Balante

départementale qui est de 2,8%. La composition ethnique de la population est hétérogène. Les peuls avec 52,8% de la population totale représentent l’ethnie majoritaire. Ils sont suivis par les mandingues les Mandingue, les Diola, les Manjaques, les Balantes, les Mancagnes, les Wolof, les Diakhankés, les Sarakholés et les Sérère. La population de la région se caractérise aussi par sa jeunesse. En effet 60% environ de la population à moins de 20 ans. La densité moyenne régionale qui est de 34 habitants

groupe est celui des 6 langues reconnues en 2001 : wolof, sérère, peul, mandingue, soninké et diola. Le second comprend de nouvelles langues, également promues au rang de langues nationales car codifiées dans l'intervalle. Ce sont le hassaniyya, le balante, le mancagne, le noon, le manjaque, pour ne citer qu’eux celles-là. Le troisième inclut les autres langues de l'étude : saafi, baïnouk, badiaranké, ndut, jalonké, bédik, bambara, coniagui, bassari, léhar, palor, bayotte, papel, malinké, khassonké

immigrés venant de l’extérieur sont en grande partie composés de Bissau-guinéens et des Guinéens de Conakry qui viennent pour le commerce et les activités agricoles. C’est ainsi que l’on y distingue des ethnies majoritaires comme des Manjacks, des Balantes, des Pépelles pour la Guinée Bissau et des peulhs et soussous pour la guinée Conakry. Parmi ces immigrés venant de l’extérieur du pays, on y retrouve aussi des ivoiriens, des ghanéens, des Nigérians et les haoussas qui s’activent dans la coiffure

né au Maroc) dirigée par la famille du Cheikh Mohammed Fadel a été à l'origine de l'implantation du mouvement au Sénégal. * Les Catholiques S'ils sont très largement minoritaires, leur ferveur est incontestable. La plupart des Diolas, des Balantes, des Manjaks, des Mankagnes, des Bassaris, des Tendas-Bediks, des Coniaguis, et de nombreux Sérères et Baïnouks sont catholiques. L'effort humain des organisations catholiques donnent aux chrétiens sénégalais une très bonne image qui n'est démentie

les premiers et principaux occupants de la presqu’île du Cap-Vert. On tend de plus en plus à les associer aux Wolofs dont ils ont adopté, à quelques mots près, la langue. - Les forestiers Les petits «peuples forestiers» du Sénégal — Diolas, Balantes, Mandjaques, Mancagnes, Baïnouks, Karoninkas et Pepels — sont des ethnies habitant la Casamance, une région de forêts pluviales au sud, dans le Kolda. Quelques rites importants à savoir Les salutations : elles sont très importantes pour le sénégalais

ethnique « Balante » formaient l’essentiel des combattants de la guérilla. Luis Cabral tenta de consolider son pouvoir et de se prémunir des ex-combattants qui constituent la nouvelle armée du pays en promouvant des militaires capverdiens proches. Mais la rivalité devient vite évidente entre le président Cabral et João Bernardo Vieira, dit « Nino », un des héros de la guerre de libération. Bien qu’étant issu du groupe ethnique « Papel », Vieira jouit d’une grande légitimité auprès des Balantes aux côtés

Bakwiri | |Balante | |balante |Guinée-Bissau, Sénégal |ou Alante, Balanda, Balanga, Balanta-Brassa, Balanta, Balantes, Balanti, | | | | | |Balant, Balente, Belante, Bolenta, Brasa, Brassa, Bulanda, Bulante, Frase | |Bali

1 Lycée Yeumbeul 1 CEM SCAM/Pikine 1 Lycée Sangalkam 1 Lycée Lymamoulaye 1 Fatick Lycée Khar Kâne 2 kolda CEM Diaobé 1 Kaolack CEM Ndoffane Laghem 1 Lycée Kotal 1 CEM Ngane Saer 1 Ziguinchor CEM Kabiline 1 1 Sédhiou CEM Simbandi Balante 1 Diourbel CEMT 1 Lycée Bambey 1 Tambacounda CEM Abattoir 2 CEM Afia 1 Source : Enquêtes personnelles, 2011 Ce présent échantillon est fixé pour objectif de toucher le maximum de localités afin d’appréhender les particularités qui existent

parlaient pas la même langue. Les peuples de la Savane : D’ouest en Est, nous avons les Wolof, les Mandenka, les Bambara. A cela, il faut ajouter les populations sur la côte entre la Gambie et le Rio Grande où des communautés d’agriculteurs (Beafadas, Balante, feloup Bainounk,) ont été encadrées par les Mandenka de l’Ouest. A l’intérieur de la boucle du Niger, au niveau de l’ensemble montagneux du Hombori, vit le peuple Dogon (accroché aux flancs de la falaise de Bandiagara) dont la culture est l’une des

du Soudan, Mandingues et Peuls infiltrés depuis des siècles, tantôt les acculant à la côte de l'Océan ou parfois même aux îles situées dans les estuaires des fleuves, comme c'était le cas pour les Diola de la basse Gambie et de la Casamance, les Balantes, Bagnoun, Bissago, Papel, Biafada, etc. de la Guinée Portugaise, les Nalou, Landouman et Baga de la basse Guinée Française, les Timné et Boulom du Sierra-Leone, tantôt les isolant en îlots plus ou moins étendus à l'intérieur des terres, comme ceux