Banque centrale

croissance », car toute action favorisant la croissance risque d'accentuer les risques d'inflation, tandis que toute tentative de stabilisation monétaire risque d'avoir des effets récessifs. Conclusion : - La création monétaire à la charge des banques centrales, n'est pas une affaire simple. Il importe à la fois d'alimenter suffisamment l'économie en liquidité et de satisfaire les besoins de financement, tout en se préservant d'une création excessive de monnaie cause d'inflation et d'effets pervers

« politique économique », c’est l’étude de ce qui relève de l’État dans la vie économique, c’est-à-dire les actions qui ne rentrent pas dans une stricte relation de marché. Les objectifs économiques de l’État et de son partenaire privilégié qu’est la banque centrale sont essentiellement d’éviter le chômage, l’inflation et le déficit extérieur, et les outils d’analyse à leur disposition sont ceux développés par la science économique. Cet ouvrage montre sur quels fondements s’élabore une politique économique

d'un point de vue bassement économique, une partie conséquente de la population active dépourvue de travail et un réel frein à l'activité économique du pays. C'est donc pour toutes ces raisons que l'enjeu, au sortir des 30 glorieuses, est devenue centrale pour la classe politique. Alors, en quoi le contexte économique intervient-il sur le diagnostic à établir du chômage et quelles politiques sont les plus adaptées à ces diagnostics ? C'est donc après avoir vu que les diagnostics peuvent se baser

devises sur un support relativement sûr et rémunérateur, éviter une rapide hausse du yuan et, surtout, soutenir l'économie américaine, dont une prochaine reprise profitera par ricochet à sa propre croissance. 2. Achat d'or Pour l'heure, la Banque centrale chinoise possède 600 tonnes d'or, qui représentent 1% de ses réserves de change. Une proportion jugée cependant insuffisante par de nombreux économistes chinois, qui plaident pour l'achat de 4 000 tonnes d'or supplémentaires, soit 10% des réserves

approvisionné, ils reviennent très vite irriguer le système financier américain. Les banques centrales – européennes, en particulier –, dont l’encaisse métallique garantissant la convertibilité externe de la monnaie a été largement complétée par des réserves de change en dollars, selon le principe déjà avancé à Gênes en 1923 et confirmé à Bretton Woods, font « travailler » ces réserves en les prêtant aux grandes banques privées américaines, une opération profitable que l’on ne peut réaliser avec des

PIB par habitant=3500$ US PNB =810.9 milliards $US Pib par secteurs en 2008 : 45.3% pour les services,40.7% pour les industries,14% pour l’agriculture Exportation : 139 milliards de $ US Importation : 116 milliards de $ US Banque centrale : Dette publique : 35.4% du PIB en 2008 Dette extérieure : 155.1% du PIB en 2009 Réserve : or et devises 53270000000 $US Balance commerciale : excédentaire avec 83,64 milliards de $ US Ressources minérales : de pétrole brut, gaz naturel

------------------------------------------------------------------------------------------------ Vaincre l'inflation a donc ete tres facile ( mais a amené aussi des consequences économiques "douloureuses") - La politique monétaire a radicalement changé. Les banques centrales ont fait augmenter les taux d'interets. - on a supprimé l'indexation( desindexation -> blocage du pouvoir d'achat) d'une grande partie des salariées( le pouvoir d'achat de ses revenus a donc baissé )

évaluée au moyen de l’indice des prix à la consommation (IPC). Cette mesure est établie par l'Insee et employée par l'administration française comme indicateur de l'inflation. Dans le cadre européen (en particulier dans le Système européen de banques centrales), l'IPCH (Indice des Prix à la Consommation Harmonisé) est employé. Il s'agit d'un retraitement des postes de prix des indices nationaux (IPC en France, VPI en Allemagne, etc.) relevés par les instituts statistiques nationaux (Insee en France

libéralisation du commerce mondiale et la concurrence des pays émergents exercent une forte pression sur les prix, les salaires sont désindexés et les taux de chômage, encore élevés en Europe , créent une pression sur les hausses des salaires, les banques centrales maîtrisent la hausse de la masse monétaire et les cours des matières premières ont moins d'effets inflationnistes que par le passé.

l'étymologie - le terme inflation provient du latin "inflatio" soit enflure -, l'inflation a d'abord été considérée comme l'enflure de la masse monétaire en circulation, principalement des billets en circulation : il y avait inflation quand la banque centrale émettait trop de billets[3]. Il n'y avait donc pas de construction de richesse d'où la hausse des prix. La conséquence directe de l'inflation était alors l'augmentation des prix. Aujourd'hui, c'est cette conséquence de l'inflation (au sens initial)