Banque suisse et française

Exercice consistant à simuler des conditions économiques et financières extrêmes mais plausibles afin d’en étudier les conséquences sur les banques et de mesurer leur capacité de résistance à de telles situations. Les tests de résistance bancaire ont été mis en place par les Banques centrales et les Autorités en charge de la supervision bancaire (en France, la Commission bancaire et maintenant l’ACP) à la fin des années 1990. Dès cette époque les crises bancaires et financières plus fréquentes

désindustrialisation = montée du chômage, Mais le pouvoir d’achat reste élevé. 1990 : Invention d’internet → Net écologie La croissance augmente jusqu’en 2007 (spéculation financière) - Crise des Subprimes (2007) → Faillite des banques à cause des crédits revolving (taux changeant selon la situation) 2. La croissance est affectée par des crises. Page 19. Période de ralentissement économique : - 1873-1896 : « La grande dépression ». - 1929-1944 : « La crise des Années 30 ».

donnée et la hiérarchie des tâches. M. LEMARCHAND, nouvellement nommé directeur général de la Banque de Développement Régional, a constaté à la lecture des documents financiers que la production des crédits aux professionnels s’érodait alors même que la part des contentieux sur ce marché augmentait. En effet, après avoir supporté d’importants contentieux au cours des exercices antérieurs, la Banque de Développement Régional a ralenti sa distribution des concours. Cette prudence n’a pas pour autant

glas du protocole ETEBAC (Echanges Télétransmis entre les Banques et leurs Clients). ETEBAC est en effet utilisé depuis de décennies pour assurer les échanges entre les Banques et les Entreprises en France. La perspective de sa disparition amène les banques et les entreprises à se poser la question de son remplacement. Ce sont en effet plus de 90 000 entreprises utilisatrices d’ETEBAC 3 ou ETEBAC 5 et toute la communauté bancaire française qui doit se préparer à migrer vers de nouvelles solutions

VIGNERON Julien S2NRC Devoir Maison Le financement des entreprises françaises Décrivez les différents moyens de financement que les entreprises peuvent utiliser. Les entreprises disposent d'un certain nombre de moyens pour répondre à leurs besoins de financement. Bien évidemment, la modalité de financement choisie par une entreprise dépendra des caractéristiques du besoin de financement rencontré, que ce soit pour des besoins à long terme ou pour des besoins à court terme. Le principal

l’économie française en 2008 Pour 2008, les administrations publiques ont un besoin de financement de 66,2 milliards d’euros, les sociétés non financières ont un besoin de financement de 71,3 milliards d’euros, les ménages ont une capacité de financement de 58,2 milliards d’euros et si on ajoute la capacité de financement des sociétés financières, 13,8 milliards d’euros, et celle des institutions sans but lucratif au service des ménages, 1,3 milliards d’euros, l’ensemble de l’économie française connait

y a tritralisation des bilans bancaires (il y a de plus en plus de titres dans les bilans, à la fois à l’actif et au passif). ( « Marchéisation » car les conditions bancaires sont directement branchées sur les conditions des marchés (tarifs des banques proches/alignés sur ceux des marchés…). ( « Bilantialisation » de l’intermédiation de marché : la tritralisation en est le parfait exemple. ( Le fait de passer par des institutions financières permet de réduire le risque (calculé par des experts)

agents à déficit de financement peuvent aussi être des ménages. b. Les agents à excédents de financement Ce sont ceux qui ne consomment pas toutes leurs ressources. Ils ont une capacité de financement. Il peut s’agir des ménages. Ce sont aussi des banques et des entreprises. Tous ces agents sont des agents prêteurs. Ils vont souscrire directement des titres primaires. C’est ce qu’on appelle le financement directe (direct finance). Ils refusent de s’engager soit dans l’iliquidité soit dans le risque

BST et la CBAO. Cette nouvelle entité qui est devenu, de fait, la première banque du Sénégal et de l’UEMOA, bouleverse ainsi l’ordre établi et la suprématie des filiales des groupes français sur le secteur. Cette fusion a constitué un prélude à la prise de participation majoritaire du groupe BMCE, issu du même pays dans le capital de la BOA. De même, cette année a été également marquée par l’entrée en activité des banques nigérianes qui ont lancé leurs activités avec notamment UBA qui a ouvert son

............................. 11 tel-00452645, version 1 - 2 Feb 2010 0.1. L’opposition banque/marché : Une vision dépassée ?....................................................................16 0.2. L’interaction banque/marché : Vers un nouveau modèle ? ...........................................................29 0.3. L’endettement des entreprises françaises dans les faits : Vers les banques ou les marchés ? ...41 Conclusion du chapitre préliminaire...................................