Banque mondiale

inégalement développé » - « Pays les plus gravement touchés » - « NPI », « Pays émergents » ou « marchés émergents » - « Nations prolétaires », « pays arriérés », « dominés » - Pays du « centre », pays de la « périphérie » - Le classement de la Banque Mondiale - Autres expressions 3 - Faut-il renoncer à définir le « développement » ? B - La mesure du développement (CDM) 1 - Les indicateurs usuels de croissance - Le PNB et le PNB par habitant - Les problèmes associés à la mesure du PNB 2 - La mesure

? A retenir : P.i.b valeur de la production réalisé dans un pays par les entreprises même etrangéres P.i.b par/habitant donne idée de la richessepar habitant P.p.a est plus fiable. I. des nors et des suds : -entre 1960 et 2010, P.I.B mondiale par/habitant + 50 pourcent recule de la pauvreté. sastifaction des beseoins élémentaires.Au sein du sud nette progrés en asie orientale(chine). Mais situation préoccupante en afrique sub-saharienne. -Inégalités également interneaux états-unis -Forte

d’efficience entre les firmes.Économiste jouissant d'une reconnaissance internationale, Masahiko Aoki a présidé entre 2008 et 2011 l'Association internationale d'économie. Il a également conseillé les gouvernements japonais et chinois ainsi que la Banque mondiale et la Banque européenne pour la reconstruction et le développement.

du travail puisqu’elle demande la spécialisation de la Chine, qui est aujourd’hui d’ordre technologique. De ce fait, les chinois voient leur revenu national brut par habitant croitre depuis 1980 et atteindre 7 000 dollars en 2009, d’après la Banque Mondiale, alors qu’il était de 10 en 1984. De plus, les pays ne se spécialisent non plus sur un produit mais sur une étape de la production de celui-ci. Les FMN vont donc apporter de nouvelles technologies au pays d’accueil, cela va lancer une spécialisation

INTRODUCTION En 2008, une crise financière majeure, survenue aux états unis, bouleversa l’économie mondiale et mit en avant la fragilité du système capitalistique sur lequel repose l’ensemble des pays développés. Beaucoup de ces pays connurent des récessions dont les effets se font sentir jusqu'à maintenant et dont ils peinent à se relever. Toutefois, certains pays encaissèrent le choc de la crise et connurent même des croissances positives de leurs PIB (la Chine avec 9.1% de taux de croissance

recommandations de la première conférence afro-asiatique de Bandoug n`avaient elles pas souscrit a cette plateforme en préconisant : ‘ l`établissement rapide d`un Fonds Spécial des Nations Unies pour le développement économique, une part plus grande de la Banque Mondiale pour la Reconstruction et le Développement pour les pays afro-asiatiques, l`établissement d`une coopération financière internationale pour des investissements, plus juste’ (Conf. Banboung : communique final. A coopération Economique S3).

possibilité de reloger in situ les habitants des bidonvilles en finançant la construction d’immeubles par des subventions croisées (Mukhija, 2003), tandis que la Banque Mondiale promeut la légalisation de la tenure foncière afin d’attirer les investissements dans le logement bon marché. Prenant la suite d’un programme pilote, la Banque Mondiale lance dans les années 1980 le Slum Upgrading Program, dont la réalisation est compromise par la très petite taille des parcelles et le coût final des opérations

l’économie mondiale semble avoir laissé quelques navires de côté. Malgré une croissance continue du revenu moyen (croissance moins rapide il est vrai), le taux de pauvreté n’a pas régressé, il aurait même plutôt progressé à cause de l’inégalité croissante. Les inégalités empêchent les plus défavorisés de profiter de la prospérité générale ». Les données relatives aux variables de l’étude sont issues de World Développement Indicators (WDI) de la Banque Mondiale, des Rapports Mondiaux de Développement

qu’elles se sont largement fondées sur les valeurs de justice et de solidarité propres à la gauche, et qu’elles ont apporté un bagage de connaissances précieux lors de l’établissement des programmes d’aide publique. La création de l’ONU et de la Banque mondiale – dont le rôle central dans l’orientation des politiques de coopération au développement est unanimement reconnu offre une autre illustration de l’influence de la gauche dans l’établissement du régime de l’aide. Il est vrai que la mise en place

grandes contradictions de notre époque» (Brandt 1980, 53) et sont ainsi à la base du problème des relations Nord Sud. De fait, en prenant compte des PIB par habitant, l’on constate effectivement des écarts entre les économies au niveau étatique (Banque Mondiale 2013). Cependant, les nations ne possèdent pas le monopole de l’inégalité. Une définition statocentrée ne rend pas compte des inégalités qui se retrouvent à l’intérieur des nations, ce qui entraîne une distorsion dans notre lecture des relations