Bakou pour le pétrole

terraines réparties sur toute la surface de son territoire jusqu’à l’océan glacial arctique. Effectivement, elle possède de nombreuses réserves d’hydrocarbures (pétrole : situés entre la mer caspienne et la mer noire Bakou, sur la mer de Barents, Bakou 2 et enfin sur le Bassin de l’Ob , Bakou 3 ; gaz naturel), de charbon ( situées dans le Donbass, le Kouzbass, le Toungouska et sur le Bassin de la Léna), de diamants (essentiellement situées à l’est), d’uranium (à l’ouest), de métaux tels que l’or (à l’ouest)

de continuer son expansion en prenant pied en Asie Mineure depuis le Caucase fraîchement conquis (Tcherkessie, Tchétchénie, Daghestan, Arménie, Géorgie, Azerbaïdjan) et d'atteindre, outre les gisements de pétrole de la région de la mer Caspienne (Bakou) qu'elle possédait depuis peu, les régions potentiellement pétrolifères d'Iran et de Mésopotamie (Irak) qu'elle voulait disputer aux autres grandes puissances. Toute la région comprenant au nord la mer Noire et le Caucase, de la Crimée jusqu'à la Caspienne

(et qui correspondent souvent à de grandes régions industrielles) et ceux qui ne le sont pas (ou peu). Les gisements exploités sont ceux de la Russie utile et de sa périphérie proche : - hydrocarbures de Bakou I au bord de la Caspienne, de Bakou II le long de la moyenne Volga et surtout de Bakou III à l’embouchure de l’Ob et du bassin de la Petchora - houille ou lignite des confins de l'Ukraine au sud (la Donbass), du bassin de Moscou (Mosbass) et du bassin du Kouzbass - minerais du sud de l’Oural