Banlieue 13

industrielles du 19ème s. introduisent une mutation dans le paysage urbain. Paris, comme toutes les grandes villes du monde occidental, attire une masse de migrants venus des campagnes ou d'étrangers pour trouver un emploi. Paris étend son emprise sur sa banlieue où des petites villes naissent. Pour terminer, Paris est une ville malade. Elle est touchée par deux épidémies de choléra en 1832 et 1849, qui feront près de 45 000 morts en tout. Contrairement à Londres, Paris nʼa pas dʼeau courante ni de système

années 80 en France, suscités la constitution d’une image sociale du « jeunes de cités » ? Par cette phrase, David Lepoutre nous invite à nous interroger sur les facteurs qui ont amenés l’opinion populaire, à désigner les jeunes habitants de banlieues, les « jeunes de cités ». En effet, cette appellation stigmatisante a toujours plus ou moins existée, mais a un autre sens aujourd’hui. Le mot cité dans l’antiquité représenté une communauté politique dont les membres (les citoyens) s’administraient

logement augmente • Pendant les trente glorieuses = augmentation constante du nb d’ouvriers qui habite ds les « banlieues rouges » (= vote communiste), avec une culture ouvrière et municipale forte (ex : précurseurs dans les garderies…) => Un lieu d’intégration. • Mais diminution avec la fin des trente glorieuses du nb ouvrier en % ds la pop • L’accumulation des handicapes dans les banlieues = un processus de disqualification sociale d’un espace qui se traduit par une concentration de ménages défavorisés

parmi les meilleurs du monde (Robotique, informatique). Les laboratoires de recherches des grands groupes privés ne sont pas en reste Sony a, par exemple sont plus grand centre de recherche dans la banlieue de Tokyo (depuis les années 60). Et enfin les usines de production sont également dans la banlieue de Tokyo. Ce regroupement des capitaux, des pôles universitaires, de la recherche fondamentale, des laboratoires de recherche privés, et enfin des antennes de production fait de Tokyo un technopôle

« ghettos » ou « banlieues » utilisées notamment en Amérique et en France. Ce sont donc des quartiers où la population est considérée comme majoritairement pauvre, ils peuvent être sous différentes formes on peut prendre comme exemple les banlieues françaises. Pour la région parisienne, le problème typique de ses banlieues c'est qu'elles sont comme mises à l'écart du centre de paris créant ainsi un fossé entre la banlieue et la ville, la situation économique étant déjà difficile dans ces banlieues il y a

trouve alors dans Paris intra-muros, à Garde du Nord, à Châtelet-Les-Halles et à La Défense par exemple. Des centaines de jeunes « de banlieue » accourent des quatre coins de l’Ile-de-France pour découvrir les tags, les graphs, la breakdance et le rap. Fascinés par la puissance états-unienne, construits par la crise socioéconomique et le « malaise des banlieues » qu’ils associent plus ou moins à l’horreur du « ghetto US », ils font preuve d’une mobilité géographique certaine pour rejoindre les

déléguer au niveau locale, la loi de décentralisation de 1982 en témoigne, bien que ses contours peuvent apparaitre floues. Cependant, l’évolution de la ville offre une image plutôt négative, voire chaotique. Depuis une trentaine d’année, les banlieues sont devenues un des graves problèmes de la société française. La première émeute importante de 1979 a dévoilé un nouveau problème : la crise de la société urbaine. Des tensions séparatistes ont émergées révélant une société marquée par la défiance

cherche une réponse à la violence qui mine notre société, nous voulons dire que le premier pas passe par notre libération et le respect de nos droits les plus élémentaires. Pouvoirs publics, média, partis politiques ne voient et ne parlent de la banlieue qu’au masculin. Nous n’apparaissons que de temps à autres, gentilles, réussissant bien à l’atelier cuisine qui prépare les repas de fête du quartier. Silence sur celles qui ont fugué, qui ont fait le ménage du matin au soir, qui se cachent pour aimer

Le 27 novembre 2005 des émeutes à Clichy sous Bois vont être le point de départ d'une vague de violences urbaines au sein d'un grand nombre de banlieues françaises. Les sociologues Stéphane Beaud et Olivier Masclet on tenté de comprendre ce phénomène de violence à travers l'évolution du rapport à l'avenir et des conditions sociales dans lesquelles vivent les enfants d'immigrés. En effet, cette idée est illustré par deux événements marquant : La MARCHE POUR L'EGALITE ET CONTRE LE RASCISME aussi

d’un déroulement chronologique, mais nous nous attacherons à construire notre propos en fonction des idées conceptuelles engagés par l’artiste. Nous tacherons de nous intéresser dans un premier lieu à comment un héritage urbain et social des banlieues peut s’inscrire dans le processus de création de l’artiste, dans un deuxième lieu son intention d’exprimer le ressentiment d’une population biculturelle et son phénomène d’acculturation qui s’y rattache, et finalement l’exploration des dérives