Bals de Paris

nobles, on pouvait trouver des dortoirs chauffés où de petites fontaines permettaient d'avoir l'eau dans des chambres individuelles, sans oublier une domesticité attachée à chaque pensionnaire, ou du moins les plus fortunées. Au sélect Calvaire, à Paris, il était d'usage de s'attacher les soins d'une femme de chambre (400 livres/an), avec appartement privés (200 livres/an). -Chambre type pour un couvent de standing moyen : on y trouvait un lit (qualité variant de moyenne à médiocre), un prie dieu

Questions : 1. A l’aide de votre livre, présentez le document. Ce discours a été prononcé le 9 octobre 1877 à la chambre des députés par Léon Gambetta, un des principaux leaders des républicains durant les années 1870 : défenseur de la France et de Paris contre les Prussiens en 1871, il veut soutenir la poursuite de la guerre mais se résout finalement à l’armistice. Principal défenseur d’un système républicain, il fait partie de ceux qui poussent à la mise en place d’une réelle république, fondée sur

sottise et leur avancement dans la société.Elle est restée simple mais à une soif de chic, qui est accessible à tous. Sa conception du chic s’oppose totalement à celui de Swann. Mais elle est tellement sure de son goût. Ce qu’elle apprécie ce sont des bals chez les snobs. Elle aurais aimé y aller mais elle n’avait pas d’invitation. Et alors si elle n’y était pas ça aurait du être une « tuerie ». Les personnes que fréquente Swann ne lui intéressent pas, seulement les billets et les cartes qu’il lui procure

pourtant la norme. Elle a été marié au marquis de Merteuil à l'âge de 15-16 ans, mais celui-ci est mort des suites d'une maladie, après un temps de veuvage en province où elle n'a pu goûter qu'aux peu variés "plaisirs rustiques", elle s'installe à Paris où elle a pu mener sa vie comme elle l'entendait. Elle a eu de nombreuses liaisons  notamment avec Valmont, qu'elle a rencontré alors qu'ils venaient tous deux de se faire quitter, lui par l'Intendante, elle par Gercourt (Gercourt et l'Intendante étant

sont tués, la prise de la Bastille est une cause nouveau mouvement révolutionnaire français. L’Ancien régime touche à sa fin. Fête de la Fédération Le 14 juillet 1790, célèbre le 1er anniversaire de la Prise de la Bastille. A Paris, au Champ de Mars, les gardes nationaux de Paris et 14 000 délégués de Province viennent prêter serment, sur l’Autel de la Patrie, à la nouvelle Constitution. Par la suite, la commémoration du 14 juillet 1789 est abandonnée, jusqu’à 1880 sous la IIIème République. Pour solidifier

décoratives d’avant-guerre. Charles Bianchini lui fait connaître les champs de courses, haut lieu du paraître social où ses créations ne tardent pas à prendre place parmi les vêtements des Années folles. Le spectacle de la vie moderne et celui de Paris, capitale de la joie de vivre, prennent une telle vigueur qu’ils l’amènent à abandonner imagerie et cubisme . Dufy rallie en cela le mouvement des décorateurs qui préparent l’exposition de 1925 dans le but placer l’art au service d’une évolution du

Parlement de Londres, ce qui n’est d’ailleurs pas le cas. La Fayette : général français, envoyé de la France (France = finance la guerre) Prouve que l’Europe est de près ou de loin impliquée dans la guerre d’indépendance aux É-U. 1783 : Traité de Paris, fin de la guerre d’indépendance. Les nouvelles frontières américaines : - G-B possède l’Amérique du nord (Canada) - Espagne possède l’ouest des « É-U » et le Mexique - 13 colonies possèdent la côte est de l’Amérique du nord Ambitions : les 13 colonies

et, comme en témoigne Jacques Offenbach, jusqu’à Paris et au-delà. Plus important encore : dans le sillage de cette révolution – que le musicologue Derek Scott appelle « la révolution des musiques populaires au XIXe siècle » – sont apparues des caractéristiques dont on peut considérer qu’elles se sont perpétuées jusqu’à nos jours. Cette « révolution », telle qu’elle s’est déroulée, au XIXe siècle, à Vienne, puis à New York, à Londres et à Paris, a dessiné les contours d’une nouvelle tradition

seulement pouvait l’approcher et l’accompagner réellement, les autres se contentant de le suivre. Primi Visconti écrit ensuite lignes 17-18 « Depuis la tombée de la nuit jusqu’à dix heures, il converse avec les dames, ou joue, ou va à la comédie ou aux bals ». L’auteur décrit ici les soirées d’appartements. Elles avaient lieu de début octobre jusqu’à Pâques environ et tous les courtisans logés, c’est-à-dire que le roi a mis à leur disposition un logement au château, pouvaient et devaient y prendre part

métal et eau. Le poète démiurge trouve dans le rêve une manière de créer son Univers, et peut-être une échappatoire temporaire au spleen. Ce tableau de Camille Pissarro peint en 1897, nous fait penser au poème de Baudelaire puisqu’ ‘il y décrit Paris. Les immeubles haussmanniens nous font penser aux « murailles ». De plus comme Baudelaire cette scène se situe le matin, et comme le poème il nous envoute dans une atmosphère et un rêve parisien. 5) Verlaine « Rêve familier » tiré de « Poèmes