Basilique Saint-Pierre

Rome en 1509. Il est introduit par Bramante à la cour de Jules II pour décorer les chambres du Vatican. Il réalise également des retables d'autel, des madones et des portraits. En 1514, il succède à Bramante au poste d'architecte de la basilique Saint-Pierre, il dessine alors les plans de nombreux édifices à Rome et à Florence. Raphaël, a longtemps été considéré comme le plus grand peintre qui ait jamais existé, et on le tient toujours pour l'artiste en qui la peinture aurait trouvé son expression

existantes. De toute façon, cette pratique de remplois n'est pas exceptionnelle à l'époque, puisque de nombreux monuments élevés sous le règne de Constantin font aussi largement appel à des remplois : c'est le cas par exemple de la première basilique Saint-Pierre de Rome ou encore de nombreux monuments de la nouvelle capitale impériale, Constantinople.

poète et architecte. Il est accueilli à l'âge de 14 ans au palais de Laurent de Médicis. C'est le début d'un apprentissage artistique. Il est surnommé le Divin car il bouscule les principes traditionnels de l'art!. On lui doit la Pietà de la basilique Saint Pierre au Vatican. les sculptures de David et de Moïse , une fresque narrant la Création sur la voûte de la chapelle Sixtine ou encore le célèbre Jugement Dernier sur le mur de l'autel de cette même chapelle. Il meurt en 1564 à l'âge de 88 ans a

son héritier Raphaël4. Aux termes d'un contrat signé le 10 décembre 1500, il est cité en qualité de « magister » (maître peintre) pour la réalisation du retable « le Couronnement du bienheureux Nicolas de Tolentino », moine de l'Ordre des Ermites de Saint Augustin, canonisé en 1406, pour l'église Sant'Agostino de Città di Castello. Il exécute ce tableau avec l'aide d'Evangelista da Pian di Meleto, ancien assistant de son pèreN 2. Raphaël n’est ainsi plus disciple d’un autre maître, mais maître lui-même

Jules qui deviendront respectivement les papes Léon X et Clément VII, commanditaires de ses plus grandes œuvres. Bousculant les principes traditionnels de l'art, il est rapidement consacré et surnommé 'le Divin'. On lui doit la 'Pietà' de la basilique Saint-Pierre au Vatican, les sculptures de David et de Moïse, une fresque narrant la Création sur la voûte de la chapelle Sixtine, et le célèbre 'Jugement dernier' sur le mur de l'autel de cette même chapelle. Cette dernière œuvre a suscité à l'époque

quasi autodidacte. A cette occasion, il rencontre les futurs papes, commanditaires de ses plus grandes oeuvres. Bousculant les principes traditionnels de l'art, il est rapidement consacré et surnommé "le Divin". On lui doit la Pietà de la basilique Saint Pierre au Vatican, les sculptures de David et de Moïse, une fresque narrant la Création sur la voûte de la chapelle Sixtine, ainsi que le célèbre Jugement dernier sur le mur de l'autel de cette même chapelle. Cette dernière oeuvre a suscité à l'époque

Sa jeunesse Michelangelo Buonarroti, dit Michel-Ange, est né en 1475 en Toscane, région dépendante de la cité-Etat de Florence. Issu d'une famille chrétienne d'intellectuels, il passe toute son enfance à fréquenter des tailleurs de pierre. En 1488, Michel-Ange est envoyé en formation chez un peintre florentin Ghirlandaio, mais il y reste peu de temps car dès l'âge de 15 ans, la richissime famille des Médicis remarque son talent. En bon mécène, Laurent le Magnifique engage donc le jeune adolescent

d'Este. À Rome, il travaille comme ingénieur militaire pour César Borgia, puis il revient à Florence.    Il donne alors des œuvres qui ont, toujours aujourd'hui, un retentissement universel : la Joconde (vers 1503-1507) et la Vierge, l'Enfant Jésus et sainte Anne (vers 1508-1510). La Bataille d'Anghiari, peinture murale destinée au Palazzo Vecchio (vers 1503-1505), n'est connue que par des dessins, tout comme laLéda (entre 1504 et 1508). Michelangelo Buonarroti, dit en français Michel-AngeSculpteur

professions qu’exerçait le renommé Michel-Ange et sur ses œuvres. Celui-ci exerçait plusieurs métiers : il était peintre, sculpteur, poète, architecte et urbaniste italien de la Renaissance. 3.1 Pietà La Pietà est une statue en marbre de la Basilique Saint-Pierre du Vatican à Rome qui représente la « Vierge Marie douloureuse », tenant sur ses genoux le corps du Christ descendu de la Croix avant d’être mis au tombeau. En regardant cette œuvre, l'âge de la Vierge particulièrement jeune peut paraître

et œuvres d'art romains auxquels se réfère cet ouvrage existent bel et bien. On peut encore les admirer aujourd'hui. Quant à la Confrérie des Illuminati, elle a aussi existé. [pic] CITÉ DU VATICAN 1 Basilique Saint-Pierre 2 Place Saint-Pierre 3 Chapelle Sixtine 4 Cour Borgia 5 Bureau du pape 6 Musées du Vatican 7 PC de la Garde suisse 8 Héliport 9 Jardins 10 Passeto 11 Cour du Belvédère 12 Postes vaticanes