Barricade

SOLANGE se reprenant- Ah ! Oui, Claire. Claire vous emmerde ! Claire est là, plus claire que jamais. Lumineuse ! (Elle marche les bras levés vers le ciel) CLAIRE- Oh ! Oh ! Claire…vous…oh ! SOLANGE.- Madame se croyait protégée par ses barricades de fleurs, sauvée par un exceptionnel destin, par le sacrifice. C’était compter la révolte des bonnes. La voici qui monte, madame. Elle va crever et dégonfler votre aventure. Ce monsieur n’était qu’un triste voleur et vous une… CLAIRE-Je t’interdis 

un calice, un ciboire et une patène en or. « Il s’agit d’un vol, parfaitement ficelé, qui s’inscrit dans une logique de filières d’écoulement d’objets de culte » s’insurge Mr Kaseshi, le curé de la paroisse, dans le quotidien La Croix. « Doit-on barricader nos églises pour les sécuriser ? Ce serait un signe négatif pour le dynamisme de nos communautés… » ajoute-t-il impuissant. Le vol d’objets dogmatiques, quelles que soient les communautés, est en constante augmentation aujourd’hui en France.

terrassement..) En Juin après que les élections d’une Assemblée constituante donnent la majorité a des républicains modérés, le gouvernement décide, en juin de fermer les Ateliers nationaux qui leurs coute très cher. Le peuple dresse alors des barricades. L’armée intervient et quelques 5000 personnes sont tuées Problématique : En quoi l’insurrection de Juin 1848 est elle différente de celle de Février 1848 selon Karl Marx ? Quels en sont les nouvelles conséquences ? Plan : I/ L’union sacrée

est nommé maire du 8e arrondissement de Paris, puis député de la deuxième République et siège parmi les conservateurs. Lors des émeutes ouvrières de juin 1848, Victor Hugo, lui-même, va participer au massacre, en commandant des troupes face aux barricades, dans l'arrondissement parisien dont il se trouve être le maire. Il en désapprouvera plus tard la répression sanglante. Il fonde le journal L'Événement en août 1848. Il soutient la candidature de Louis-Napoléon Bonaparte, élu président de la République

Il se dit patriote, tient des propos enflammés sur le gouvernement (« un tas de lâches »), prône la république et « la richesse à tout le monde, la justice et l'égalité régnant partout ». Ses discours inquiètent Félicie (son père est mort sur une barricade en 1848) mais impressionnent Jacques et surtout Eugène qui a maintenant 19 ans. L’armistice est conclu et les Prussiens défilent sur les Champs-Elysées. Et c’est le début de la Commune : le père et le fils font le coup de feu. Un jour, Eugène, garde

humaine a disparu, et je ne souffrirai plus que par moi-même. Enfin ! il m’est donc permis de me délasser dans un bain de ténèbres ! D’abord, un double tour à la serrure. Il me semble que ce tour de clef augmentera ma solitude et fortifiera les barricades qui me séparent actuellement du monde. Horrible vie ! Horrible ville ! Récapitulons la journée : avoir vu plusieurs hommes de lettres, dont l’un m’a demandé si l’on pouvait aller en Russie par voie de terre (il prenait sans doute la Russie pour

dedans, et que vous gardiez de remuer en aucune façon. Je vous chargerai sur mon dos, comme un paquet de quelque chose, et je vous porterai ainsi au travers de vos ennemis, jusque dans votre maison, où quand nous serons une fois, nous pourrons nous barricader, et envoyer quérir main-forte contre la violence. GÉRONTE: L'invention est bonne. SCAPIN: La meilleure du monde. Vous allez voir. (à part) Tu me payeras l'imposture. GÉRONTE: Eh? SCAPIN: Je dis que vos ennemis seront bien attrapés. Mettez-vous

le peuple. Ce dernier désire un régime plus démocratique, plus libéral. La crise agricole et économique provoque l’exaspération populaire. Des banquets sont organisés et ceci malgré l’opposition de Guizot. Le peuple de Paris commence à monter des barricades et la situation tourne à l’insurrection. Louis-Philippe abdique en faveur de son fils, mais les députés dont Lamartine se retrouvent à l’Assemblée proclament la République le 24 février. La seconde République est donc née d’un coup d’Etat populaire

lentement mais sûrement après la mort du Comte de Chambord. VI°/La Seconde République. a)Les journées de février. Des manifestations éclatent le 22 février 1848, ralliées par la garde nationale le 23, le 24 Paris est couvert de barricades et l’armée est débordée. Thiers remplace Guizot. Après la prise du Château d’Eau, le roi abdique. Cette révolution est plus la cause de la crise économique, sociale puis politique que de l’influence républicaine. La République s’impose : la monarchie

sans réelle explication précise les étudiants vont commencer à dépavés ou arracher des choses dans les rues. C’est ainsi que pendant la nuit du 10 au 11 mai, les jeunes dressent des barricades. Le slogan « Sous les pavés la plage » va également être introduit en raison de ces événements. Après cette nuit des barricades, le mouvement devenu bien plus violent va toucher le pays entier et mener à la manifestation du 13 mai qui va faire passer une révolte étudiante à une grève générale.4.3 Crise politique