Barbe

| | | 7- Je peux résumer l'histoire sans aucun mot superflu. a. « Sa barbe poussait très drue, l'obligeant à se raser deux fois par jour s'il ne voulait pas, le soir, avoir le menton bleu. Au réveil, il expédiait la tâche face au miroir du lavabo, avant de prendre sa douche, et ce n'était qu'une suite de gestes machinaux

| |Rouru firi / ‘ofirifiri |Cheveux frisés | |‘omi’omi’o |Cheveux bouclés | |‘umi’umi ta’a |La barbe | |‘umi’umi ‘utu |La moustache | |pauutuutu |Costaud | L’expression

raides/frisés/bouclés/ondulés Il/elle a les cheveux / Ses cheveux sont longs/courts On parle des yeux: Il/elle a les yeux/ Ses yeux sont grands/petits Il/elle a les yeux/ Ses yeux sont noirs/marron/gris/verts/bleus On parle des traits particuliers: Il/elle a la barbe, une moustache, un grain de beauté, des taches de rousseur... * On parle de son caractère: Il/ elle est sympathique, antipathique/ heureux, heureuse/ méchant, méchante... * On décrit ses vêtements: Il/elle porte un pantalon noir, une jupe jaune

change les hommes aussi. Avant les hommes ne prenait pas vraiment soin d’eux il n’avait pas de produit pour eux à l’heure d’aujourd’hui les hommes ont autant de produit cosmétiques que les femmes. La beauté masculine n’est plus à la virilité, dixit la barbe les poils et la sueur aujourd’hui un homme se doit d’être parfumé coiffé et dans certains cas maquillé. Les hommes prennent soin d’eux au même titre que les femmes. Patrice Maniglier dans utopies post sexuelles nous informe d’un nouveau genre les «

d'elle, trop occupés par leurs activités. Ils sont à la pointe de la mode, ils sont ridicules aux yeux de Stéphanie. Mamo, sa première nounou, vielle paysanne Normande, "en sabot et dans un peignoir vert", peu bavarde, avec de la "moustache et de la barbe sur la figure". Elle est très occupée à soigner ses vaches. IV – RESUME Stéphanie, jeune adolescente qui 'a pas encore 14 ans, est très préoccupée par sa puberté. Elle est mal dans sa peau car elle ne sait pas où se placer, elle n'est plus

avait un air timide et semblait contrarié. Il avait un visage corpulent et mélancolique, ses cheveux étaient bruns, longs et ébouriffés, il portait un regard soucieux autour de lui, comme s'il se méfiait des hommes et des femmes. Il avait une longue barbe et une moustache claire, qui donnait à son visage une touche de douceur. Il regardait fixement Georges Duroy qui était à 2 rangs devant lui. Il le dévisageait de plus en plus. Jules Guesde était très jaloux de Georges. Il était éperdument amoureux

tournure absolue : »il ne s'attache à aucun des mets »(l.4)  « capable d’ôter l’appétit aux plus affames »(l.8)=>saleté du perso:précision technique : »ne se sert à table que de ses mains »(l.4)  « le jus et les sauces lui dégouttent du menton et de la barbe »(l.8) double rythme bineaire: exprime la meme chose + jeu de mots entre dégoutter et adj dégoûtant suggéré par proximité de ces 2 termes dans le txt qui suggère au lecteur la scène décrite comme dégoûtantes. Animalisation de G:ecoeurement du lecteur

alimente le comique de la scène. Enfin, le comique de la scène repose aussi sur la situation dans laquelle sont placés les personnages. En effet, le destin leur a tous joué un mauvais tour et ce destin porte le nom de Figaro. Le barbier a fait la barbe au médecin et à ses valets. Le rusé a dupé tout le monde sans que ceux-ci ne puissent s’opposer à lui. Figaro a administré un sternutatoire à La Jeunesse et un somnifère à L’Eveillé, diminuant ainsi la vigilance des valets que Bartholo avait chargé

la sereine lueur, Et murmurent tout bas : C'est lui ! c'est le rêveur ! » Leurs  ‘têtes’ et leurs ‘barbes’ sont un élément que les permet de se devenir plus humaine. Elles sont aussi des symboles de la sagesse, la tète les permet de penser et la barbe démontre l’expérience. L’avant dernier ligne ensemble avec la dernier ligne les donne une capacité de ’contempler’ (avec leur tètes) et de parler, comme les humaines pour avoir un conversation. Tout le fait de décrive et de personnifier les fleurs

j’ai eu soif, et j’ai bu quelquefois. Cependant la barbe me venait ; et quand elle a été venue, je l’ai fait raser. 12 MOI Vous avez mal fait. C’est la seule chose qui vous manque, pour être un sage LUI Oui-da. J’ai le front grand et ridé ; l’oeil ardent ; le nez saillant ; les joues larges ; le sourcil noir et fourni ; la bouche bien fendue ; la lèvre rebordée ; et la face carrée. Si ce vaste menton était couvert d’une longue barbe, savezvous que cela figurerait très bien en bronze