Bâle II

nouvelle loi bancaire......................................................................... 13 c. Le cadre institutionnel .......................................................................................................................... 14 II. LA PRESTATION CONTROLE DE GESTION : MISSION ET ORGANISATION...................... 15 1. LA MISE EN PLACE DE LA FONCTION DE CONTROLE DE GESTION AU SEIN DES ETABLISSEMENTS DE CREDIT15 a. Définition de la fonction et son rôle au sein de l’établissement

ont prouvé l’importance de l’identification et de la maîtrise de ces risques. Nous nous attacherons à décrire les 3 familles de risques majeurs auxquelles sont exposées les banques, à savoir les risques bancaires, opérationnels et de gouvernance. II/ LES RISQUES BANCAIRES : - Le risque de liquidité ou d’illiquidité provient d’une configuration du bilan selon laquelle, à un moment donné, la Banque ne pourrait pas mobiliser assez d’actifs pour faire face à un afflux de demandes de remboursement

majeures. C'est pourquoi La Banque des Règlements Internationaux (BRI) dont le siège est à Bâle (Suisse) a établi des ratios de solvabilité que toutes les banques doivent respecter. On compare donc le niveau des engagements d'une banque (credits et autres placements) au montant de ses fonds propres (capital apporté par les actionnaires et profits de la banque). En 1988, à la creation du premier ratio (Bâle I ou ratio Cooke), il était égal à 8% ce qui signifiat que pour prêter 100 millions d'euros

lacunes dans la procédure de Gestion des risques de crédit. C’est pour cette raison que les gouverneurs des banques centrales des pays du G 10 ont décidé de mettre sur pied les normes pouvant régir la gestion des risques d’où la naissance du comité de Bâle en 1974. Dans notre contexte, le Cameroun, nous avons assisté à la fermeture de nombreux EMF tels que COFINEST (2011), GEPIC (2010), à cause d’une mauvaise gestion des risques octroyés à leurs clients. A cheval sur les secteurs financiers

Bâle II Les accords de Bâle (ou Basel pour les Suisses) concernent les banques et les institutions financières (assurances, organismes de crédit), mais aussi  les compagnies financières (holdings) à la tête d’un groupe à dominante bancaire. Ils imposent l’unification de la gestion des risques ainsi que la mise en place de processus de modélisation. Ces normes bouleversent toute l’organisation des systèmes de gestion des banques, et vont les contraindre à une réorganisation de leurs processus

des dépôts à vue. Cette même banque centrale adopte le statut de « préteur en dernier ressort » dans certaines situations pour aider la banque en faillite. Par ailleurs d’autres réglementations ont été mise en place telle que les Accords de Bâle I et Bâle II pour contrôler les actions des banques. Le Ratio Cooke qui permet de limiter les prêts accordés par une banque ou autre établissement financier en fonction de leurs capitaux propres. A travers cet article, Diamond et Dybvig ont montré

Chapitre 3 : Le backtesting Afin d’être éligible aux approches IRB, le comité de Bâle précise qu’une banque «  doit répondre aux exigences minimales décrites dans le document consultatif de janvier 2001 en terme de système de notation » , étant entendu que «  la notion de système de notation recouvre non seulement les méthodes , mais également les procédures , contrôles , collectes de données et systèmes informatiques qui servent à l’évaluation des risques de crédit , à l’attribution de notations

accord bilatéral avec l’UE. Les règles techniques tendant à se complexifier, les demandes de consultants concernent les consultants juristes, mais aussi les chefs de projets, les développeurs et les BA. MIFID II Parmi les nouvelles règlementations bancaires, citons Mifid II qui introduit de nouvelles règles de conduite aux entités financières, et vise l’efficacité, la sécurité et la transparence des opérations sur les marchés financiers. Dans le détail cela signifie : Renforcer le

activités Les produits sont les prestations fournies par les domaines d’activité. Des exemples de produits de l’activité dépôts sont les comptes courants, les livrets les comptes à terme. 1.1.2 Les activités selon Bâle II Pour l’allocation des fonds pour propres, le comité de Bâle offre en ce qui concerne le risque opérationnel, plusieurs solutions adaptées à la taille est à l’activité de chaque établissement : L’approche indicateur de base ; L’approche standard ; L’approche mesures avancées

Parler du Comité de Bâle Le Comité de Bâle ou Comité de Bâle sur le contrôle prudentiel bancaire est une institution créée en 1974 par les gouverneurs des banques centrales des pays du "groupe des Dix" (G10), regroupe des banques centrales et des organismes de réglementation et de surveillance bancaires des principaux pays industrialisés (France, Belgique, Canada, Italie, Japon, Luxembourg, Allemagne, Pays-Bas, Suisse, Espagne, Suède, Royaume-Uni et les États-Unis). La création du Comité suivait