Baril

s’est constitué le pétrole. II. Consommation mondiale et nationale du pétrole 1) Production mondiale La consommation de pétrole est comptabilisée en millions de barils par jour. Un baril vaut à peu près 159 litres La production mondiale en 2006 a été de 84,6 millions de barils par jour et de 87,4 millions de barils par jour. Donc environ 13 451 millions de litres par jour et 4 910 milliards de litres par an en 2006 et environ 13 897 millions de litres par jour et 5 072 milliards de litres

fait essentiellement dans les pays les moins industrialisés). La demande de pétrole diminue lorsque le prix du baril augmente car les populations, notamment en Europe trouvent des moyens de substitution comme le covoiturage, les transports en commun etc.. Cependant pour équilibrer les choses, les pays de l'OPEP ont mis en place un principe de quotta qui permet de faire monter le prix du baril et donc de lutter contre un dollar faible. pour « contrer » cette inflation. La hausse du prix

20 dollars le baril, cela n'a pas de sens pour les compagnies pétrolières de chercher à extraire du pétrole avec un coût d'extraction de 25 dollars le baril, même si les quantités qu'elles pourraient ainsi extraire sont potentiellement très importantes. Si le baril passe à 60 dollars (ce n'est pas encore le cas ! mais tant que notre civilisation est massivement dépendante du pétrole, il n'est que d'attendre...) alors les gisements où le coût d'extraction est de 25 dollars le baril vont rentrer dans

de pétrole on peut citer les pays telles que 1 L’Arabie Saoudite : 11 750 000 barils/jour 2Les États-Unis : 11 110 000 barils/jour 3La Russie : 10 440 000 barils/jour 44. La Chine : 4 197 000 barils/jour 5. Le Canada : 3 856 000 barils/jour 6L’Iran : 3 594 000 barils/jour 7 Les Émirats arabes unis : 3 213 000 barils/jour 8 L’Irak : 2 986 000 barils/jour 9 Le Mexique : 2 936 000 barils/jour 10 Le Koweït : 2 796 000 barils/jour LE FER Conditions climatiques [ Le climat équatorial est un type

c'est-à-dire des millions de barils de pétrole . * On remarque depuis le début des années 70 , des fluctuation très forte du prix du baril sur le marché du pétrole avec une tendance à l’augmentation . En 1973-1974 le prix du baril est multiplié par 4 après une très longue période de stabilité (Origine : La guerre Kippour entre Israël & les pays arabes) , c’est le premier choc pétrolier . Il sera suivi d’un 2e choc en 1979 (Révolution Iranienne) , le prix du baril double . Au total sur la décennie

croissance de l’économie française. En effet, le taux de change élevé de l’euro par rapport au dollar peut diminué le coût réel du baril du pétrole et des importations pour les pays de la zone euro. De plus, posséder une monnaie robuste, combinée à un taux d’intérêt inférieur dans la zone euro à celui de la zone en dollar favorise les investissements étrangers. Le prix du baril de pétrole occupe une place importante aujourd’hui dans les médias. En effet, on accorde une importance grandissante aux

rendre jeudi 21 septembre 2006 Exercice 1 Une lessive est vendue habituellement, dans les magasins A et B, par barils de 5 kg, au prix de 9,90€ le baril. 1° On suppose que cette lessive est en promotion dans ces deux magasins : a) Dans le magasin A, on fait une réduction de 10% sur le prix du baril. Dans le magasin B, on offre 10% de produit gratuit en plus pour l’achat d’un baril. Déterminer dans lequel des deux magasins il est le plus avantageux d’acheter cette lessive. b) Répondre à la même

........................... 34 © CCMP – 2008 – Industrie pétrolière – Edouard ETIENVRE et Frédéric PREVOT – EUROMED Marseille Spécimen auteur 2 On annonce le troisième choc pétrolier !... Alors qu’au début du mois de juillet 2008, le baril s’approchait de son record historique de 150 dollars, de nombreux analystes prédisaient un dépassement de la barre des 200 dollars, et les plus alarmistes parlaient de 300 dollars. Même les premiers signes d’une soudaine baisse au milieu du mois

Plate-forme offshore de British Petroleum, dans le Golfe du Mexique. [->6][->7] Pour l’Agence internationale de l’énergie (AIE), les réserves prouvées approchent les 1 200 milliards de barils, alors que pour l’ASPO (Association for the Study of Peak Oil) elles ne dépasseraient guère les 780 milliards de barils à l’échelle mondiale. Du coup, certains voient le peak oil en 2010, d’autres en 2030 et d’autres encore après 2050. À noter que l’estimation des réserves faites par les compagnies et les

milliards de barils, mais les plus importantes réserves connues de sable bitumineux, estimées fin 2008 à plus de 172 milliards de barils — l'étendue exacte des réserves prouvées du Venezuela est encore débattue. Si les quantités sont impressionnantes, la rentabilité économique de l'exploitation de ces gisements est en revanche sensiblement inférieure à celle des gisements de brut conventionnel du Moyen-Orient, avec des coûts d'exploitation de10 à 14 CAD par baril1 contre quelques USD par baril en Arabie