Bangui

pour l’intégration de la gestion administrative de l’ordonnateur. ● auprès des ambassades du Royaume à : Pretoria (Afrique du Sud) ; Addis Abeba (Ethiopie) ; Sanaa (Yemen) ; Antananarivo (Madagascar) ; Yaounde (Cameroun) ; Dacca (Bangladesh) ; Bangui (République centrafricaine). ● ● ● ● ● ● ● Nominations La Trésorerie Générale du Royaume a procédé au titre de l’année 2012, aux nominations de : ● ● ● ● M. Ahmed LAHRECH, Trésorier Ministériel auprès du Ministère de l’Intérieur ; M. Abdellah

l'accord de Bangui révisé signé le 24 février 1999 dans la capitale centrafricaine a subi les principales modifications suivantes. En premier lieu, la révision a porté sur les conditions d'acquisition des brevets et la durée de leur protection. En second lieu, certaines prérogatives et obligations des titulaires des brevets ont été modifiées, notamment en annulant la condition de l'exploitation locale des brevets et en limitant les droits conférés aux brevetés. Enfin, l'accord de Bangui révisé a aggravé

officielle parallèlement à d'autres l'anglais (Cameroun), l'arabe (Mauritanie, Tchad), une langue africaine (Burundi, Ruanda), ou plusieurs langues africaines (Côte-d'Ivoire, Sénégal, Zaïre, etc.). Dans de nombreux quartiers des grandes villes, Abidjan, Bangui, Dakar, Lomé, N'Dja-ména, Yaoundé, etc., on rencontre des formes créolisées du français, très variables et fort intéressantes du point de vue linguistique. Mais il existe aussi, bien qu'il ne soit pas lui-même tout à fait unifié, un français africain

installée à à Yaoundé en République du Cameroun depuis 1977. Elle comprend : Six Directions Nationales installées dans les capitales politiques de chacun des Etats membres Treize Agences : Six abritent les locaux des directions nationales : Bangui, Brazzaville, Libreville, Malabo, N'djamena et Yaoundé Sept autres étant Bafoussam, Bata, Douala, Garoua, Limbé, Pointe-Noire et Port-Gentil Cinq Bureaux : Un au Cameroun (Nkongsamba) Deux au Gabon (Oyem et Franceville) Deux au Tchad De plus

imparti dans le cas où le tribunal civil n’a pas été saisi. Article 78. L’action est portée devant le tribunal du lieu de naissance de celui dont la nationalité est en cause ou, s’il n’est pas né en République Centrafricaine, devant le tribunal de Bangui. Il ne peut être dérogé à cette règle de compétence, qui doit être soulevée d’office par le juge. CHAPITRE 2 De la procédure devant les tribunaux judiciaires. Article 79. Le tribunal de première instance est saisi par la voie ordinaire. Article 80

toutes les données relatives au narrateur principal : son statut de métis, son enfance, sa famille – avec toutes ses « tantines » charman- tes : Marie-Chinois, Monette, etc. –, l‟espace dans lequel il évolue, entre Brazzaville, Léopoldville et Bangui, les activités des uns et des autres, la colonisation, l‟évolution de la vie politique, les mariages, 24 LOPES (H.), « Mon chemin depuis la négritude », conférence à l‟Université de Montréal

pays d'Afrique centrale, créée pour prendre le relais de l'Union douanière et économique de l'Afrique centrale (UDEAC). Le traité instituant la CEMAC a été signé le 16 mars 1994 à Ndjamena (Tchad) et est entré en vigueur en juin 1999. Son siège est à Bangui (République centrafricaine.) La CEMAC, qui regroupe l’Union monétaire de l’Afrique centrale (UMAC) et l’Union économique de l’Afrique centrale (UEAC), est présidée par Antoine Ntsimi depuis le 25 avril 2007. Elle a pour mission : * d’établir

économiques. Ainsi, le montant total des programmes régionaux des FED 6,7 et 8 s'élève à environ 15,381 millions d'euros dont près de 2 millions d'euros sur le 8ème FED pour l'appui institutionnel à la CEMAC, dont le Secrétariat exécutif se trouve à Bangui. Dans le cadre du 9ème FED, les instruments de coopération de l'Accord de Cotonou permettront d'intervenir au niveau national et régional en appui à la préparation et à la mise en œuvre des Accords de Partenariats économiques (APE) prévus dans l'Accord

les violations. Des initiatives tendant à harmoniser des législations plus sectorielles seront ainsi progressivement mises en place, aussi bien dans le cadre de l'Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI) signée le 02 mars 1977 à Bangui, qu’en matière d’assurance avec la Conférence Interafricaine des Marchés d'Assurances (CIMA) instituée à Yaoundé par Acte du 10 juillet 1992, sans oublier la matière de la sécurité sociale avec l’institution de la Conférence Interafricaine de la Prévoyance

d’Ivoire, Zaïre de Mobutu, Sierra Léone, Haïti… République Centrafricaine Conditions Générales de sécurité préoccupantes, surtout en province, rendent les déplacements incertains et ne favorisent pas le tourisme (peu développé) En revanche, la capitale Bangui, jouit d‘un calme relatif mais ses structures d‘accueil restent sommaires → → Soraya SAIT/Géopolitique du SAIT/Gé tourisme et gestion de crise/EMVOL1