Barbara Prévert

imaginaire.- Sombrero Productions, 1997.- 1 vidéocassette VHS, 73 mn : coul., SECAM, sonore. Suite de la notice 1/2 : Viens voir un univers dans un grain de sable (Blake), La mort viendra et elle aura tes yeux (Pavese), Renouveau (Mallarmé), Le cancre (Prévert), Le rhinocéros et le dromadaire (Claris de Florian), Agir, je viens (Michaux), Où l’on se représente la briéveté de ce que l’on vit (Gomez de Quevedo), La courbe de tes yeux (Eluard), Roman (Rimbaud), J’apparaîtrai quand tu seras toute triste (Brontë)

amoureux, il lui compose plusieurs poèmes en 1915. Il est blessé à la tête par un éclat d’obus en 1916. Le 9 novembre 1918, il meurt à 38 ans d’une grippe espagnole. Contemporains : Poètes : - Robert Desnos, Fortunes, 1942 - Jacques Prévert, Le cheval de Trois, 1946 - Claude Roy, Léone et les siens, 1963 - Andrée Chédid, Cavernes et soleil, 1979 Peintres : - Pablo Picasso, Le baiser - Juan Gris, La guitare Sculpteurs : - Salvador Dali, Le buste de

Biographie de Jacques Prévert : Jacques Prévert naquît le 4 février 1900 à Neuilly sur Seine, dans un milieu de petits bourgeois dont il ne cessera de se moquer plus tard. Très vite, il est passionné par la lecture ainsi que par le spectacle. Dès 1920, il rentre dans l’armée pour faire son service militaire. Il rentre à Paris en 1922 et s’installe Rue du Château d’Orléans, le futur point de rendez-vous du mouvement surréaliste. Toute sa vie, il défendra les faibles, les opprimés, les victimes

Le poète rend hommage à ces innocents qui ont combattu pour la liberté et pour que leurs idées soient reconnues en montrant leur supériorité par rapport aux allemands, notamment avec le vers « ils sont bien au dessus de tous ces hommes ». Jacques Prévert rappelle également le sort des condamnés dans son poème La complainte du fusillé tiré du recueil Fatras publié en 1966. Il interpelle le lecteur en jouant sur les mots, par exemple l'expression « tiré au mauvais sort par les pieds » est non-amusante

Corpus de poèmes engagés Victor Hugo, Bêtises de la guerre Jacques Prévert, Le temps des noyaux Jean Genet, Le condamné à mort Paul Eluard, Liberté   Victor Hugo, Bêtise de la guerreOuvrière sans yeux, Pénélope imbécile, Berceuse du chaos où le néant oscille,  Guerre, ô guerre occupée au choc des escadrons,  Toute pleine du bruit furieux des clairons,  Ô buveuse de sang, qui, farouche, flétrie,  Hideuse, entraîne l'homme en cette ivrognerie

* Jacques PREVERT, Paroles, 20e siècle « Pour toi mon amour » (p.46) Cela semble être un poème lyrique alors que non. Il y’a beaucoup d’anaphores. « L’acccent grave » (p.61) Allusions à Shakespeare. On distingue un jeu de mots sur « Etre où ne pas être ». où  pensée, imagination, rêve… « Pater Noster » (p.63) J.PREVERT ne supporte pas l’Eglise. Pour lui, on est responsable des évènements sur Terre et pas Dieu. « Le cancre » (p.68) C’est l’éloge d’un mauvais élève. « Chasse à l’enfant »

situer l’époque, aout 1934, le lieu qui est Belle-Ile -en- Mer, de voir les conditions d’internement des jeunes délinquants ainsi que le bref récit de leur évasion et de leur traque. Nous apprenons également des informations sur l’auteur, Jacques Prévert ,comme sa date de naissance et de mort (1900-1977) l’inspiration qu’il a eu pour écrire ce poème, qui est l’événement de la fuite des pensionnaires de Belle-ile-en-Mer, ainsi que le fait que ce soit un fait divers retentissant qui a amener a de vigoureuse

suivra plus tard des cours de mathématiques. Son parcours l’amène à côtoyer les membres du mouvement surréaliste, tels que Philippe Soupault ou Michel Leiris. En 1924, après avoir effectué son service militaire, il forme avec André Breton, Jacques Prévert, Yves Tanguy et Marcel Duhamel le groupe de la rue du Château. Il rédige ses premiers textes en compagnie de ses amis et participe à tous leurs travaux. Mais peu à peu, il réalise que les considérations surréalistes ne lui permettent pas d’approfondir

affaires Les affaires la guerre le tricot la guerre Les affaires les affaires et les affaires La vie avec le cimetière. Jacques Prévert, Paroles, 1945. La condamnation de la guerre. “Quelle connerie la guerre.”, écrit-il. La guerre n’apporte wue destruction et cruauté. Elle ne sert à rien puisque, quand elle est finie, tout recommence comme avant. Chez Prévert, la condamnation de la guerre va de pair avec l’exaltation de la liberté et de la vie représenté par les enfants, les amants, les animaux

Etude de paratextes 1.1. Dans le document 1/2, le paratexte est constitué de la courte biographie de Jacques Prévert, qui correspond à la deuxième moitié du texte. Dans le document 2/2, le paratexte nous apprend que l’auteur du texte est Jacques Prévert. Les autres informations sont le titre du poème, l’ouvrage d’où il est extrait (le recueil « Paroles »), la date à laquelle Jacques Prévert a écrit ce texte (1934) et le nom de Marianne Oswald, a qui est dédié ce poème. La lecture de ce poème nous