Barbouze Un Parfum De Chez Fior

donc déjà porter à confusion. Dans la première scène où il apparaît, il semble être un personnage assez paradoxal et ambivalent car malgré ses allures « d’armoire à glace » il est très distingué, indigné par l’odeur de la gare, vente son parfum « Barbouze de chez Fior », rechigne à employer la violence et s’exprime dans un langage assez soutenu. On le voit plus tard dans le roman et encore plus dans le film adopter des attitudes très féminines malgré qu’il garde un côté peut-être factice devant Zazie

gosse se marre. Gabriel, souriant poliment, la prend dans ses bras, il la transporte au niveau de ses lèvres, il l’embrasse, elle l’embrasse, il la redescend. ─ Tu sens rien bon, dit l’enfant. ─ Barbouze de chez Fior, explique le colosse. ─ Tu m’en mettras derrière les oreilles ? ─ C’est un parfum d’homme. ─ Tu vois l’objet dit Jeanne Lalochère s’amenant enfin. Tas bien voulu t’en charger, eh bien, le voilà. ─ Ça ira dit Gabriel. ─ Je peux te faire confiance ? Tu comprends, je ne veux pas

- six heures soixante au lieu de sept heures - fait sourire. De plus, cet horaire semble compris par Gabriel qui ne relève pas et enchaîne avec « -Côté départ, dit Gabriel. ». Ensuite, le parfum de Gabriel : « Barbouze de chez Fior » fait référence à l'expression commune souvent utilisée pour désigner un parfum. Enfin, dans les propos vulgaires de Zazie : « -Et puis faut se grouiller : Charles attend. », où l'on entend phonétiquement « charlatan », fait sourire, d'autant plus que Zazie ajoute : «

adultes. La Veuve Mouaque est décrite comme « vieille » et « moche », Marceline est « élégante et bien roulée », Gabriel est présenté dans un premier temps comme un « colosse », un « malabar » bien que distingué et coquet du fait de son parfum « Barbouze de chez Fior », parfum pour homme et non pour enfant. Pédro-surplus exhibe «  de grosses bacchantes noires », « un melon » et « de larges tatanes noires », autant d’accessoires qui semblent matérialiser la virilité. Toutefois, ces indices sont véritablement

voix. Elle pensait pas à elle en disant ça, elle était pas égoïste, elle voulait parler du parfum qui émanait de ce meussieu. "Ça, ptite mère, répondit Gabriel qui avait de la vitesse dans la repartie, c'est Barbouze, un parfum de chez Fior. – Ça devrait pas être permis d'empester le monde comme ça, continua la rombière sûre de son bon droit. – Si je comprends bien, ptite mère, tu crois que ton parfum naturel fait la pige à celui des rosiers. Eh bien, tu te trompes, ptite mère, tu te trompes

haute voix. Elle pensait pas à elle en disant ça, elle était pas égoïste, elle voulait parler du parfum qui émanait de ce meussieu. « Ça, ptite mère, répondit Gabriel qui avait de la vitesse dans la repartie, c'est Barbouze, un parfum de chez Fior. – Ça devrait pas être permis d'empester le monde comme ça, continua la rombière sûre de son bon droit. – Si je comprends bien, ptite mère, tu crois que ton parfum naturel fait la pige à celui des rosiers. Eh bien, tu te trompes, ptite mère, tu te trompes.

dans le métro (Texte intégral ?) Le plus burlesque et le plus célèbre roman de Raymond Queneau, publié en 1959, et qui valut à son auteur le surnom de « Père de Zazie ». L’action se déroule à Paris, sur 48 h, lors d’une grève de métro. En visite chez son oncle Gabriel, Zazie, jeune adolescente délurée et espiègle, et qui, pour n’avoir pas encore été socialisée, n’est guère embarrassée par les règles morales, se voit contrainte – grève oblige – de parcourir Paris à pied et en taxi. Cheminant d’un

voix. Elle pensait pas à elle en disant ça, elle était pas égoïste, elle voulait parler du parfum qui émanait de ce meussieu. — Ça, ptite mère, répondit Gabriel qui avait de la vitesse dans la repartie, c’est Barbouze, un parfum de chez Fior. — Ça devrait pas être permis d’empester le monde comme ça, continua la rombière sûre de son bon droit. — Si je comprends bien, ptite mère, tu crois que ton parfum naturel fait la pige à celui des rosiers. Eh bien, tu te trompes, ptite mère, tu te trompes

est horrifié à l’idée Chapitre IV = chapitre II : ajout de la scène de l’arrivée de Zazie. Souper avec Gabriel des travaux du bar ; omission des « refrains et Marceline ; projets d’avenir de Zazie ; obscènes » chantés par Gabriel. Turandot monte chez Gabriel et fait une scène, réveillant Zazie. Chapitre III : Zazie se lève et sort dans la rue ; Turandot tente de la rattraper, elle s’enfuit ; scène de foule, où Turandot passe pour un satyre. Peur rétrospective de Turandot ; dialogue entre