Barbusse Le Feu

littéraire. Céline lui-même, bien que partagé entre le désir de se faire passer pour un novateur absolu et celui d'intégrer le cercle fermé du monde littéraire, admit à plusieurs reprises avoir lu des œuvres d'auteurs antérieurs tel que Freud ou Barbusse. L'allusion à un auteur contemporain contribuait à inscrire l'inspiration de Céline dans la série littéraire à laquelle appartenait son œuvre. Ces influences existent, les lecteurs de 1932 ont pu, par exemple, déceler une réminiscence du Candide

réaliste par la violence Un point de vue interne : le regard de Fabrice A. Les perceptions B. Réactions et sentiments du personnage Les regards sur Fabrice A. Le regard des personnages B. Le regard du narrateur LA n°7 : Henri Barbusse « Le Feu » Cet extrait nous immerge en plein champs de bataille A. Le lecteur assiste au combat, il est emporté par le mouvement → immersion B. La réalité du terrain C. La fraternité entre soldats Un univers dantesque/apocalyptique

tout de même mieux aménagées que ses voisines françaises. Au niveau de l’organisation, il y avait trois types de tranchées différentes pour permettre aux soldats de se protéger. Une première ligne, la plus proche des ennemis, a pour fonction de faire feu et repousser l’ennemi. La deuxième ligne, située 100 mètres derrière, sert de base pour une éventuelle contre-attaque et propose des abris, quelques soins, etc... La troisième ligne plus loin derrière permettait essentiellement de stocker les ressources

Synon. cossard (pop.), fainéant.Est-ce que vous croyez que le linge se repasse tout seul?... En voilà des flemmes!... Houp! à l'ouvrage! (Zola, Assommoir,1877, p. 550).C'était un bonhomme comme nous, ni plus, ni moins − un peu flemme, c'est tout (Barbusse, Feu,1916, p. 144).Allons, quoi! grande flemme lève-toi (Genevoix, Nuits de guerre,1917, p. 34). REM. Flémingite, subst. fém.,pop. Accès de flemme, forte paresse. Flémingite aiguë. Tu vas pas voir des choses extraordinaires parce que j'ai la flémingite

Consultation (1928) Les Thibault : La Sorellina (1928) Les Thibault : La Mort du père (1929) Vieille France (1933) Les Thibault : l'Été 1914 (1936) Les Thibault : l'Épilogue (1940) Le Lieutenant-colonel de Maumort (1983) 2. Henri Barbusse a écrit « Le Feu » Joseph Kessel a écrit « L’équipage » Maurice Genevoix a écrit « Ceux de 14 » Erich Maria Remarque a écrit « A l’ouest rien de nouveau » Roland Dorgelès a écrit « Les croix de bois »  Ernst Jünger a écrit « Orage d’acier » Jean Giono

environnement quotidien des soldats de la guerre de 14-18. Le rouge est utilisé pour représenter tour à tour le ciel tourmenté sous lequel les soldats partent au front (panneau de gauche), l’amas de viscères ensanglanté (panneau central) et le feu du champ de bataille (panneau de droite). L’artiste a choisi le rouge certainement parce que c’est une couleur organique (celle du sang) mais aussi pour sa valeur symbolique ; Dans beaucoup de cultures le rouge symbolise l'excès de violence

1862 2. Réalisme / Naturalisme Maupassant, Bel Ami, 1885 Balzac, La Comédie Humaine Zola, Les Rougons-Macquart E. 20ème siècle 1. Dadaïsme / Surréalisme Otto Dix, Rue de Prague, 1920 Paul Eluard, Liberté, 1942 André Breton 2. Engagé Henry Barbusse, Le Feu, 1916 Erich Maria Remarque, A l’Ouest rien de nouveau, 1929 Picasso, Guernica, 1937 Jean Anouilh, Antigone, 1940 Charlie Chaplin, Le Dictateur, 1940 Jean Paul Sartre, Les Mains sales, 1948 Albert Camus, Les Justes, 1949 Boris Vian, Le déserteur

mais aussi les charniers de la Première Guerre Mondiale : les soldats sont unis dans la mort comme dans le combat et anonymes. Couleurs : Ce sont principalement des nuances : - De rouge : Elles sont utilisées pour le ciel, les entrailles et le feu. Le rouge symbolise le sang, la violence et la guerre. - De brun : C’est la couleur principale. C’est le brun de la boue. Il fait allusion au manque d’hygiène des poilus dans les tranchées Lumière : La principale touche de lumière se trouve sur

l'horreur de la guerre, les massacres, la barbarie qu'il a vu dans cet enfer, sur le front où il perd son meilleur ami et de nombreux de ses camarades qui avaient combattu à ses côtés. A l’inverse d’Henri Barbusse, a recours à un témoignage immédiat puisque blessé en 1915, il publie en 1916, son livre Le feu. Nous nous demanderons dès lors, Comment Giono, soldat de 2ème classe dès 1915, tente-t-il, à travers son œuvre Le grand troupeau écrit en 1931 de communiquer son expérience et son dégoût de la guerre 

combattants. Roland Dorgelès meurt en 1973. Henri Barbusse est né le 17 mai 1873 à Asnières-Sur-Seine, en France, et mort le 30 août 1935à Moscou, en Russie. Il était écrivain. Henri Barbusse vient d'une famille protestante et il apprend la littérature et l'écriture très jeune, et il passe des concours où il est reconnu. En 1914, Henri s'engage volontairement dans l'armée à 41 ans et va au front. Pendant la guerre, il écrit un livre nommée « Le Feu » qui sera récompensé par le prix Goncourt. Après