Base d'un nuage

 » Description du phénomène : Les tornades se forment souvent suite à un type d’orage très violent : les orages supercellulaires. Ces derniers se caractérisent par des courants ascendants (montants) d’une puissance extrême jusqu’au sommet du nuage. Comme la vitesse du vent augmente rapidement avec l’altitude et que le vent change de direction, le courant qui monte près du centre de l’orage tourbillonne très vite. C’est ce qu’on appelle le cisaillement du vent qui est la plupart du temps l’origine

Docteur : C’est le même principe. Ce sont les courants d’air qui engendrent les collisions entre les particules qui se trouvent dans les nuages (cristaux de glace, grêlons, gouttelettes d’eau), les particules les plus légères se retrouvent en haut du nuage (en général chargées +) et les plus lourdes en bas pour des raisons de gravité (en général chargées -). Lorsque les charges accumulées sont suffisantes alors l’éclair se produit. Présentateur : Que se passe-t-il si vous ne branchez pas les condensateurs 

électrostatique : ............................................................................................. 32 II.2. Champ et potentiel dans un conducteur en équilibre :.................................................. 33 3 II.3. Champ au voisinage d'un conducteur : ......................................................................... 34 II.3.1. Théorème de Gauss appliqué à un élément de volume : ....................................... 34 II.3.2. Théorème de Gauss appliqué à la surface – Théorème

LE PINATUBO Présentation SITUÉES SUR LA CEINTURE DE FEU, LES PHILIPPINES SONT CONSTITUÉES D’UN ARCHIPEL DE 7 107 ÎLES D’ORIGINES VOLCANIQUES OÙ DE NOMBREUX VOLCANS SONT EN ACTIVITÉ. MANILLE EST LA CAPITALE ET LA VILLE LA PLUS POPULEUSE DES PHILIPPINES AVEC 14 MILLIONS DE PERSONNES. L’ARCHIPEL DES PHILIPPINES EST UN PAYS EN VOIE DE DÉVELOPPEMENT. 51 % DE LA POPULATION DES PHILIPPINES HABITE EN VILLE. Les volcans ont été l’une des causes naturelles de destruction pendant des siècles. Le Taal

s'enrichit en longueurs d'ondes courtes (bleu et violet) lorsque sa température augmente.  3. Spectre de raies d'émission: Le spectre donné par une lampe à vapeur de sodium ou à vapeur de mercure est discontinu.La lumière émise par ces lampes est composée d'un nombre limité de radiations. Leur spectre est un spectre de raies d'émission. Spectre d'une lampe à vapeur de sodium Spectre d'une lampe à vapeur de mercure A chaque raie correspond une radiation monochromatique.Un spectre de raie permet d'identifier

corrélation et la régressionObjectifs de la séance : I. Les diagrammes de dispersion ou nuages de pointsII. La corrélation III. La régression IV. Exercices pratiquesI. Les diagrammes de dispersion ou nuages de points Le diagramme de dispersion, ou le nuage de points, constitue la représentation graphique de la relation entre deux variables de niveau de mesure proportionnel. Chaque point représente un couple d'observations (x, y) rapporté sur un graphique en prenant pour abscisse (axe horizontal) la

statistique n’est, par conséquent, jamais indépendante des choix de l’observateur ou de l’analyste.  Remarques La statistique est un domaine des mathématiques, à l’instar de l’algèbre et de la géométrie. Une statistique est une quantité calculée à partir d’un certain nombre d’observations. D’une manière générale, c’est un résultat de l’application d’une méthode statistique à un ensemble de données. Les statistiques sont le produit des analyses reposant sur l’usage de la statistique Exemples : Les statistiques

l’interaction gravitationnelle fait partie de cette catégorie. Rappelons brièvement les lois énoncées par Newton : La loi d’inertie décrit le comportement d’un système isolé, système idéal qui ne développe aucune interaction avec son environnement. Elle énonce l’invariance du vecteur vitesse du centre de gravité C de ce système. De ce fait, le centre de gravité C d’un système isolé est en translation uniforme. Interaction gravitationnelle Chapitre I MF et A CHARLIER 4 Le principe fondamental de la dynamique

démarché économétrique - Les systèmes économiques sont souvent difficiles à comprendre car ils font appel à la science sociale. - Pour cerner cette réalité, les théoriciens ont tenté de déterminer les lois qui les régissent : construction et estimation d'un ensemble de modèles qui peuvent appréhender et formaliser les liaisons, les interactions et les relations entre plusieurs variables. Exemple : formuler des équations entre des grandeurs économiques. - Le rôle des mathématiques et des statistiques est

statistique . . . . . . . . . . . . . . . e e e 1.1.1 D´finition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e 1.1.2 Bref historique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.3 Statistique descriptive et statistique inf´rentielle e 1.2 Terminologie de base . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .