Bal masqué

fin du mois de Février ou le début du mois de Mars, au cours de la période de 12 jours précédant le Mardi Gras. Inspiré par la Commedia dell’arte, le déguisement traditionnel est la Bauta, comprenant le tabarro, la larva et le tricorne, ou encore le masque d’Arlequin. Autrefois, ces déguisements permettaient à tous les Vénitiens, quelle que soit leur condition sociale, de participer à la fête. Il attire des foules considérables venues du monde entier pour participer à la fête, en se déguisant et,

Chez Musset, le masque n'est pas toujours une illusion. Tout d'abord il y a de vrais jeux de masques, lors des bals par exemple. Ensuite, le masque au sens d'attitude trompeuse devient parfois la vraie identité du personnage, et c'est la triste histoire de Lorenzo. L'illusion ne fonctionne plus. Le masque est alors un moyen de repousser le regard, de le neutraliser, pour mieux tromper (nous verrons que le cas de Lorenzo est différent). Nous voyons bien que le thème du regard est central à la fois

sont trop peu réalistes et trop artificielles, et les personnages trop caricaturaux pour permettre au lecteur de s'y transporter. L'écrivain, souvent, privilégie trop la stratégie de contournement, en mettant en place une histoire trop plaisante qui masque l'enseignement, ou en faisant passer involontairement un message qui n'était pas celui voulu au départ. Il y a cependant d'autres façons d'argumenter, comme l'argumentation directe. En employant ce procédé explicite, l'auteur assume pleinement son

Cette thématique du masque irrigue bien tout ce chef-d’œuvre de Musset lui donnant son unité dramatique. La réflexion désabusée sur l’action politique fait de Lorenzaccio une pièce moderne qui tranche profondément sur la production de son époque. Son sujet très critique, sa démesure, sa volonté de l’inscrire dans la tradition shakespearienne des tragédies historiques, l’ont écartée certainement de la représentation du vivant de Musset. Mais le personnage lui-même, double de l’auteur, a contribué

ambivalente = double que nous offre le narrateur. Le contraste entre l'aspect extérieur de G. et sa vie intérieur qui vise à susciter un sentiment d'effroi chez le lecteur. Tout d'abord, G. à un rire automatique appliqué sur son visage ; tel un masque, le rire de G. suscite automatiquement le rire, Notion d'automatisme : l'être n'est plus qu'une machine. Puis on peut constater que ce rire s'oppose à ses sentiments internes. En effet le personnage ressent une souffrance quasi permanente (l.14

63  EXERCICE n°2 Donner, pour chaque adresse IPv4, la classe et le masque de sous-réseau par défaut. 192.168.102.206 133.64.120.16 10.155.123.87 211.177.59.245 110.4.142.82 185.199.52.128 75.10.26.63 148.193.221.111 191.106.96.8 128.116.178.233 Classe : Classe : Classe : Classe : Classe : Classe : Classe : Classe : Classe : Classe : Masque : Masque : Masque : Masque : Masque : Masque : Masque : Masque : Masque : Masque :  EXERCICE n°3 Relier entre elles les machines appartenant à un même

humoristique et ainsi de suite. Le théâtre était une cérémonie religieuse à sa naissance dans la Grèce de l'antiquité. La représentation théâtrale a évolué depuis sa création. En effet, au départ, un seul acteur, jouait tous les rôles et portait un masque qui cachait le visage de l'acteur. Plus tard un deuxième personnage s'ajoute, puis on introduisit un troisième acteur,etc . Les rôles des femmes étaient tenus par des hommes. Les acteurs étaient tirés au sort. L'auteur de la pièce était à la fois

et le pouvoir que Nana a sur son public, surtout chez les hommes. Même si elle n’a aucun talent artistique, elle sait captiver l’attention de tous en jouant de ses charmes. Page 265, Chapitre VIII : « Mais elle avait eu une vraie peur, tant le masque drôle de Fontan était devenu terrible. Et sa colère s’en allait, comme si la gifle l’avait calmée. Elle le respectait, elle se collait contre le mur de la ruelle, pour lui laisser toute la place. » Dans ce page, Nana est soumise à quelqu'un pour

message n'est plus le même. Le masque était autrefois utilisé comme porte-voix, mais depuis, son utilisation a changé. Il sert à différencier la personne du personnage, le comédien de la comédie. Il souligne les traits et les accentuent : le masque est symbole d'identification. Mais la palette d'expression est restreinte et il n'est pas toujours aisé de changer de masque durant une représentation en signe de modification d'humeur du personnage. Ainsi les masques aux doubles expressions furent crées

Certains textes de SF, comme « Le Syndrome du Scaphandrier » sont de vrais morceaux de bravoure.Tous les genres le nourrissent, et la SF commence à l’ennuyer : dans les années 90, BRUSSOLO se lance dans le thriller, puis collabore avec la collection Le Masque, pour qui il créé le personnage de Jehan de Montpéril, futur héros récurrent d’un cycle de thrillers historiques, genre qu’il exploite à toutes les époques, de l’Egypte antique au Moyen-Age. Ses intrigues sont calculées au millimètres, et sa rigueur