Baptistère de Pise

pour l’empereur. 2. On reproche aux chrétiens de ne pas sacrifier au culte impérial. Doc. 6 : Un baptistère à Apollonia (Libye) Apollonia en Cyrénaïque est le port de la grande colonie grecque de Cyrène. Les fouilles archéologiques ont permis de dégager trois basiliques paléochrétiennes. Le baptistère de la basilique la plus à l’est sur le site archéologique se présente, comme tous les autres baptistères de l’époque sous la forme d’une cuve dans laquelle le chrétien descend grâce à quelques marches

elle un condottiere redoutable, alors au service de Venise, Robert de San Séverino. La médiation du marquis de Mantoue, en février 1477, retarde la crise, et, quelques mois plus tard, les trois conjurés sont contraints de s’exiler. Mais aussitôt, de Pise, Ludovic, le plus actif des trois frères, invite les Génois à se soulever, et déchaîne effectivement dans leur cité la guerre civile ; par d’alléchantes promesses, il obtient l’appui de Louis XI ; enfin, le 7 septembre 1479, il entre triomphalement

moment-ci les échanges entre les trois arts augmentent. Florence se différencie donc par son style antiquisant dans une Europe gothique. L'exemple serait Le palais des Médicis. -Le concours de 1401 : En 1401 à lieu à Florence pour la rénovation du Baptistère San Giovani le premier concours artistique public des temps modernes. C'est le sacrifice d'Isaac de Ghiberti qui fut choisit. Mélange entre Antique grâce à la présence d'Hercule et Moderne avec le manteau d'Abraham. -La porte du paradis : commandé

travers l'histoire de l'art, et cueillant des exemples d'époque en époque, il remonta jusqu'aux premiers maîtres italiens, peintres et sculpteurs en même temps, Nicolas et Jean de Pise, Donatello, Lorenzo Ghiberti. Il indiqua des opinions curieuses de Diderot sur le même sujet, et, pour conclure, cita les portes du Baptistère de Saint-Jean de Florence, par Ghiberti, bas-reliefs si vivants et dramatiques qu'ils ont plutôt l'air de toiles peintes. De ses lourdes mains agitées devant lui comme si elles

travers l’histoire de l’art, et cueillant des exemples d’époque en époque, il remonta jusqu’aux premiers maîtres italiens, peintres et sculpteurs en même temps, Nicolas et Jean de Pise, Donatello, Lorenzo Ghiberti. Il indiqua des opinions curieuses de Diderot sur le même sujet, et, pour conclure, cita les portes du Baptistère de Saint-Jean de Florence, par Ghiberti, bas-reliefs si vivants et dramatiques qu’ils ont plutôt l’air de toiles peintes. De ses lourdes mains agitées devant lui comme si elles

l’histoire de l’art, et cueillant des exemples d’époque en époque, il remonta jusqu’aux premiers maîtres italiens, peintres et sculpteurs en même temps, Nicolas et Jean de 259 Pise, Donatello, Lorenzo Ghiberti. Il indiqua des opinions curieuses de Diderot sur le même sujet, et, pour conclure, cita les portes du Baptistère de Saint-Jean de Florence, par Ghiberti, bas-reliefs si vivants et dramatiques qu’ils ont plutôt l’air de toiles peintes. De ses lourdes mains agitées devant lui comme si

volés en 1204 à Byzance. Cette miniature illustre l’une des cent quarante-trois versions connues du Livre des merveilles de Marco Polo. Après un périple de vingt-quatre ans, c’est en prison en 1299 que Marco Polo a dicté son récit à Rusticello de Pise qui l’a rédigé en français. Ce texte intitulé originellement Le Devisement du monde est plus connu sous le nom de Livre des merveilles. Il relate l’expérience personnelle de Marco Polo enrichie de mythes et de légendes. Le document 5 présente des

sourire d’un tel présent. Cependant le choléra régnait alors dans la ville, et pour éviter les quarantaines, je me résolus à prendre la route de terre. Je vis Nice, Gênes et Florence ; j’admirai le Dôme et le Baptistère, les chefs-d’œuvre de Michel-Ange, la tour penchée et le Campo-Santo de Pise. Puis, prenant la route de Spolette, je m’arrêtai dix jours à Rome. Le dôme de SaintPierre, le Vatican, le Colisée m’apparurent ainsi qu’un rêve. Je me hâtai de prendre la poste pour Civita-Vecchia, où je devais

sourire d’un tel présent. Cependant le choléra régnait alors dans la ville, et pour éviter les quarantaines, je me résolus à prendre la route de terre. Je vis Nice, Gênes et Florence; j’admirai le Dôme et le Baptistère, les chefs-d’œuvre de Michel-Ange, la tour penchée et le Campo-Santo de Pise. Puis, prenant la route de Spolette, je m’arrêtai dix jours à Rome. Le dôme de Saint-Pierre, le Vatican, le Colisée m’apparurent ainsi qu’un rêve. Je me hâtai de prendre la poste pour Civita-Vecchia, où je devais

Champagne (Lagny, Provins, Bar et Troyes) soit à Francfort et Cologne pour ceux traversant le Grand Saint-Bernard et la vallée du Rhin. C’est autour de la Méditerranée que se trouvent les ports les plus importants de l’Occident : Venise, Gênes, Pise, Marseille, Barcelone. La Méditerranée est le carrefour entre l’Orient et l’Occident, un pont entre trois civilisations : l’Occident chrétien, Byzance et le monde musulman. Grâce à la Hanse, la Baltique est également devenue un espace d’échanges