Bamouns

chez des pratiquants de religions dites «africaines», qui ne pratiquent aucun syncrétisme. Ainsi au Bénin et dans de nombreux pays du golfe de Guinée, chez les Fon-gbe, Ewe, Yoruba en particulier, avec le Vodou. Au Cameroun chez les Bamilékés et les Bamouns. Au Gabon, chez une partie des Fangs, des Mitsogo, avec le Bwiti. Au Mali, de nombreux Mandingues, surtout Malinkés et Bambaras et Dogons, au Sénégal, les Sérères, Diolas, les habitants de la région orientale, les Badiarankés, conservent des pratiques

des régions habités. Par exemple, une partie d'Angkor Vat et des tours de Bayon aux visages souriants ont été construits dans les jardins de Vincennes ou encore la section du Cameroun qui est composé de reproductions de cases de chefs et d’indigènes Bamoun. Ces bâtisses sont accompagnés de réels mises en situation, on ramène des indigènes dans la métropoles pour qu'ils soient des illustrations vivantes des colonies, des spectacles de danse de chants sont donnés et des indigènes montrent au public

taille). La population est composée de plus de 250 ethnies qui partagent des cultures et des traditions millénaires. Les principaux groupes ethniques sont : Bantous: Béti, Bassa, Bakundu, Maka, Douala, Pygmées (au sud) Semi-Bantous: Bamiléké, Gbaya, Bamoun, Tikar (a l’ouest) Soufdanais: Foulbé, Mafa, Toupouri, Arabes-Choas, Moundang, Massa, Mousgoum (au nord) Le français et l’anglais sont les langues officielles, elles sont parlées respectivement par 70 % et 30 % de la population. L’Espagnol et l’Allemand

culture , avaient même origine et habitaient le même espace. La division de ce peuple à la suite de la première guerre mondiale a créé l’illusion d’une diversité de peuples. Il s’agit donc d’une nationalité dont les sous-groupes constitutifs sont les Bamoun, Bamiléké, Bafut, Bamenda , Meta , Banso , etc Ce peuple comprend les Chrétiens , les Musulmans et les Animistes. Ce peuple a connu une certaine hétérogénéité politique 15 jusqu’à présent. l’UPC, le Kamerun National Congress (KNC)16, le Kamerun National

pratique d'écriture n'ko (date ?) * Traité de sciences en n'ko, vers 1960 NB: En plus de l’ajami (écriture arabe) et des alphabets dérivés de l’alphabet latin, l’Afrique noir possède aussi plusieurs écritures qui lui sont propres : - Écriture Bamoun - Mandombe - Alphabet N’ko - Tifinaghs ( écriture des touareg, ces dernier sont aussi des subsaharien ! ) - Vaï - Winanckôkrousè ------------------------------------------------- La littérature francophone[modifier] La littérature africaine francophone

veilleinfotourisme.com www.douala-net.com www.prc.cm Livres et publications : - Histoire du Cameroun, édition CEPER, Yaoundé 1985 ; et l’art et l’artisanat africains paru aux éditions CLE 1980 d’Engelbert MVENG. - Les trésors touristiques du pays Bamoun, publication du ministère du tourisme. - Les peuples bantous (1998), publication du ministère de la culture. - Statistiques du tourisme au Cameroun (2005), ministère du tourisme - Développement durable du tourisme : guide à l’intention des autorités

UNIVERSITÉ DE PARIS-I PANTHÉON-SORBONNE SCIENCES ÉCONOMIQUES - SCIENCES HUMAINES - SCIENCES JURIDIQUES SYSTÈME POLITIQUE TRADITIONNEL ET ORGANISATION MUNICIPALE DU CAMEROUN ORIENTAL (Exemple BAMOUN) THÈSE POUR LE DOCTORAT DE SPÉCIALITÉ 3· CYCLE EN DROIT ET ÉCONOMIE DES PAYS D'AFRIQUE présentée et soutenue publiquement par Oumarou NCHOUVV'AT-NJOYA le 1971 JURY Président M. M. ALlIüT, Professeur Suffragants M. P. LAMPUr, Professeur M. A. TUI"JC, Professeur La Faculté n'entend donner

traditionnel reste un important collaborateur de l'administration. Collaborateur de l'administration Pendant la période coloniale déjà, les Européens, dans leurs rapports avec la population, firent appel aux chefs locaux. Chez les Bamiléké, les Bamoun et dans le Nord- Cameroun, on confirma leurs pouvoirs, dans la mesure même où ils se montraient dociles. Au cas où ils se montraient trop indépendants de la puissance coloniale, ils furent déposés et remplacés par un autre membre de leur famille ou

regroupement ethnique qui est le plus souvent observé et qui conduit au développement de quartiers habités en majorité par les ressortissants d’un même groupe ethnique et qui porte généralement le nom de ce groupe. Par exemple le quartier Bamiléké, Bamoun, Bafia … Par endroit, la tendance peut s’étendre à la régionalisation par exemple le quartier sudiste ou à un regroupement sur une base religieuse par exemple le quartier musulman, chrétien … Conclusion La ville est un milieu social par excellence

La renommée de ce secteur d’activité de Maroua se diffusa avec sa représentation dans les manifestations culturelles à l’instar des foires et expositions à travers le monde. Bien qu’en 1937, l’artisanat du Cameroun ne fût représenté que par l’art bamoun à l’Exposition internationale de Paris et qu’aucune mention n’eusse été faite de l’artisanat de Maroua, celui-ci fut cependant très présent dans toutes les expositions ultérieures. L’artisanat devint l’une des caractéristiques de la ville de Maroua