Barbusse Le Feu

La guerre en accusation Documents A – Henri Barbusse, Le Feu, 1916. B – Jean Giono, Refus d’obéissance, 1937. C – Pablo Picasso, Massacre en Corée, 1951. D – Jean Rouaud, Les Champs d’honneur, 1990. E – Louis Calaferte, C’est la guerre, 1993. m Vous répondrez d’abord aux deux questions suivantes. ■ Questions (6 points) 1. D’après l’ensemble du corpus, quels effets négatifs la guerre produit- elle sur les êtres humains ? (4 points) 2. Pour quelles raisons le présent de l’indicatif est-il

Aujourd'hui les écrits de la première guerre mondiale nous ont permis de comprendre ce qu'il s'est passé, la vie dans les tranchées, les combats au front et d'autres réponses aux questions que l'on pourrait se poser. Dans le livre d'Henri Barbusse « le feu », l'auteur nous donne une bonne image de la vie au front avec précision, lui-même y ayant participé, donne à son œuvre encore plus de vérité.

toi mon œuvre et que j'aime, A jamais j'allumai le feu de ton regard") ou il entretient une correspondance avec une jeune femme du nom de Lou après qu'il soit parti a la guerre. Dans son œuvre, il exprime son amour éperdu pour cette femme, il communique son sentiment a travers ses poèmes, c'est sa raison d'écrire. On écrit aussi pour communiquer une sensation comme l'horreur de la guerre par exemple avec le roman d'Henri Barbusse Le feu ou il décrit l'atrocité et l'affreuseté de la guerre.

transforme. On assiste à la naissance d’une langue des tranchées, âpre synthèse des différents parlers populaires alors en vigueur dont les écrivains-combattants tenteront ensuite de rendre compte. Composée d’une douzaine d’hommes, l’escouade décrite par Barbusse dans son roman devient la cellule de base de la vie quotidienne. Un retour à la religion se manifeste chez certains. Henri Ghéon a raconté son retour à la foi dans L’homme né de la guerre, témoignage d’un converti (1915)

seuils conventionnels de violence. II – vers une brutalisation des sociétés en guerre A – la violence au front B – la violence à l’arrière et sur l’arrière C – le premier génocide de l’histoire I. La violence des combats A. Une puissance de feu jamais atteinte auparavant (mortiers, obusnombreux et long bombardements : 60millions d’obus à Verdun entre fév. et juin 1916, fusils et mitraillettes) B. Des assauts inefficaces et meurtriers (inefficace car tranchées protègent : description, meurtriers

assaut décisif. Il y a aussi Jules , qui part en permission au début du récit .Ses compagnons de tranchée , Marius ,Ripoll ,Barboni , M'Bossolo l'Africain , tous affrontent ce déchaînement , ce déluge de feu , ce prélude à l'effondrement d'une certaine conception du monde .On pense à Henri Barbusse, à Roland Dorgelès ,à Erich-Maria Remarque, auteurs majeurs dans la restitution du traumatisme de la première guerre mondiale . Laurent Gaudé est né en 1972, et n'a donc pas connu cette période .Il l'évoque

de + en + perfectionné. Importance des maisons d'édition, des prix littéraires, de la presse + les écrivains prêtent plumes aux jnx + gds tirages. Ex 1 : Goncourt décerné en 1903 pr la 1ere fois / Le fémina en 1904 Ex 2 : Le Feu d'Henri BARBUSSE paraît en 1906 dans les colonnes du Matin . Certains romanciers se mêlent aux milieux mondains ds salons où jouent gd rôle . Salons de Mme Arman de Callavet , Mme de Strauss sont célèbres. Mécènes comme Noailles, Blanche de Polignac

donc causer de glissements de terrain qui engloutissent les soldats. Beaucoup de soldats sont morts à cause de l'explosion d'un obus : effet de souffle, ou soldat frappé un éclat de métal,leurs violence est démontré dans la photographie « Le Feu »de Henri Barbusse en 1918 ou suite a une percée du front par les allemands un obus a éclaté en Oise . Ainsi, les soldats, avant chaque assaut avaient peur, peur de la mort anonyme : de mourir seul, éloignés de leur famille, tués par l'éclat d'un obus lancé

Sujet II : commentaire littéraire Henri Barbusse, Le Feu (1916) I- Questions d'observation 1) Le pronom « on » ici désigne l'ensemble des hommes présents sur le champ de bataille : indistinctement les alliés et les ennemis du camp du narrateur. Le « on ne tire pas » signifie « personne ne tire ». Dans l'expression « on ira voir » le on désigne les hommes du groupe auquel appartient le narrateur. 2) Les négations sont nombreuses dans le texte : « pas un bruit, on ne tire

Serbie Italie Roumanie + Portugal Grèce + États Unis 6-13sept. La bataille de la Marne (4ans) 22 avr. 1915 Première utilisation de l'arme chimique 21fev. Bataille de Verdun 18 Déc. 1916 15 déc. 1916 Henri Barbusse reçoit le prix Goncourt pour le Feu 2 avr. 1917 Entrée en guerre des États Unis 17 avr. 1917 Première mutineries collectives dans l'armée française 8 janv. 1918 14points du président Wilson Mars-juillet 1918 Dernière offensive allemande 11