Barbare

Nous étudierons dans un premier temps l’étude de la narration et dans un deuxième temps l’étude de l’argumentation.    I. La narration a) Etude des personnages : Les Abenaki sont perçu comme des individus sauvage et barbares : ligne 1 et 2 : « sauvage Abenaki », ligne 4 «  barbare », ligne 8 « un vieux sauvage » Abenaki est agressif au début envers les anglais puisqu’il y a la guerre entre les anglais et les Abenakis. A la ligne 8 et 9, il s’en prend à un jeune officier anglais : « un vieux sauvages

exemples empruntés à la vie concrète pour permettre au lecteur de juger. •Souci de définition des termes : barbares, sauvages : le jugement est erroné parce que les conventions de vocabulaire et de lexique font perdre de vue les vraies valeurs. La relativité des opinions: La condamnation des opinions avec idée de la relativité introduite par la formule gnomique : vérité générale « chacun appelle barbare ce qui n’est pas de son usage ». / Scepticisme de Montaigne (impossible de parvenir à une vérité). /

ensemble de critères de comparaison communs, une échelle de comparaison commune à laquelle se rapporter. « En refusant l’humanité à ceux qui apparaîssent comme les plus sauvages ou barbares de ses représentants on ne fait que leur emprunter une de leurs attitudes typiques.Le barbare, c’est d’abord l’homme qui croit à la barbarie ». =>se cultiver, c’est avant tout réaliser sa propre humanité, c’est-à-dire dépasser cette définition de l’humanité socialement conditionnée par le groupe

Montaigne : Les Européens ne st pst s des savants, ils tuent autrui avc de la barbarie, des armes et des colonisateurs. La violence est le propre de l’être humain. Les Européens sont + barbares que les Tupis car ils font souffrir leurs victimes, à l’inverse des sauvages. Phrases, expressions-clés à retenir : Anthropophage, Barbare, Corruption « Tout cela ne va pas trop mal : mais quoi, ils ne portent pas de culotte ! » Objet d’étude 1 : La question de l’Homme dans les genres de l’argumentation Pantagruel

notion d'humanité n'est apparue de tardivement et souvent limitée à la tribu ou au clan. Cela conduit donc à un paradoxe : en refusant l'humanité à ceux qui apparaissent comme les "plus sauvages" ou "barbares" de ses représentants, on ne fait que leur emprunter une de leur attitude typique". "Le barbare, c'est celui qui croit à la barbarie". (3) Il critique ensuite ce qu'il nomme le "faux évolutionnisme" qu'on trouve dans tout discours sur les races et consistant en une "tentative pour supprimer la

la dépréciation des autres cultures. Or, on peut penser que ce rejet provient éventuellement de préjugés qu'ils soient raciaux ou moraux. Ainsi, les grecs excluaient les "barbares" (représentant les étrangers) puisqu'ils ne parlaient pas leur langue; ils supposaient de ce fait qu'ils n'étaient pas humains d'où la notion de "barbare" ou même sauvage! L'on peut ainsi dire que els préjugés partent d'une certaine supposition et qu'elle s'étend. 2ème partie Tout le contraire du préjugé, la preuve

présence, il existe une évolution  notable et même essentielle dans l’attitude des Barbares depuis la fin de l’Empire romain au Vème siècle. En 410, Alaric, roi des Wisigoths, met Rome à sac et s’y affiche en vainqueur. Cinq cents ans plus tard, c’est Charlemagne, roi des Francs qui entre dans Rome accueilli par le pape pour y être couronné empereur. Ainsi peut-on s’interroger sur les causes de ce renversement, le Barbare germanique, considéré comme un envahisseur destructeur devenant  restaurateur de

nous donne les indices de son désaccord : « les voilà à se rallier et se recoudre ensemble » -> il introduit l'idée de répétition. Ils se ressemblent quasiment, identiques. « Condamner tant de mœurs », « barbares » - on note la répétition du mot barbare. Un parallélisme de construction « barbare et non française », « encore sont-ce les plus habiles ». Cela signifie que Montaigne distingue deux catégories : - Regarder comment ils s'habillent - Ne remarquent pas la différence On a le comble de

l’idée de l’attachement à la terre. I.P 3 : Les personnages considère leur pays mieux et plus agréable à y demeurer que les autres. I.S 3.1 : Texte Maria Chapdelaine : « Autour de nous, des étrangers sont venus, qu’il nous plaît d’appeler des barbares […] » I.S 3.2 : Texte Trente arpents : « […] pouvaient-ils consentir à vivre dans ce pays qui n’était pas le leur, où tout leur était hostile […] » Clôture

anaphores ex : (v33) craignez. Et de l’impératif (v63). Le discours est polémique puisqu’il s’adresse au romain, ceci sont décris avec un champ lexical péjoratif (violence, avidité(désir).. La ville de Rome est décrite comme barbare alors qu’elle est censé être le symbole d’une civilisation ;un jeu d’antithèse et de l’ironie sont utilisé pour cette description. CCL : Le but du texte est d’inverser les relations et d’exprimer le barbarie romaine. C’est à dire l’inhumanité des