Banque mondiale

poches de conflits de faible intensité perpétuent l’instabilité sur le continent. De plus, malgré une croissance économique très rapide, l’Afrique connaissait en 2009 un taux de chômage deux fois supérieur à celui de l’Asie, et son poids dans le PIB mondial ne dépassait pas en 2011 un maigre 3,97 %, contre 5,65 % pour l’Inde, 14,32 % pour la Chine ou 8,6 % pour l’Amérique latine et les Caraïbes.•4 Même si la difficulté de collecter des données fiables sur le continent peut en partie expliquer cette situation

une multitude de règle régissant la production, les échanges et le traitement des produits agricoles. Elle va permettre aux agriculteurs de l’Union européenne d’avoir un bon niveau de vie, assurer la compétitivité de l’agriculture au niveau mondial, et notamment assurer une garantit de sécurité sur la qualité et la quantité des produits alimentaires à des prix respectable. Elle sert aussi à contribuer à l’aménagement du territoire et à la préservation de l’environnement. On

que de reconnaître le fait que d’autres acteurs se dessinent sur la scène internationale et qu’ils doivent désormais en tenir compte dans la prise de décision. C’est pour cela que depuis 1999, le G20 est connu comme le nouveau club des puissances mondiales. Ces nouvelles puissances viennent modifier le statu quo des relations internationales en réclamant des sièges permanents au Conseil de Sécurité des Nations-Unis et déstabilisant ainsi l’équilibre dans les institutions internationales. Même si les

le PIB/habitant augmente progressivement, l’indicateur de pauvreté indique l’augmentation de personne qui s’appauvrisse de plus en plus et sont alors mis de côté. 2) Que peut-on dire au niveau mondial ? Les inégalités qui s’appliquent à la société française sont également présentent au niveau mondial : * Inégalités économiques : - Mauvaise répartition des richesses (richesse par habitant entre les pays en développement, les pays émergeant et PMA sont immenses). - Fort écart Nord/Sud et

Au delà de la croissance économique : Un manuel en ligne créé par la Banque Mondiale, et qui commence ainsi : "Cet ouvrage a principalement pour but d'aider le lecteur à élargir ses connaissances sur les questions qui se posent au plan mondial, à mieux comprendre la situation de leur pays dans le contexte international et à cerner les problèmes soulevés par le développement durable, au plan tant national que mondial". Un ouvrage pédagogique, nuancé et riche en données statistiques agréablement

(ONU), mais il existe de nombreuses autres organisations, telles la Banque mondiale, qui regroupe la Banque Internationale pour la Reconstruction et le Développement (BIRD), l'Association Internationale de Développement (AID), la Société Financière Internationale (SFI); la FAO (Food and Agriculture Organization), qui est en charge du programme de l'ONU pour le développement et qui, chaque année depuis 1946, organise une journée mondiale de l’alimentation. Parmi les différents types d’aides, la plus

elles opèrent, afin que les citoyens puissent ensuite demander des comptes à leurs gouvernants. Dans ce contexte, appuyée par une vingtaine d’ONG françaises, une délégation congolaise a rencontré à Paris, en février 2003, des représentants de la Banque mondiale, de l’OCDE (Organisme de Coopération et Développement Economiques), du gouvernement français et de Total. « Les autorités françaises ont assuré qu’elles connaissaient bien la situation congolaise. Mais que la France ne peut pas, à elle seule,

Les inégalités de richesse au niveau mondial La croissance se traduit par une augmentation des revenus, mais au niveau mondial, on constate une aggravation des inégalités entre les pays les plus riches et les pays les plus pauvres. Toutefois, les pays en voie de développement ont connu des évolutions très contrastées. Si certains pays en voie de développement, dits « émergents », sont engagés dans une phase de rattrapage des pays avancés, d’autres, les pays les moins avancés, sont largement

entraîne-t-elle de nouvelles (in)égalités? L’économie mondiale connaît une période prolongée de croissance, et les perspectives restent favorables. Avec une augmentation annuelle de 2,1% durant la période 1980–2005, le revenu moyen par habitant des pays en développement converge modestement – mais c’est une réalité historique – vers celui des pays riches1. Cette tendance va se poursuivre et les économies émergentes contribueront de plus en plus à la croissance mondiale. Autrefois considérés comme à la périphérie

eau potable, 2,3 milliards ne disposent pas de sources d’énergie fiable, 2,4 milliards sont privés d’installations d’assainissement et 4 milliards ne bénéficient d’aucun système moderne de communication (OCDE, 2005). Les travaux du FMI et de la Banque mondiale (2005) estiment à 5,5% du PIB dans les pays en développement, et à 9% dans les pays les moins avancés, les besoins annuels d’investissement dans les infrastructures. 2 Parmi les pays en développement, ceux de l’Afrique subsaharienne restent