Barbe

Thénardier, Victor Hugo décrit une femme avec de nombreux traits masculins. Il emploi de nombreux adjectifs péjoratifs pour mettre en évidence un portrait négatif. Celle-ci est décrite comme le portrait d’un homme avec les citations « Elle avait de la barbe » ou encore « Elle jurait splendidement ». On peut également voir que Victor Hugo montre de Madame Thénardier, une femme qui se sent supérieur au reste du monde. Malgré son portait masculin elle est représenté comme la maitresse de maison : elle travaille

soient velus ni couverts de leurs poils, qu’au contraire, n’étant point naturellement plus pelus que nous sommes en ces pays par deçà, encore si tôt que le poil qui croît sur eux, commence à poindre et à sortir de quelque partie que ce soit, voire la barbe et jusques aux paupières et sourcils des yeux (ce qui leur rend la vue louche, bicle, égarée et farouche) ou il est arraché avec les ongles, ou depuis que les chrétiens y fréquentent avec des pincettes qu’ils leur donnent : ce qu’on a aussi écrit que

avaient la figure dans la boue, ou bien ils émergeaient des trous, paisibles, les mains posées sur le rebord, la tête couchée sur le bras. Les rats venaient les renifler. Ils sautaient d'un mort à l'autre. Ils choisissaient d'abord les jeunes sans barbe sur les joues. Ils reniflaient la joue puis ils se mettaient en boule et ils commençaient à manger cette chair d'entre le nez et la bouche, puis le bord des lèvres, puis la pomme verte de la joue. De temps en temps ils se passaient la patte dans les

a la belle dame hautaine et fait se retourner la fille en bonnet qui porte un panier par les rues. Le charme langoureux de cet œil faisait croire à la profondeur de la pensée et donnait de l’importance aux moindres paroles. La barbe drue, luisante et fine, cachait une mâchoire un peu trop forte. On se sépara après beaucoup de compliments. M. de Lamare, deux jours après, fit sa première visite. Il arriva comme on essayait un banc rustique posé le

détacher ces deux bosses bandées que sont le dos et le crâne de Joseph. Son visage est très curieux et très beau : le front haut et proéminent, les yeux enchâssés, encerclés par mille petites rides, la barbe légère, traitée comme un nuage de poussière brune, la bouche inexistante, cachée sous cette barbe. Le bras gauche de Joseph est géométrique, traité comme un hexagone; trois faces sont apparentes : l'une dans l'ombre, la seconde faisant transition, et la troisième dans la lumière, en pleine clarté

Le mariage, Agnès, n'est pas un badinage: A d'austères devoirs le rang de femme engage; Et vous n'y montez pas, à ce que je prétends, Pour être libertine et prendre du bon temps. Votre sexe n'est là que pour la dépendance: Du côté de la barbe est la toute-puissance. Bien qu'on soit deux moitiés de la société, Ces deux moitiés pourtant n'ont point d'égalité; L'une est moitié suprême, et l'autre subalterne; L'une en tout est soumise à l'autre, qui gouverne; Et ce que le soldat, dans son devoir

ni couverts de leurs poils, qu’au contraire, n’étant point naturellement plus pelus que nous sommes en ce pays par deçà, encore si tôt que le poil qui croit sur eux, commence à poindre et à sortir de quelque partie que ce soit, voire jusqu’ à la barbe et aux paupières et sourcils des yeux (ce qui leur rend la vue louche, bigle, égarée et farouche), ou il est arraché avec les ongles, ou depuis que les Chrétiens y fréquentent, avec des pincettes qu’ils leur donnent : ce qu’on a aussi écrit que

torture qu'aux esclaves, mais les esclaves n'étaient pas comptés pour des hommes. Il n'y a pas d'apparence non plus qu'un conseiller de la Tournelle regarde comme un de ses semblables un homme qu'on lui amène hâve, pâle, défait, les yeux mornes, la barbe longue et sale, couvert de la vermine dont il a été rongé dans un cachot. Il se donne le plaisir de l'appliquer à la grande et à la petite torture, en présence d'un chirurgien qui lui tâte le pouls, jusqu'à ce qu'il soit en danger de mort, après quoi

Agnès, n'est pas un badinage: A d'austères devoirs le rang de femme engage; Et vous n'y montez pas, à ce que je prétends, Pour être libertine et prendre du bon temps. Votre sexe n'est là que pour la dépendance: Du côté de la barbe est la toute-puissance. Bien qu'on soit deux moitiés de la société, Ces deux moitiés pourtant n'ont point d'égalité; L'une est moitié suprême, et l'autre subalterne; L'une en tout est soumise à l'autre, qui gouverne; Et ce

le Pur sang, car ce sont des chevaux moins robustes que d'autres pour vivre dans ces conditions. Le climat ne leur est pas favorable. Un bon cheval adapté à St-Pons, c'est le cheval de trait, des merens ou des poneys paddock par exemple. Le cheval barbe peut vivre ici également, mais ce ne sera pas votre meilleur choix ! PS : A tous les habitants de St-Pons-de-Thomières aimant les chevaux et voulant faire des ballades dans un cadre magnifique (montagne, rivière, piste verte...), avec un multiple