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développé par SUN. Chapitre 2 Commentaires, noms et constantes 2.1 les commentaires En C, il est possible d’insérer un commentaire partout où l’insertion d’un espace est possible. Un commentaire commence par une barre oblique suivie d’une étoile (/*), et se termine par une étoile suivie d’une barre oblique (*/). Tout ce qui est compris entre les deux est totalement ignoré par le compilateur. /∗ Ceci est un commentaire ∗/ /∗ En voici un autre qui s 'etend sur deux ... ... lignes ∗/ Attention : il n’est

François-Jean Lefebvre de La Barre Le chevalier François-Jean Lefebvre de La Barre, né le 12 septembre 1746 au château de Férolles-en-Brie et exécuté à Abbeville le 1er juillet 1766, est une victime de l’intolérance religieuse au siècle des Lumières dans une affaire où s’investiront les philosophes des Lumières au nom de la tolérance religieuse. La profanation de la statue du Christ : Vers l’âge de 16 ans, en 1762, le chevalier de La Barre et son frère Jean-Baptiste sont envoyés à Abbeville chez

L’affaire François-Jean Lefebvre de La Barre Le chevalier François-Jean Lefebvre de La Barre, est une victime de l’intolérance religieuse au siècle des Lumières dans une affaire où s’investiront les philosophes des Lumières au nom de la tolérance religieuse. L’affaire commence suite à la dégradation, de la statue du Christ s’élevant sur le pont neuf d’Abbeville. L’émotion dans la cité picarde est immense car, selon l’Église catholique, par ce geste c’est Dieu, et non pas seulement son symbole

Commentaire composé: Torture. Voltaire , philosophe français du XVIIIè siècle fit l'article "Torture" d'un extrait du dictionnaire philosophique datant de 1764. A cette époque il était toujours question de "torture" quelle qu'en soit les circonstances. Dont Voltaire y dénonça l'obscurantisme et les absurdités humaines. Ainsi nous verons la critique que Voltaire montre puis par l'inhumanité qu'il dénonce. Pour commencer, Voltaire montre que la torture à son époque est toujours d'actualité alors

semble souvent avoir pour fonction de ne pas laisser déborder la sensibilité de l'auteur, de l'endiguer et de la maintenir de force : Swift est aussi horrifié par la misère d'une Irlande qui meurt que Voltaire par les exécutions du Chevalier de La Barre ou de l'amiral Byng. Mais ils choisissent de ne pas crier leur horreur, de ne pas larmoyer. Ils attaquent les yeux secs ces injustices et ces folies. L'intelligence prévaut, l'ironie permet de garder le contrôle de soi-même devant l'atrocité. Et donc

" Il y a la grande et la petite cruauté" : elle a une hiérarchie. Le chatiment dure : "brula son corp à petit feu" : grande souffrance physique et morale C)disproportion chatiments / incriminations Se tarde sur les détails : chevalier de la barre : combien de chansons impies souligne l'injustice II)A) Le sadisme multiples expression qui caractérise : " Ils se donne plaisir" "prit gout" Ce plaisir devient un divertissement, un passe temps B) La saynète du grave magistrat Petit comédie

  Lutte contre l'injustice : Calas, Sirven et La Barre (1761­1765)    Le 22 mars 1761, Voltaire est informé que, par ordre du parlement de Toulouse, un vieux  commerçant protestant, nommé Calas, vient d’être roué, puis étranglé et brûlé. Il aurait  assassiné son fils, qui voulait se convertir au catholicisme. Voltaire apprend bientôt qu’en  réalité Calas a été condamné sans preuves. Des témoignages le persuadent de son  innocence. Convaincu qu’il s’agit d’une tragédie de l’intolérance, que les juges ont été 

La dénonciation de l’injustice Voltaire, Relation de la mort du chevalier de la Barre à M. le marquis de Beccaria, 1766 Voltaire raconte comment le chevalier de La Barre et le marquis d’Etallonde, âgés d’environ dix-huit ans, ont été condamnés parce qu’ils avaient omis d’ôter leurs chapeaux au passage d’un cortège religieux. Dans ce procès, monsieur, qui a eu des suites si affreuses, vous ne voyez que des indécences1, et pas une action noire; vous n’y trouvez pas un seul de ces délits qui

Lefebvre de la Barre aussi connu sous le nom du '' Chevalier de la Barre ''. Il est né le 12 septembre 1745 et il est mort à Abbeville à l'age de 21 ans, le 1e juillet 1766. A 16 ans, Selon les rumeurs, il aurait profané la statue du Christ avec Moisnel, son frère et un certain Gaillard d'Estallonde. Suite a ces propos, on fait appel a Duval de Soicour, un lieutenant de police & a un lieutenant du tribunal d'élections, un certain Belleval qui était devenu un enemi de la Barre, depuis que sa tante

Voltaire souligne l’irréalité entre «  fort humain » (l.18) et « inhumanité » (l.18), car en réalité ce sont les français qui sont inhumain à cause de leur acte. Dans le quatrième paragraphe, il y a une disproportion entre les actes du chevalier de La Barre et la torture affligé à celui-ci, d’autant plus qu’il y a une insistances sur les circonstances atténuante, « petit-fils d’un lieutenant général des armées », « jeune homme de beaucoup d’esprit et d’une grande espérance » (l.20/21). Cette exemple dénonce