Bassin parisien

conscience aux Français de l’importance et la puissance de la classe ouvrière. C) De nouvelles pratiques culturelles L’essor de l’alphabétisation et des transports facilite la diffusion de la presse. La presse d’information, comme Le Petit Parisien, tire en 1939 à plus d’un million d’exemplaires, et la presse d’opinion, comme le quotidien communiste L’Humanité, à plus de 350 000 exemplaires. La diffusion des livres de petit format s’accélère avec l’invention en 1905 des premiers livres

 est nationalisée en […] (se lance dans le tourisme et  étendant ses activités dans différentes formes de communication)  ­ Aujourd’hui, Havas : 1er​ ​ groupe publicitaire de France et le 6ème​ ​  mondial. Plus qu’une  branche de communication, l’AFP a pris la branche information.     Le Parisien  Moeaki           Albert Londres  Morgane           France Soir  Léon                   Presse en ligne  Marine  Naissance Aout 1994, Groupe Amaury  Histoire : Un ​ quotidien régional de droite​  appartenant au groupe Amaury (seule famille 

1) L’âge d’or de la presse française. doc 2 p 160: a- fin 19° siècle, presse française vit un véritable âge d’or. Avant WW1, ≈ 300 quotidiens, ≈ 10M d’exemplaires, ≈ 6000 journalistes. Quotidiens les + populaires (Le petit journal et Le petit parisien) tirent ensemble à 2,5M d’exemplaires / jour (en 2011, 20 minutes tirait à 870 000 exemplaires). Presse devient donc média de masse. b- Cette situation s’explique par: - Evolut° techniques → industrialisat° de product° (rotative depuis 1872 et linotype

République. Parmi ces journaux, la presse la plus foisonnante est indéniablement la presse antisémite. En effet, on pourrait citer l’Intransigeant de Rochefort, très engagé politiquement et qui se voulait au départ le défenseur du petit peuple parisien et des ouvriers en grève. Il a par ailleurs évolué vers un nationalisme exacerbé et un antisémitisme virulent. Du côté des journaux catholiques, La Croix et Le Pèlerin, animés par les assomptionnistes, font des juifs les artisans d’u complot pour

crée la Société Générale des Annonces qui fournit aux journaux des correspondances de presse en échange d’une cession d’espace revendu aux annonceurs. En 1880, la SGA régit la publicité des deux tiers des 863 journaux de province et des quotidiens parisiens. Cette situation perdure jusqu’en 1914. 1868-1881 
La libéralisation de la presse, commencée sous le Second Empire avec la loi du 11 mai 1868 et poursuivie par la loi républicaine du 29 juillet 1881 contribue à la multiplication des titres et à

aux problèmes de couple, d’adaptation. Pendant la guerre on pense aux héros, après on pense aux horreurs de la guerre. Une nouvelle société urbaine se transforme qui entretient un culte du loisir. La première source d’info et la presse (le petit parisien, le petit journal, le journal, le matin, l’écho de paris), ouest éclair, la dépêche de Toulouse. Les années folles montre une société qui veut penser à autre chose et s’amuser mais ça ne concerne qu’une partie de la société qui a les moyens.

de toute pose et qui vivent en famille, comme n'importe quel notaire d'une petite ville. Que vous dire encore ? Mes Rougon-Macquart auront vingt tomes et actuellement je travaille sur le septième, un roman qui embrassera le monde des ouvriers parisiens. J'ai déjà beaucoup travaillé et j'ai encore devant moi beaucoup de travail. Pour moi, la vie toute entière se résume dans le travail. Je ne compte pas, même dans dix ou quinze ans, être compris et reconnu en France. On répand sur mon compte des

cette mise en scène avit surtout impréssionné les enfants. Par ailleurs, les Français étaient de plus en plus lassés par la propagande coloniale, les journaux coloniaux comme le petit parisien faisaient de moins en moins de fidèles. Concernant les intellectuels Français, plus éxactement les surréalistes parisiens comme Breton, Aragon ou Eluard, ont rédigé un tract portant le titre éloquent : « Ne visitez pas l'exposition coloniale » . Ceux-ci protestait contre l'exploitation des colonies et de

de : - jouer avec un bilboquet - fumer une cigarette - boire une tasse de thé 14) Le Journal dans lequel se fait engager Duroy a pour nom : - La Vie Française - Le Gaulois - Le Petit Parisien 15) Quand Georges Duroy est introduit pour la première fois au Journal, les rédacteurs : - relisent les épreuves en buvant beaucoup de café - épluchent les articles des journaux concurrents - jouent aux cartes

proches de la majorité radicale soutenaient l'initiative parlementaire. Le Matin titrait son editorial du 23 novembre «Pas assez payés» et, pour répondre aux critiques, dressait bientôt un tableau de «la misère du député»^. L'éditorialiste du Petit Parisien demandait «l'indulgence du public»**. Chaque quotidien se sentait sommé de réagir. Dans le même temps, la campagne de La Libre Parole était aussi une entreprise de pression sur les parlementaires. La Libre Parole ne s'était pas contentée de jeter