Balance sheet

décennies, elle s’est davantage ouverte au monde, si bien qu’aujourd’hui, son économie ressemble peu à peu au modèle capitaliste. La Chine est donc en train de prendre de l’ampleur, tant au regard de son degré d’ouverture grandissant, qu’au niveau de sa balance commerciale. Le degré d’ouverture est le taux de participation d’un pays au commerce international. En 1987, le taux d’ouverture de la Chine était de 16,6%. En 10 ans, ce taux est passé à 19,8. Cela illustre la capacité de la Chine à échanger

L'OUVERTURE DES ECONOMIES L'ouverture des économies passe tout d'abord par le crédit, la balance commerciale, la création réelle de pièces et billets qui impose donc à l'économie de s'ouvrir aux échanges internationaux. Depuis les années 1980, les pays s'impliquent de plus en plus dans les échanges mondiaux. Nous analyserons la mesure des échanges de biens et services puis l'évolution des échanges internationaux et enfin le marché des changes. Premièrement, les échanges

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VIII. Corps des inspecteurs des douanes - Le cadre conceptuel des finances publiques, les finances publiques et leur environnement, la mondialisation des économies et des marchés financiers. - La structure du commerce mondial, la balance commerciale, la balance des paiements, le change et les mouvements internationaux de capitaux. - La réglementation douanière, le régime douanier dans le cadre de l’union économique et monétaire ouest africaine « UEMOA » et la communauté économique des Etats

61 La balance des paiements d’un pays est un document comptable enregistrant tous les flux d’échanges avec l’extérieur de ce pays, en prenant en compte les flux monétaires, contreparties des flux réels. Elle répertorie donc les mouvements de devises, ce qui aboutit à une série de soldes. d’investissement augmentent fortement, d’où un solde positif de la balance des revenus alors que celui des transferts courants demeure négatif. q Le solde du compte de capital Il tient compte des transferts

EXTERIEURS OU LES ECHANGES INTERNATIONAUX Entre les Etats il y a de nombreux échanges. Et il y a un document qui transcrit les importations et exportations des biens d'un pays, appelé balance commerciale, il y a aussi le balance des invisibles qui elle fait la même chose mais avec les services. Et enfin, on appelle balance des paiements, celle qui concerne les biens, services et capitaux. On achète tout dans la monnaie du vendeur, ainsi il existe le marché des changes. Il faut deux transactions, d'abord

revenu d’équilibre. Il va pour cela pratiquer une politique monétaire expansionniste. LM va se déplacer vers la droite, on a donc une diminution du taux d’intérêt. Cette diminution du taux d’intérêt entraine une sortie de capitaux et un déficit de la balance des paiements. En conséquence, le taux de change se déprécie. Pour empêcher cette dépréciation, la Banque Centrale intervient en achetant de la monnaie nationale contre des devises étrangères. Il y a donc une réduction de l’offre de monnaie nationale

1)/8,28 = 0,94 = CY 1 Aujourd’hui, HK$ 7,80 = CY 6,23 HK $ (7,80 x 1/ 6,23) = HK $ 1,25 = CY 1 Le dollar de Hong Kong s’est donc déprécié par rapport au Yuan chinois. Cela sera favorable à ses exportations et lui permettra d’obtenir une balance commerciale positive. Problème n°8 On a au 1er janvier 2000 : TL 650 000 = US $ 1 Par ailleurs, le taux d’inflation entre le 1er janvier 2000 et le 31 décembre 2001 est de 35% trimestriellement, ce qui fait 140 %/ an et 280 %/ 2 ans.

par an en moyenne entre 1991 et 2000), le commerce bilatéral franco-marocain a été relativement stable au cours de la période 2001-2006. En 2006, Les échanges commerciaux entre la France et le Maroc (5,7 Md€) ont progressé de 2,6%. Le solde de la balance commerciale franco-marocaine, toujours positif en faveur de la France depuis 1998, s’établit à son plus haut niveau en 2006, soit 670,8 M€1 générant notre 14ème excédent commercial dans le monde. Le Maroc se positionne au 21ème rang des clients et

des taux de change flexibles, une parfaite e e e mobilit´ des capitaux et des rigidit´s nominales. La balance commerciale, l’investissement e e et la demande de monnaie dans les deux ´conomies sont d´crits par les relations suivantes : e e BC = Qρ , I=R , Md = Y d, P −b BC ∗ = Q−ρ , I = (R ) (M d )∗ = (Y ∗ )d , P∗ ∗ ∗ −b (1) (2) (3) o` Y est le produit, I l’investissement, BC la balance commerciale, R le taux d’int´rˆt u e e d domestique, P l’indice de prix domestique, Q le taux de change