Baptistère de Pise

Gerbière (La Chapelle-Chaussée). Elle date de Louis XIV. Elle se trouve sur une maison de la commune. La croix qui la surmonte laisse supposer qu'il s'agissait d'une maison de prêtre. Four à étage (Saint-Brieuc-des-Iffs). Ce four à étage en pisé faisait office de four à pain dans sa partie basse et a pu servir de four à chanvre, au niveau supérieur. Ce four datant des environs de 1650 a été construit sur le site d'un manoir dit "La Motte", site ancien de fortifications. Puits (Saint-Pern)

déception de celle-ci. L'artiste du Quattrocento fait aussi preuve d'une attitude d'affirmation de son indépendance morale : il refuse la compromission et reste critique envers la société. On peut citer ici l'épigraphe située au pied de la cathédrale de Pise, de Giovanni Pisano (architecte et sculpteur) au Trecento, soulignant le détachement dont l'artiste fait preuve quant aux critiques virulentes qu'il reçoit : «Plus je faisais de prouesses et plus je rencontrais d'hostilité. Mais je supportais ce tracas

générations de brillants écrivains comme les poètes Montale ou Quasimodo. Depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, l’Italie se souvient enfin qu’elle est un peuple de constructeurs et le monde lui empreinte ses architectes comme Gio Ponti (la Tour de Pise) ou Nervi (auteur de plusieurs palais italiens). b) Le patrimoine immatériel o La gastronomie La cuisine italienne, savoureuse et variée, est l’une des meilleures du monde. Ses diverses pâtes (spaghetti, maccheroni, tagliatelle, ravioli…)

réapparaît le nu en sculpture, bien avant que Donatello ne sculpte ses David ou Michel-Ange son Bacchus : dès le 13e siècle, les Pisano (originaires de Pise) sculptent la chaire à prêcher du baptistère de la cathédrale de Pise et y font figurer un Hercule nu (officiellement, une Vertu). Ce n'est pas un hasard si la Renaissance prend naissance à Pise . La ville était le lieu de conservation d'un nombre important de sculptures antiques, à proximité de la cathédrale, dans le Campo Santo. Le lien avec

exemples. L’art de la Renaissance se caractérise par un processus intellectuel. On parle de l’idea. Cela explique le nouveau statut de l’artiste. La Proto-Renaissance : Nicolo-Pisano, Annonciation, Nativité, Bergers, 1260, marbre, chaire du Baptistère de Pise. On voit les draperies de la sculpture antique, les beaux visages nobles, noblesse des figures, psychologie dans les visages qui évoque l’antiquité romaine. Mais pour Vasari, la Renaissance commence avec Giotto. Giotto, Lamentation sur le

l’isochronisme du pendule, celle de la chute des corps et les mouvements paraboliques des projectiles. Dans l'histoire de la culture, Galilée est le symbole de la bataille livrée contre les autorités pour la liberté de la recherche. Galileo Galilei est né à Pise le 15 février 1564, dans une famille modeste issue d’une ancienne noblesse florentine dont les ressources avaient subi de sérieux revers. Ses parents lui léguèrent une vigoureuse constitution, que souligne l’aspect « carré » de son corps tel que l’ont

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existe une concurrence féconde entre sculpture et peinture (la sculpture donne aux peintres l’envie de rendre le volume, les formes réelles). LA SCULPTURE AUX 13ème ET 14ème SIECLES _ Nicolas PISANO (1220-1280) : _il sculpte la chaire du baptistère de Pise et ces reliefs évoquent les sarcophages antiques par la composition et les proportions des personnages : la composition est calme et ordonnée ; c’est le 1er retour vers l’antique. Cependant les plis des drapés sont très dessinés, cassants, encore

enveloppes des monuments qui étaient érigés jadis sur le site de Cemenelum et dont les reconstitutions et les restitutions sont présentées dans l'exposition. Les plus importants sont les thermes (du Nord, de l'Est et de l'Ouest), la cathédrale et son baptistère, le quartier d'habitation et la schola (cf. annexe Il). En ce qui concerne l'enveloppe architecturale du musée, elle présente des volumes variés, notamment du côté des vestiges. La façade sud-est comporte des ouvertures discrètes pennettant,

Maria del Fiore on avait l’impression d’avancer dans un nuage de brume. Même le campanile s’était comme affaissé et son revêtement de marbre vert et rose ne reflétait plus qu’une teinte unique, brouillée de soleil. Agenouillé devant la porte du baptistère San Giovanni, Lorenzo Ghiberti, le front luisant de sueur, finit d’apposer une ultime feuille d’or sur le profil de Caïn. 6/649 Malgré son âge, soixante-trois ans, aucune faiblesse n’affectait le mouvement de sa main. Le geste était aussi maîtrisé